Les forums Jasez
Littérature

Invecteur mortel ( histoire collective fictive)

Tu es ici : Les forums Jasez » Littérature » Invecteur mortel ( histoire collective fictive)
Répondre au sujet
Page(s) 1
Auteur Message
Répondre au sujet
Page(s) 1
bribder
43 Saguenay
Abus Citer Posté le dimanche 27 mai 2012 à 10:05
Un peu partout dans le monde une organisation obscure travaillent dans l'ombre pour une secte d'extrémistes religieux, le but de ce groupe radical est de supprimé la population mondiale non-juive, afin de réalisé le nouvel ordre mondial. Le modus operandi est le contrôle du climat, l'épendage aérien, mais surtout la contamination du tabac, ainsi que l'eau potable et la nourriture qui n'est pas certifié casher.

Par un beau dimanche matin du mois de mai, un veil homme qui a l'allure d'un petit banquier regardent au loin par la fenêtre de son immemble..... à votre tour




N.B respecter le sujet

Modifié le dimanche 27 mai 2012 à 10:07

aryanne2
33 Québec
Abus Citer Posté le dimanche 27 mai 2012 à 11:09
Citation de "bribder"Un peu partout dans le monde une organisation obscure travaillent dans l'ombre pour une secte d'extrémistes religieux, le but de ce groupe radical est de supprimé la population mondiale non-juive, afin de réalisé le nouvel ordre mondial. Le modus operandi est le contrôle du climat, l'épendage aérien, mais surtout la contamination du tabac, ainsi que l'eau potable et la nourriture qui n'est pas certifié casher.

Par un beau dimanche matin du mois de mai, un veil homme qui a l'allure d'un petit banquier regardent au loin par la fenêtre de son immemble..... à votre tour




N.B respecter le sujet





Ses différents tentacules avaient lentement envahi toutes les couches de la société et menaçait enfin la liberté du genre humain. Ses petits soldats du capital et leurs alliés médiatiques avaient réussi, en l'espace de trois générations, à enchaîner le petit peuple à l'endettement et à l'ignorance. Grâce à un savant mélange de prêts aux États, de spéculation boursière et d'emprunts étudiants, les populations les plus menaçantes se trouvaient enfin au bout de la corde et il ne restait plus qu'à pousser le tabouret afin qu'elles s'y balancent.


Son regard plongé sur la foule qui se réunissait sur le parvis des différentes églises de la ville refroidissait quelque peu son optimisme. Les gens normaux oubliaient leurs individualités égoïstes qu'il avait si difficilement établies comme consensus social. Pourtant, les tests effectués sur les minorités avaient été concluants. Les fumeurs s'étaient soumis, les pro-vie également... même les partisans de la sociale-démocratie s'étaient agenouillés devant les lois du capital.


Il se demandait comment il était possible, avec l'enseignement minimalisé du ministère de l'éducation et l'athéïsation imposée, ces jeunes avaient-ils pu rassembler la population derrière eux, devant ces foutues églises chrétiennes, à faire résonner des casseroles en signe d'insoumission à la loi qui allait concrétiser trois siècles de travail acharné. On parlait déjà depuis un temps des manoeuvres d'empoisonnement qu'il avait mis en place, mais ses collaborateurs des massmédias et ses marionnettes du politique avaient réussi à détourner la vérité en leur accolant l'étiquette de conspirationnistes. Il avait même réussi, à grand coup de propagande, à faire accuser les juifs de tout ces maux, comme l'avait si bien fait l'un des membres de sa confrérie au siècle dernier. Accuser les juifs avait été si facile !


Le Livre des livres renfermait la vérité et il espérait que la populace continue son tintamarre de casseroles, car au moins, elle ne discutait pas. Il redoutait les effets de la vérité et une phrase du Livre résonnait au rythme des chaudrons de la rue :

Voici, je te donne quelques-uns de ceux de la synagogue de Satan, qui se disent Juifs et ne le sont pas, mais qui mentent; voici, je les ferai venir se prosterner à tes pieds, et reconnaître que je t’ai aimé.





bribder
43 Saguenay
Abus Citer Posté le dimanche 27 mai 2012 à 13:52
Le song du train la mort qui approche, bientôt les manifestants et leurs tintamarres serons choses du passé. Le grand monarque maitre du monde sourit en songent à ce que son père disais souvent.

Il suffit de donner un instant à la foule le pouvoir de se gouverner elle-même pour qu'elle devienne, aussitôt, une cohue désorganisée.