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bouteille a l'amer

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patapoche
48 Trois-Rivières
Abus Citer Posté le samedi 19 juin 2010 à 17:22
je n'arrive a déceler le problème que par détachement: pourtant, le noeud s'y cache et se vautre tel l'apogée d'un spleen éteint...

tous les efforts, tous investis d'une passion ou non se désagrègent au vent, tel statue de sel, pétrifiée, inerte et toute dévouée aux intempéries d'un monde: la ou le vent a raison, la ou le temps se joue de la pluie, la ou seul la peur d'y réfléchir me hante et me cerne.

assujettis totalement, l'étreinte s'efface sans avis quelconque... a être seul, vraiment seul, j'y arriverais probablement.

aussi bien omettre toute forme d'absolution:

quelqu'un en moi le souhaite, mais je ne suis pas seul... et aimerais croire ne pas l'être (seul).

consterné du constat actuel, de cette dépendance a l'approbation, comme seule défaite de tendre vers ce qui es beau, comme tous se battent la gueule d'y voir pour tout dire sans même s'entendre sur cet profondeur qui dicte les abysse de cet routine sans effort poignant...

poignant pour moi

comment sitôt un glas se ferais retentir?
combien celui-ci demande-t-il a se perpétrer?

...et tout ce temps...

immense comme l'absurde, grossier mais juste. tout a fait capable de délicatesse, voila que toutes valeurs y siègeraient...

bon... assez...




------------------------
scalpel et manivelle



en toute structure, si bien ensevelie soit-elle, prévaut l'harmonie et l'ordre...

je te veux comme autant je t'en veux de m'avoir permis de te voir pleurer. n'était-ce que pour ton seul ego qui flanchais devant cet ordre lourd de tout ces maux dits, tous remis a la prochaine fois, tous remis a cet égal qui ne s'en remet plus, qui n'es plus tien que par tributaire et longanime reconnaissance. d'y laisser pénétrer un remède, un pansement tel solution saline, jusqu'à placebo; et même la lumière n'irais plus que tout droit dans l'axe de toute dérogations faites a mon intention...

j'en suis a douter...

intention floue, comme cette structure qui me gruge de non-dits, qui s'émancipe au rythme de mes constatations qui n'ont lieu d'être nulle part ailleurs qu'a ma raison. maison a trop d'étages, vaste, quasi succincte...

vide retentissant, plus haut que mes propres humeurs, plus efficace qu'un jet d'encre a mes yeux. sans aucune intention, surtout sans elle, pour toujours sans ailes. pourquoi y voler quand même ce délice se fait aussi rare que mon essoufflement et ce, sans négliger l'effort...

plus rien ne pourrais se bâtir en cet antre.

a quoi bon s'entêter a en faire partie, a me joindre et m'assimiler sans intentions? tout y réside pour temps...

vaincre comme conquérir ne me dit plus... je ne suis plus que machine et m'en veux d'y parvenir tant bien que mal.

Modifié le lundi 28 juin 2010 à 22:24

patapoche
48 Trois-Rivières
Abus Citer Posté le jeudi 1 juillet 2010 à 20:25

là où elle me porte...

au final, de mon enclave,
tout prends ampleur

m'y sombrant, excavant;
de tout côté biaisé par tel solitude
profondément m'intimant de m'y rendre

de la poursuivre
pour chaque moments
éternellement
et pour toujours vivre

pourtour dénommant
nominateur d'un seul instant
insatiable temps

Bien mieux au delà
tel ment plus heureux

d'en être que de surplus

tel ma voix qui s'y fends d'une raisonance certaine, de m'y étendre jusqu'à y sombrer, totalement d'elle et seulement d'elle

juste illusion que le bonheur pour temps qu'ailes il y aient...

vivant sans trop croire qu'a la mort

là où tous en tout points y prêtent révérence pour référence

moi je n'y vois de vérités qu'en cette beauté la seule

comme si seule pouvais me déporter

Modifié le vendredi 23 juillet 2010 à 14:35

patapoche
48 Trois-Rivières
Abus Citer Posté le vendredi 23 juillet 2010 à 14:33


...de me reprendre comme de ne me permettre de ternir
chacun de mes sens là où ils s'y sont heurtés de plaisirs...

de rendre infiniment vaste cette moindre portée

sans pouvoir, tout maîtriser, exceptionnellement tel

permissif vecteur, censeur affectif

utopique homogénéité d'être et d'ascension

je m'y suis pour temps noyé

en si pré - cieux moments

pansé de ton odeur j'en deviens

diamant tel - amant cru

et j'y replonge comment songe

Qu'Une et seule m'est égale maintenant.

a ce goût réel je m'imbibe:

elle me parfait et j'oublie par foi

toute mes dépendances

juste abandon

vestige

mais j'en arrive mais n'en reviens

qu'atterré de là m'en remettre

si assoiffé

chute libre

ci-gît

vertige



!
patapoche
48 Trois-Rivières
Abus Citer Posté le vendredi 23 juillet 2010 à 16:22
Citation de "chocovanille"Je te cite:

vivant sans trop croire qu'a la mort

la ou tous en tout point y prêtent révérence pour référence

moi je n'y vois de vérités qu'en cette beauté la seule

comme si seule pouvais me déporter


end quote.

Je suis pret a payer une gosse bierre, ou un verre de champagne pour comprendre cette phrase...!? (surtout la 3eme ligne).

je serais heureux de lire l'explication...Enfin si tu veux..... evidement.[/quote]

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moi je n'y vois de vérités qu'en cette beauté la seule: qui fait référence @:

là où tous en tout points y prêtent révérence pour référence: ceci étant dit:

si que d'un détail comme d'un souvenir il suffirait par s'élever jusqu'au point de suffisance, tel hypocrite ne mérite si grand bonheur sans qu'il n'en redevienne volatile.

dit autrement:

autrement dit:

c'est juste que m'apparait trop simple l'idée de ne pas tout prendre et d'y abandonner seul le dubitatif. comme d'un parti-pris, (s'il m'était toutes-fois possible de le calculer...) même épris... mais je vois maintenant avec du recul que c'était maintenant faux...



ou encore et encore:

tout a fait j'en étais incertain devoir si j'eus dû en découler ou m'y écrouler...

voilà que les choses changent et me rassurent...

Modifié le vendredi 23 juillet 2010 à 16:56

patapoche
48 Trois-Rivières
Abus Citer Posté le jeudi 3 mars 2011 à 19:30
Et...

Lisse; par-dessus mon Hêtre
Que du sable ou pire a la boue
et Onéreux de m'y mouvoir jusqu'à
Si et pourvoir commun rêve
Constance probable comme si m'instancie
et...

Mord, et déjà...

D'Or et IRM

Que je m'y sente de Nous et Main tenant(e)

Modifié le vendredi 11 mars 2011 à 21:31

patapoche
48 Trois-Rivières
Abus Citer Posté le mercredi 13 avril 2011 à 09:02
vif plus que semblant devenir voile
plus que souffle...
haletant a sa perle et Oh crux:
qui ci gît delà lumière?
masse et parallélisme mariant
tout êtres et tout faîtes
patapoche
48 Trois-Rivières
Abus Citer Posté le vendredi 10 juin 2011 à 16:06
si je ne t'en distrait que trop peu, si je te semble a comprendre ce qui se voudrais inutilement nécessaire, si tout semblant découler comme tel hasard; au plus, logique: pardonne-moi si j'ai quelques-fois toujours mal...
si prêt a ne pas m'y faire....
que je ne m'en fait que pour toi...
je suis là. pour toi. a ne pas douter mais totalement dérouté.
irrémédiablement apprivoisé.
je ne l'entends plus timide depuis qu'elle y apparait au delà et au travers et a chaque travers transparaissent de tels voluptuositées.
y voir...
et ne plus se méfier...
comme de Sa Propre Beauté...
patapoche
48 Trois-Rivières
Abus Citer Posté le jeudi 7 juillet 2011 à 11:25
repère et toit d’ivoire
d'un lux de pen
esseulé par un rêve

père, j'y bois, y vois
plus que sienne
et seul et tard trêve...
patapoche
48 Trois-Rivières
Abus Citer Posté le samedi 6 août 2011 à 13:48
Peur réel de m’éveiller en dormis
Manies: maux - dites je vous prie!
L’étang m'y jette et tout pétrie
In peto vers tiges d'écart promis

Modifié le samedi 6 août 2011 à 13:49

echpraste
48 Trois-Rivières
Abus Citer Posté le vendredi 12 août 2011 à 22:41
Vaste...

Et faste n'est-telle pas plus que suffisante a ma corde raide?

J'y arderai s'il le faux...

Dés, pas semant, eco, perdu, pendu du pendule je ne compterai plus...
echpraste
48 Trois-Rivières
Abus Citer Posté le samedi 20 août 2011 à 19:15
jamais d'un temps je ne cru même possible d'emprunter si beau paysage jusqu’à y sentir volatiles couleurs; sublime douleur que celle ci-git... sans agir... mais quelle bouche! que celle de par laquelle fusions comme fer, faite don papillons, liberune...
echpraste
48 Trois-Rivières
Abus Citer Posté le vendredi 26 août 2011 à 19:32
Belle et toute grande chatte
Errant sans usage
Qu'en liser pelage
Atouts oubliés...

Obliquant jusqu’à
Mise, montre épate blanche
D'un propre qui défaille
Coupée, l'ange remords...

Sans dire comme cents actes
Semblable dans l'impact
S'y rendre, si près et
Fortuit d'abdiquer...


echpraste
48 Trois-Rivières
Abus Citer Posté le mercredi 31 août 2011 à 07:28
Si tu abandonnes tes rêves:
D'ès l'or et sans présent;
Sans vie...

Si tu t'abandonnes a tes rêves:
D'ès l'aurore; agit, sent
main-tenant
cent vies.

Morte éteinte où?
Tout ne m'y porta guerre!
D’étreintes m'aurez teinté,
D'instants sans peur.

A_mi-chemin: port
Temps d'y croire
De la l'instance
De toute prestance


Modifié le vendredi 2 septembre 2011 à 18:32

echpraste
48 Trois-Rivières
Abus Citer Posté le samedi 3 décembre 2011 à 00:27
Et la souris: des champs
ayant vu; sur toutes roches
encore bu a toutes eaux
frais sous patte comme s’amuse
pleinement rassasiée.

jamais et pour toujours
saura-t'elle qu'a l'affût,
qu'en vie le pas lassé,
tout y brille rien n'y brise

mais si le Messie voeux
ou tous en veulent surplus
par sodium ou mercure
pour peux d'ivoire éclair

en ville allons-y donc!
ou je n'allais censure
sans confondre soleil
cents delà taire ombre-âge

Modifié le samedi 3 décembre 2011 à 09:02