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la robotisation et la perte d'emplois

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ito
64 Longueuil
Abus Citer Posté le samedi 31 décembre 2016 à 11:21
Beaucoup de gens en détresse qui ont perdu leurs emplois, maisons, dignités, espoirs d'une meilleure vie, etc. ont voté pour Trump en espérant qu'il réussisse à faire Make America Great Again. La réalité est que la société «développée» est mature au sens économique et en plein changement technologique qui aura un impact certain sur l'emploi et la communication. La tendance est lourde pcq la nouvelle technologie numérique baisse les coûts.
marindusud
85 Montréal
Abus Citer Posté le samedi 31 décembre 2016 à 12:16
Une question simple.

Préféreriez-vous être dans l'avion de Germanwings piloté pas un humain qui l'a volontairement crashé dans une montagne?

Ou dans un avion piloté par un robot?

Modifié le samedi 31 décembre 2016 à 12:16

marindusud
85 Montréal
Abus Citer Posté le samedi 31 décembre 2016 à 12:18
Plus de 50% des accidents d'avion sont causés par des erreurs humaines.

Non on ne veut pas de robots?
balade_nocturne
56 Longueuil
Abus Citer Posté le samedi 31 décembre 2016 à 12:26
Est-ce qu'un lave-linge est considéré comme un robot ?
Oui ?
Alors oui, j'en veux des robots !!!

Mais pas pour tout ni dans tous les domaines.

Il faut se rappeler que les robots ont une durée de vie limitée, tombent en panne aussi et ne sont pas infaillibles. Les voitures sans chauffeurs en sont un bel exemple actuellement.

Un jour, peut-être, tout cela sera parfaitement au point.

Mais en attendant, je garde une préférence pour l'être humain dans de nombreux domaines.

Modifié le samedi 31 décembre 2016 à 12:27

marindusud
85 Montréal
Abus Citer Posté le samedi 31 décembre 2016 à 12:37
En place de la prévision d'Alvin Tofler on a créé la récession perpétuelle et la polarisation de la richesse.

Autrement dit on a pris un virage vers le mur et on accélère.

Il ne reste déjà plus ce besoins réel pour que tous travaillent. L'automatisation subvient à une bonne proportion des besoins humains. Mais maintenant on va beaucoup plus vite vers l'automatisation. On a bien inventé de faux besoins mais il y a une limite et de toute façon si on ne répartit pas les bienfaits de l'automatisation on courre à la catastrophe.

Soyons réalistes il y a des gens bien placés qui connaissent ce problème et proposent des solutions.
cyberbibi
61 Montréal
Abus Citer Posté le samedi 31 décembre 2016 à 12:39
Citation de "mfqc"Citation de "sirdan"A l'usine d'auto Hyundai près de chez moi les ouvriers s'amusaient à saboter les robots soudeurs, avec un tournevis ils espacaient les toles à souder et la chaine de montage s'arrêtait le temps que la direction trouve le problème. L'usine est fermée depuis près de 20ans.

C'est frustrant de voir une machine voler l'emploi d'un humain mais par contre c'est pratique un guichet automatique!


Et ça leur a donné quoi de faire ça ?

USINE FERMÉE



C'est à Hyundai que ça donné quelque chose, soit une bonne raison de prendre le large avec les 400 millions de subvention accordée.
marindusud
85 Montréal
Abus Citer Posté le samedi 31 décembre 2016 à 12:44
En ce moment gros débat en Chine à cause de délocalisations inversées vers les USA.
marindusud
85 Montréal
Abus Citer Posté le samedi 31 décembre 2016 à 12:54
Oui mais en Chine on ne ri pas.
http://www.lci.fr/high-tech/quand-une-entreprise-chinoise-delocalise-aux-etats-unis-1549533.html

Avec la robotisation le coût de la main d'oeuvre perd de l'importance par contre vu le filet social des USA les taxes sont moindres.

Pour l'instant avec Trump ceci risque de s'accélérer. Il va réduire le filet et donc accélérer la délocalisation inversée. Jusqu'à ce que...

Modifié le samedi 31 décembre 2016 à 12:55

aremand
113 Mont-Royal
Abus Citer Posté le samedi 31 décembre 2016 à 14:16
Déjà des milliers d'emplois ont disparus dans les secteurs manufacturiers. J'ai déjà occupé un emploi journalier dans un usine de Coca-Cola. Ma job consistait... à regarder les machines à l'oeuvre. C'était long et plate. Mais elles étaient efficaces je dois l'admettre.

Et avec la venue prochaine des voitures "intelligentes", les métiers de transport sont à risque.
cyberbibi
61 Montréal
Abus Citer Posté le samedi 31 décembre 2016 à 14:23
Ça fait combien d'année qu'on se casse le crâne à trouver des manières pour arrêter de crever au travail.

Tout ce qu'on me dit a travers ces nouvelles c'est: commencer à penser autrement et surtout, à ajuster l'économie en conséquence.

VIVE la société des loisirs !
aremand
113 Mont-Royal
Abus Citer Posté le samedi 31 décembre 2016 à 14:29
Citation de "cyberbibi"Ça fait combien d'année qu'on se casse le crâne à trouver des manières pour arrêter de crever au travail.

Bon point. Sauf que le travail génère des sources de revenus indispensables pour plusieurs d'entre nous.

Je suis dessinateur industriel. Si je pouvais appuyer la touche "enter" et tout se dessine one shot, ca serait cool. Mais je subirais aussi des pertes de revenus importantes. Ou peut-être que je créerai tout simplement plus de plans? Ca dépend de la façon de voir. :)
frisounet
58 Québec
Abus Citer Posté le samedi 31 décembre 2016 à 14:34
Citation de "gamik"Le raz-de-marée tant craint est à nos portes : la robotisation pourrait faire perdre jusqu'à 250 millions d'emplois de qualité. Voici la liste des emplois qui pourraient disparaître (j'ai mis en gras ceux que j'ai rajouté) selon la liste du JM
Vendeur au détail, comptable, percepteur d’impôt, camionneur, chauffeur de taxi et de bus (pas encore au point haha), ouvrier en construction, pêcheur(?), coiffeur (pas sûre!), employé de bureau, arbitre de sport, agent et courtier immobilier (pas sûre!), serveur(pas sûre), cuisinier, technicien juridique, analyste financier, agent de sécurité (soso), manoeuvre d'usine, caissièr(e), médecin(selon certaines études mais j'en doute !), trafiquant d'organes(on espère).

Ceux qui n'ont que 2% de chances de disparaître
Travailleur social, psychologue, physicien, dentiste, policier, enquêteur, enseignant, gestionnaire en ressources humaines, analyste de systèmes informatiques, entraîneur physique, anthropologue, conseiller en rééducation, pharmacien, microbiologiste, thérapeute de mariage, ingénieur, chef d’entreprise, médecin, chimiste, chercheur(e), vendeur de drogue( hahaha), trafiquant d'armes, hacker, trafiquant d'être humain (parce que les robots baiseurs ne feront pas l'unanimité!), traqueur de terroriste, agent de recouvrement (un métier en expansion malheureusement...).




marindusud et moi-même avions tout les deux fait un billet propre à ce même sujet qui reviendra immanquablement plus tard...

Merci de le remettre à jour avec ta touche personnelle :-)
aremand
113 Mont-Royal
Abus Citer Posté le samedi 31 décembre 2016 à 14:43
Lol, non, je n'ai pas vu la video de tesla Exalto. Mais j'ai eu vent qu'il y a eu quelques ratés et quelques crashs avec d'autres prototypes. Par contre, les humains crashent encore plus souvent que ces voitures.

Il y a aussi les drones qui sont présumés pour remplacer les livreurs de pizza. :)
frisounet
58 Québec
Abus Citer Posté le samedi 31 décembre 2016 à 15:16
Citation de "aremand"Citation de "cyberbibi"Ça fait combien d'année qu'on se casse le crâne à trouver des manières pour arrêter de crever au travail.

Bon point. Sauf que le travail génère des sources de revenus indispensables pour plusieurs d'entre nous.

Je suis dessinateur industriel. Si je pouvais appuyer la touche "enter" et tout se dessine one shot, ca serait cool. Mais je subirais aussi des pertes de revenus importantes. Ou peut-être que je créerai tout simplement plus de plans? Ca dépend de la façon de voir. :)




Tu mets le doigt sur le bobo...

Nous devons entrevoir pour penser nos sociétés complètement différemment bientôt et sur d'autres bases que le travail, l'argent et la consommation!

Tout ça se fera à très grande vitesse et à très grande échelle; mais il y a une résistance formidable pour perpétuer un système de vie et de penser qui est mourant; ceux qui ont les leviers de ce système ne veulent pas céder quoi que se soit!

L'évolution m'arrête pas pour des dinosaures...





Vos vies changeront grâce aux robots

L’intelligence artificielle sera au coeur d’une nouvelle révolution industrielle qui bouleversera l’économie mondiale

Des emplois sont en péril avec non seulement la robotisation des métiers décisionnels grâce à l’intelligence artificielle, mais en raison de l’automatisation de «jobs de bras». Le robot Baxter en est un bon exemple. Il a fait à notre journaliste une démonstration de sa capacité à manipuler des objets, lors d’une visite au CRIQ, à Québec. On le voit ici placer des balles de tennis dans des cavités.


JEAN-NICOLAS BLANCHET
Samedi, 31 décembre 2016 00:00
MISE à JOUR Samedi, 31 décembre 2016 00:00

Les reins seront imprimés, la peinture générera de l’électricité, la moitié des emplois se transformeront, le monde du transport ne sera plus le même, des robots invisibles vous parleront et feront une partie de vos tâches ménagères. Ce ne sont plus seulement des hypothèses, ça commence. La tempête de la quatrième révolution industrielle est à nos portes.

À LIRE AUSSI: L’inévitable révolution des transports

230 millions d’emplois dans le monde sont voués à disparaître ou à se transformer radicalement dans la décennie selon l’Institut de recherche Mckinsey Global, qui anticipe des impacts économiques de près 7000 milliards de dollars.

«Encore trop peu de gens sont conscients de l’ampleur de la tempête. Ça va frapper. La révolution numérique va influencer radicalement l’économie mondiale», avance Jean-François Gauthier, président de l’Institut de gouvernance numérique du Québec, qui veut aider les institutions à faire la transition.

«Dans cinq ans, les robots domestiques coûteront moins de 2000 $. Ça deviendra un objet d’utilité courante. Ce n’est plus de la science-fiction. Ils sont vrais, ces robots. On peut jaser avec eux. Ils vont débarquer», poursuit M. Gauthier.

Cette révolution soulève déjà des défis importants dans plusieurs domaines. Des emplois et des revenus s’envolent déjà. Des secteurs économiques quémandent l’argent public pour survivre.

Les pays doivent se positionner pour éviter d’être «colonisés» par cette révolution, explique-t-il. «Le Québec doit se donner les moyens d’être parmi ceux qui vont créer la richesse. Il faut prendre le virage, comprendre l’urgence» et éviter de trop verser dans la culture «protectionniste», dit-il.

Jean-François Gagné, entrepreneur d’expérience en intelligence artificielle, évalue que les impacts seront au moins aussi importants que ceux de l’arrivée d’internet. Il ne croit pas à la thèse du «cataclysme» pour la perte d’emplois, mais il «faut planifier une transition».

​Québec doit naviguer dans la tempête

«Est-ce qu’on s’en va dans le mur? Je ne pense pas que les jeux soient faits. L’opportunité est encore devant nous. On peut se réveiller, non pas pour éviter de subir la tempête, mais plutôt pour y naviguer», ajoute-t-il. Mais, malheureusement, dit-il, «tant qu’on ne se fait pas assez mal, on ne change pas».

«On entre dans l’ère des perturbations technologiques. Dans les quinze prochaines années, jamais nous ne verrons plus de changements dans les industries et dans la société que nous en avons vus depuis la première révolution industrielle. Il n’y a aucun doute», nous explique en entrevue, Tony Seba, expert en perturbations technologiques dans Sillicon Valley et enseignant à l’Université Stanford.

LE MALHEUR DES UNS, LE BONHEUR DES ROBOTS

Ce n’est pas hypothétique, mais inévitable. Les robots vont remplacer les humains dans plusieurs domaines. Ils ont déjà commencé.

Une étude de l’Université d’Oxford a éveillé ceux qui n’y croyaient toujours pas. Les chercheurs ont conclu que 47 % des emplois aux États-Unis étaient «à risque» d’être informatisés ou remplacé par des robots d’ici 20 ans. L’étude concernait 702 emplois. Au Canada, en juillet 2016, le groupe BC Labour Market Solutions a publié un rapport qui faisait état d’une automatisation de 42 % des emplois au pays d’ici 20 ans.

Des métiers qui ont plus de 75 % de chances de disparaître :

Vendeur au détail, comptable, percepteur d’impôt, camionneur, chauffeur de taxi et de bus, ouvrier en construction, pêcheur, coiffeur, employé de bureau, arbitre de sport, agent et courtier immobilier, serveur, cuisinier, technicien juridique, analyste financier, agent de sécurité.
Des métiers qui ont moins de 2 % de chances de disparaître :
Travailleur social, psychologue, physicien, dentiste, policier, enquêteur, enseignant, gestionnaire en ressources humaines, analyste de systèmes informatiques, entraîneur physique, anthropologue, conseiller en rééducation, pharmacien, microbiologiste, thérapeute de mariage, ingénieur, chef d’entreprise.
*Source : The future of employment : How susceptible are jobs to computerisation, Oxford University, septembre 2013.

LE REVENU MINIMAL GARANTI S’INVITE DANS LE NUMÉRIQUE

Des voix, même à droite, s’élèvent pour proposer un revenu minimal garanti afin d’atténuer les effets sociaux d’une robotisation de plusieurs types d’emplois.

La solution n’a rien d’utopique pour plusieurs experts. Deux des plus importants investisseurs américains en technologie, Marc Andreessen et Albert Wenger, font partie du lot. Un des plus grands génies californiens pour le lancement d’entreprises en technologie, Sam Altman, parle d’une «conclusion évidente» sur son blogue.

Les États ont des systèmes de chômage ou d’assistance sociale qui fonctionnent si seulement 5 à 20 % de la population y a recours. Ces systèmes doivent être réformés si ce pourcentage augmente brutalement, et c’est ce que prévoient plusieurs experts en technologie. Leur hypothèse, c’est qu’en donnant un revenu minimal garanti pour tous, travailleurs ou pas, les États pourront atténuer les impacts économiques des pertes d’emplois et motiver la population à innover.

«Il faut aller vers le salaire minimum garanti», croit le chercheur Yoshua Bengio. «Les humains pourront ainsi faire des choses plus intéressantes, plus créatives et dans lesquelles ils sont bons.»
«Si des changements sociaux sont trop rapides, ça risque de causer la misère, juge-t-il. On ne veut pas connaître la souffrance vécue par des millions de personnes lors de la dernière révolution industrielle.»
Beaucoup d’emplois

L’investisseur Sylvain Carle rapporte que même des «libertariens de Silicon Valley» ont ces discussions. «Ça va remettre en question beaucoup d’emplois avec, d’un côté, l’intelligence artificielle, et d’un autre, les «jobs de bras» avec l’automatisation. Les robots industriels coûtent deux fois moins cher et ont triplé depuis 2009. Pour Jean-François Gagné, entrepreneur en intelligence artificielle, le salaire garanti «fait partie du débat» pour «mettre en place l’écosystème idéal et [...] se concentrer sur l’éducation pour le repositionnement des travailleurs dans différentes industries».

MEILLEURES QUE LES HUMAINS

L’intelligence artificielle et les robots ont fait leur apparition au milieu du 20e siècle, mais ce sont des progrès fulgurants récents qui rendent les machines meilleures que les humains.
C’est la «renaissance» de l’intelligence artificielle, explique Sylvain Carle.

Voix québécoise importante en technologie, il a travaillé chez Twitter en Californie et dirige maintenant FounderFuel, à Montréal où il épaule les jeunes entreprises qui souhaitent «surfer» sur la révolution numérique.

Les robots ne sont plus seulement capables d’analyser, «ils sont maintenant en mesure de prédire et de prendre des décisions», précise-t-il.

«Tout ce qui demande une certaine décision et qui peut être automatisé, c’est donc un travail qui va changer.»

La première étape, ce sont les robots qui augmentent les capacités des humains. À un moment donné, on va tellement faire confiance à la machine qu’on ne prendra plus les décisions», ajoute celui qui a investi dans une entreprise qui veut remplacer des avocats par des robots.
La «rock star» de Montréal

Cette renaissance a aussi un lien avec les travaux du réputé chercheur de l’Université de Montréal, Yoshua Bengio, qualifié de «rock star mondiale» dans le domaine. Pour la reconnaissance visuelle, par exemple, si l’humain est bon à 90 %, la machine l’était à 70 %. Mais grâce aux travaux du chercheur, la machine est passée à 99 %, illustre Sylvain Carle. «C’est ce qui est en train d’arriver!»

«Le commun des mortels n’est pas au courant de ce qui pourrait, avec de très grandes probabilités, changer rapidement la structure de nos économies», a expliqué M. Bengio, en entrevue.

Les ordinateurs n’ont maintenant besoin que de quelques secondes pour reconnaître une chanson, un visage, une odeur, traduire dans n’importe quelle langue et répondre à une question. Les machines s’améliorent chaque seconde.

Selon lui, le dossier de la révolution numérique doit d’avantage devenir un enjeu d’actualité, voire politique. «Il faut en parler, que les gens votent en fonction de ça, qu’il y ait des débats et une réflexion collective.»

Ces robots invisibles

Fondateur d’une firme new-yorkaise en intelligence artificielle, Dennis Mortensen, explique le futur pas si lointain. «Ce sera comme si vous engagiez quinze employés à votre maison. Ils vous aideront dans vos finances, tâches ménagères, votre liste d’épicerie et vous conduiront. Nous allons interagir avec ces robots invisibles», explique celui qui était conférencier à la JIQ (Journée de l’informatique du Québec), à Québec, l’automne dernier.

Pour planifier son entrevue avec nous, M. Mortensen a d’ailleurs utilisé son collègue Andrew, qui était, en fait, un robot. L’auteur de ces lignes n’y a vu que du feu. Un autre de ses robots, Ami, s’est d’ailleurs déjà fait inviter à un rencart. Le robot a dû répondre qu’il n’existait pas physiquement.


http://www.journaldemontreal.com/2016/12/31/vos-vies-changeront-grace-aux-robots

Modifié le samedi 31 décembre 2016 à 15:21

aremand
113 Mont-Royal
Abus Citer Posté le samedi 31 décembre 2016 à 15:22
Frisounet, je suis d'accord avec toi. Nos sociétés (nord-américaines du moins) sont basées sur l'argent et la consommation.

Mais comment prendre les devants et se préparer à la venue massive de robots?

Est-ce en se spécialisant dès maintenant dans la robotique (nécessairement un métier d'avenir)?

Ou plutôt repenser nos sociétés pour vivre sans argent? Mais pour ca, elles devront être basées sur le partage ainsi qu'une tâche bien définie pour chacun pour le bien commun.

La deuxième option est souhaitable même si difficilement applicable pour l'instant.

Modifié le samedi 31 décembre 2016 à 15:23