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gagarine 70 Trois-Rivières |
Abus Citer Posté le lundi 26 juin 2023 à 16:49 |
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que j'ai vu c'est Adieu Las Vegas avec Nicolas Cage et Elizabeth Shue qui a passé il y a deux jours. |
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zeldafisher 61 Montréal-Ouest |
Abus Citer Posté le lundi 26 juin 2023 à 18:26 |
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Ce qui me déprime, c'est les mauvais films ou surtout, la machine à saucisses de Netflix. Misère que c'est fait rapido presto plato. Quand quelque chose là me touche, je vais me chercher un 6/49!! |
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max_leliseux 113 Montréal |
Abus Citer Posté le mardi 27 juin 2023 à 10:31 |
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Un film déprimant, pour moi, c'est un film qui touche à des émotions tellement tristes, que ça en devient déprimant, même si l'on a un coeur, dur comme du rock. Modifié le lundi 7 août 2023 à 21:28 |
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gil1es 101 Nasinu |
Abus Citer Posté le mardi 27 juin 2023 à 10:44 |
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Citation de "gagarine"que j'ai vu c'est Adieu Las Vegas avec Nicolas Cage et Elizabeth Shue qui a passé il y a deux jours. Je seconde Et pense à Bad lieutenant Barfly Sid and Nancy Possiblement Trainspotting, Requiem for a dream Les films de "déchéance" humaine, ouf! Ils peuvent; si nous le désirons; pointer ou révèler le chemin parfois tortueux de la Lumière et de l'amour-propre par contraste. Modifié le mardi 27 juin 2023 à 10:50 |
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vamos_argentina 43 Châteauguay |
Abus Citer Posté le mercredi 12 juillet 2023 à 11:25 |
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Ce qui me déprime ces les films de merde que les réalisateurs - réalisatrice on le culot de dire cette stupidité 1: Louise Archambault à dit que le film Gabrielle va battre au box-office les plus gros production cinématographique hollywoodien et ce film n'atteint même pas le petit orteil du film du Roi Lion. |
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jeff_the_diseased_lung 52 Boisbriand |
Abus Citer Posté le mercredi 12 juillet 2023 à 14:05 |
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Citation de "vamos_argentina"Ce qui me déprime ces les films de merde que les réalisateurs - réalisatrice on le culot de dire cette stupidité 1: Louise Archambault à dit que le film Gabrielle va battre au box-office les plus gros production cinématographique hollywoodien et ce film n'atteint même pas le petit orteil du film du Roi Lion. S'il vous plaît, trouvez nous cette citation sur le net! |
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gagarine 70 Trois-Rivières |
Abus Citer Posté le mercredi 2 août 2023 à 16:50 |
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Parlant de film déprimant; l'un des premiers de Leonardo DiCaprio: Chute libre. À vous glacer le sang ! |
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equi-noxe 111 Canada |
Abus Citer Posté le dimanche 6 août 2023 à 12:50 |
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Au fait, si ça vous intéresse et dans le cadre de la chronique Devoir de philo du Journal de Devoir, le philosophe René Bolduc revient sur l’adaptation cinématographique du livre de Yann Martel, Manners of dying. " Souvent perçu comme un divertissement, une évasion, le cinéma n’est-il pas aussi un espace philosophique qui invite à réinventer la cité ? Tout au long de l’été, Le Devoir donne la parole à des philosophes pour commenter un film québécois de leur choix. Cette semaine, Manners of Dying (V.F. : L’exécution, 2005), de Jeremy Peter Allen. Avec l’avortement, la religion et la vaccination, la peine de mort compte parmi les sujets les plus clivants, à manipuler avec délicatesse dans les rencontres sociales et les réunions de famille. Même si les faits sont têtus et que la preuve de son inefficacité est établie depuis un bon moment, beaucoup de sociétés, certaines pas si différentes de la nôtre, la pratiquent encore. Au Canada, elle a été abolie en 1976, mais, selon un sondage de Research Co publié l’hiver dernier, près de 54 % des Canadiens, et 43 % des Québécois, seraient favorables à son rétablissement. /…/ Vous souvenez-vous de votre premier visionnement du film de Jeremy Peter Allen ? J’ai oublié dans quel contexte c’était, mais je me souviens d’avoir été admiratif devant ce que je considérais à l’époque comme un exercice de style. Dans ce film, on présente huit manières différentes de mourir, et la question de la mort est très importante en philosophie. C’est d’ailleurs Platon qui disait : « Philosopher, c’est apprendre à mourir. » J’ai parfois l’impression que la religion peut mieux affronter la mort parce que c’est une question de foi, d’abandon, de croyances, alors que la philosophie procède par discours rationnels. Par exemple, Épicure affirme : « Stupide est celui qui craint la mort. » Selon lui, tant et aussi longtemps que nous sommes vivants, la mort n’est pas là, et quand la mort est là, alors nous ne sommes plus là pour en parler ! Il me semble que nous ne savons plus mourir aujourd’hui, et c’est lié à notre crainte du vieillissement, à nos tentatives répétées de rester jeunes le plus longtemps possible. Or, la vieillesse signifie que l’on s’approche de la mort et que notre avenir rétrécit. /../ https://www.ledevoir.com/culture/cinema/795659/la-lecon-de-philo-manners-of-dying-les-ceremonies-des-adieux Le film est disponible gratuitement sur la plateforme Vimeo ( référence en fin d’article ) avec Roy Dupuis y tenant le rôle du condamné à mort. Ça vaut le détour ! Modifié le dimanche 6 août 2023 à 12:51 |
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gagarine 70 Trois-Rivières |
Abus Citer Posté le samedi 12 août 2023 à 08:35 |
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Citation de "equi-noxe"Au fait, si ça vous intéresse et dans le cadre de la chronique Devoir de philo du Journal de Devoir, le philosophe René Bolduc revient sur l’adaptation cinématographique du livre de Yann Martel, Manners of dying.
" Souvent perçu comme un divertissement, une évasion, le cinéma n’est-il pas aussi un espace philosophique qui invite à réinventer la cité ? Tout au long de l’été, Le Devoir donne la parole à des philosophes pour commenter un film québécois de leur choix. Cette semaine, Manners of Dying (V.F. : L’exécution, 2005), de Jeremy Peter Allen. Avec l’avortement, la religion et la vaccination, la peine de mort compte parmi les sujets les plus clivants, à manipuler avec délicatesse dans les rencontres sociales et les réunions de famille. Même si les faits sont têtus et que la preuve de son inefficacité est établie depuis un bon moment, beaucoup de sociétés, certaines pas si différentes de la nôtre, la pratiquent encore. Au Canada, elle a été abolie en 1976, mais, selon un sondage de Research Co publié l’hiver dernier, près de 54 % des Canadiens, et 43 % des Québécois, seraient favorables à son rétablissement. /…/ Vous souvenez-vous de votre premier visionnement du film de Jeremy Peter Allen ? J’ai oublié dans quel contexte c’était, mais je me souviens d’avoir été admiratif devant ce que je considérais à l’époque comme un exercice de style. Dans ce film, on présente huit manières différentes de mourir, et la question de la mort est très importante en philosophie. C’est d’ailleurs Platon qui disait : « Philosopher, c’est apprendre à mourir. » J’ai parfois l’impression que la religion peut mieux affronter la mort parce que c’est une question de foi, d’abandon, de croyances, alors que la philosophie procède par discours rationnels. Par exemple, Épicure affirme : « Stupide est celui qui craint la mort. » Selon lui, tant et aussi longtemps que nous sommes vivants, la mort n’est pas là, et quand la mort est là, alors nous ne sommes plus là pour en parler ! Il me semble que nous ne savons plus mourir aujourd’hui, et c’est lié à notre crainte du vieillissement, à nos tentatives répétées de rester jeunes le plus longtemps possible. Or, la vieillesse signifie que l’on s’approche de la mort et que notre avenir rétrécit. /../ https://www.ledevoir.com/culture/cinema/795659/la-lecon-de-philo-manners-of-dying-les-ceremonies-des-adieux Le film est disponible gratuitement sur la plateforme Vimeo ( référence en fin d’article ) avec Roy Dupuis y tenant le rôle du condamné à mort. Ça vaut le détour ! La mort n'est pas la recette à une seule maladie: la mort est la recette à tous les maux. C'est un port très assuré, qui n'est jamais à craindre, et souvent à rechercher. Montaigne |