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salv 59 Montréal |
Abus Citer Posté le mercredi 30 janvier 2008 à 03:51 |
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Certaines petites phrases sont moins inoffensives qu’elles n’en ont l’air. En apprenant que son fils a une fois de plus oublié ses cahiers à l’école, le père le plus compréhensif risque de grommeler: «Comment peut-on être aussi tête folle!» Même à bout de patience, il faut que vous sachiez éviter certaines petites phrases humiliantes. «Les parents doivent apprendre à maîtriser leur colère et leur frustrations quand ils grondent un enfant», Huit de ces petites phrases, hélas! très répandues, peuvent blesser profondément l’amour-propre d’un enfant. Les voici, avec chaque fois quelques trucs pour éviter le piège. 1. «Prends exemple sur...» Marie fait toujours ses devoirs et pense même à se brosser les dents. Très fiers d’elle, ses parents reprochent sans cesse à son rêveur de frère de ne pas être à la hauteur: «Regarde Marie. Pourquoi n’es-tu pas capable d’en faire autant?» Au lieu de lui donner son frère ou sa soeur comme modèle, pourquoi ne pas expliquer à votre enfant ce que vous attendez de lui? Si vous voulez qu’il range sa chambre ou reste à table jusqu’à la fin du repas, dites-le-lui clairement. En même temps, faites-lui prendre conscience de ce qu’il gagnera à vous obéir. «Si tu remets tes devoirs à temps, tu auras de meilleures notes et tu n’auras pas besoin de suivre des cours de rattrapage cet été.» Il se montrera beaucoup plus réceptif à vos remarques s’il sait qu’elles visent à modifier ce qu’il fait, non ce qu’il est. 2. «Tu te conduis comme un bébé!» Au restaurant, votre fille de sept ans se tient comme un enfant de quatre ans. Mal à l’aise, vous lui lancez sèchement: «Quand vas-tu cesser de faire le bébé?» Vexée, la petite continue de plus belle à vider les salières de l’établissement. Et si, au lieu de la provoquer, vous lui aviez servi un avertissement pour tenter de la ramener à la raison? «Blesser l’amour-propre de l’enfant ne vous mènera nulle part, note Fleming. Faites-lui plutôt comprendre que s’il ne change pas d’attitude, il sera puni - privé de son émission de télévision préférée, par exemple. Il saura instantanément à quoi s’en tenir.» 3. «Habille-toi comme du monde!» Un matin, vous vous réveillez, et le petit garçon que vous trouviez si beau en barboteuse bleue vous arrive en jean rapiécé et maillot noir à l’emblème du groupe rock à la mode. La guerre des styles vestimentaires ne fait que commencer. Si vous critiquez sans arrêt les goûts de vos adolescents, vous allez vous heurter à une résistance farouche. Êtes-vous obligé d’imposer votre volonté dans chaque cas? «Si votre enfant sort avec des amis, laissez-le donc s’habiller comme il en a envie. Si c’est vous qu’il accompagne, par contre, exigez de lui une tenue correcte. Il doit apprendre qu’il ne peut pas porter la même chose partout et que ses parents sont en droit de l’obliger à se changer dans certaines circonstances.» 4. «Comment peut-on être aussi stupide?» Si vous voulez que votre enfant ait confiance en lui plus tard, vous n’y arriverez sûrement pas en mettant son intelligence en doute chaque fois qu’il commet une erreur. Aidez-le plutôt à se corriger en lui montrant comment s’y prendre et en le félicitant lorsqu’il s’exécute correctement. 5. «Mais qu’est-ce qui m’a pris d’avoir des enfants!» Ce que vos enfants comprennent, c’est: «Je ne veux plus de toi. Tu ne vaux rien .» «Ils risquent de s’en souvenir longtemps - jusqu’à l’âge adulte parfois», Si vous êtes exaspéré, , dites plutôt à l’enfant qu’il vous met hors de vous. Mais surtout, faites en sorte de ne pas en arriver là. L’enfant qui connaît les règles et voit que ses parents les appliquent d’une manière ferme et juste ne les irritera jamais au point de les amener à lancer, même à voix basse, une telle remarque. 6. «Veux-tu bien te taire!» Il n’y a pas de meilleur moyen de persuader un enfant que son opinion de compte pas et, à la longue, de lui faire perdre toute estime de lui-même. Essayez d’abord la manière douce: «Calme-toi, ne t’énerve pas, parle moins fort...» Si elle ne marche pas, imposez une sanction, calmement mais fermement. Éteignez la télévision ou envoyez l’enfant dans sa chambre. 7. «Si tu n’obéis pas, gare à toi!» Les menaces vagues ne font qu’affaiblir votre autorité. Elles incitent l’enfant à vous défier pour voir jusqu’où il peut aller. Vous devez au contraire être précis et mettre la menace à exécution si l’enfant n’obéit pas. «Quand les parents sont inflexibles, , les enfants n’insistent pas longtemps: ils savent ce qu’ils risquent. Si l’enfant est jeune, il suffira en général de l’envoyer dans sa chambre. Plus tard, la punition prendra la forme d’une privation de privilèges.» 8. «Vas-tu me laisser tranquille?» Tous les parents ont besoin d’un peu de temps à eux, mais en repoussant un enfant, vous pouvez lui donner l’impression qu’il est de trop dans votre vie. S’il sollicite votre attention, c’est peut-être, justement, parce que vous ne lui en accordez pas assez. Dans la mesure du possible, essayez d’intégrer l’enfant à vos activités. Même un tout-petit peut «aider» à mettre la table. Si vous devez absolument vous isoler, dites-le délicatement: «Je t’aime beaucoup, mais je suis trop occupé pour jouer avec toi maintenant.» Et promettez-lui d’aller le retrouver un peu plus tard. Vous ne réussirez pas toujours à ravaler à temps les mots blessants qui vous montent aux lèvres. Heureusement, les enfants se remettent très vite d’un chagrin quand on sait les consoler et leur demander pardon. Non seulement vous réparerez ainsi les dommages que vous avez pu causer, mais vous montrerez à l’enfant ce qu’il doit faire lorsqu’il blesse involontairement quelqu’un. L’essentiel, c’est que l’enfant ne puisse jamais douter de votre amour. |
salv 59 Montréal |
Abus Citer Posté le mercredi 30 janvier 2008 à 03:53 |
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«Eh que t'es con!» N'avons-nous pas tous été victime de ce genre d'agression verbale? Comment se sent-on après une agression de la sorte? Quelle conséquence peut avoir cette agression verbale sur notre estime de soi? Voilà autant de questions auxquelles seul l'individu peut répondre. Malgré toutes les carapaces que l'on met en place pour se protéger contre les agressions, personne ne peut rester insensible aux blessures infligées par certains mots et gestes. Tous les jours, nous sommes exposés, agresseur ou victime, de ces mots et gestes blessants. Nous savons que l'estime repose sur l'image de soi et sur le développement de sentiments tels que la sécurité, l'appartenance, l'identité, la compétence et la persévérance. Lorsque l'individu est blessé par des mots et gestes, l'image de soi s'affaiblit et influence le développement de sa personnalité. Comme adulte, nous avons tous été exposés un jour ou l'autre à des mots, des gestes ou des sarcasmes blessants (ex. bébé lala, épais(se), paresseux(se), tu ne fais jamais rien de bon, etc.). Prenons quelques instants pour y réfléchir. 1. Lorsque j'étais enfant, quels mots ou gestes de mes parents me blessaient? Quels mots ou gestes de mes amis me blessaient? 2. Aujourd'hui, y a-t-il des mots ou des gestes qui me blessent encore? 3. Comme parent, m'arrive-t-il de faire usage de mots ou de gestes qui pourraient blesser mon enfant? 4. Quels mots ou gestes de mon enfant me blessent? 5. Arrive-t-il que mon enfant se plaigne de mots ou de gestes posés à son endroit? Lui arrive-t-il d'utiliser un langage blessant? Comment faire face à ces situations Comme parent, il nous arrive de vivre de la colère face à nos enfants. Lorsqu'elle est trop forte, il est préférable d'attendre, si possible, avant de faire quoi que ce soit. Une tierce personne (conjoint, ami, parent, etc.) peut nous aider en nous écoutant. Par la suite, nous devons exprimer notre sentiment en utilisant le prénom "je". Par exemple : «Je suis très fâché que tu aies mis la salle de jeu tout à l'envers», au lieu de «tu n'es rien qu'un...». Rien ne sert d'agresser par des accusations. De cette façon, l'intégrité de notre enfant n'est pas blessée et notre sentiment est exprimé. Pour notre enfant, c'est la même chose. Il est important qu'il identifie son sentiment et qu'il l'exprime tel quel: «J'ai de la peine lorsque tu me dis... ». «Je suis fâché que tu m'aies traité de... ». Nous pouvons entraîner nos enfants à exprimer leurs sentiments face à différents événements, agréables ou désagréables. Nous créons donc une habitude à s'exprimer en "je" plutôt qu'en "tu". Malgré le fait de dire ce que nous ressentons, il arrive que le problème demeure. Les enfants ont besoin de notre soutien afin de faire cesser cette violence verbale. Comme parent, nous devons apporter une conséquence à celui ou celle qui abuse verbalement, mais attention, une conséquence qui l'aidera à reprendre sa propre estime. Rendre un service à la personne qu'on a blessée, l'aider dans une activité, lui écrire une lettre soulignant ses qualités, s'excuser sincèrement après une période de retrait afin de calmer sa colère, sont tous des moyens de reprendre contact, de "réparer" la blessure et de maintenir son estime de soi. Lorsque notre intervention ne suffit pas, regardez la situation dans son ensemble. Certains enfants semblent être la cible d'attaques verbales répétées des adultes. Leurs attitudes les rendent plus vulnérables. Il faut donc travailler sur plusieurs plans afin d'améliorer l'estime de soi et par le fait même diminuer les agressions verbales. Voici quelques suggestions: • Avoir une ou un bon ami. Un enfant qui est seul est plus vulnérable aux sarcasmes des autres. • Ne pas répondre à la violence par des gestes ou des mots. Si l'enfant ne réagit pas et continue de s'amuser avec ses amis, l'agresseur n'a pas ce qu'il recherche, c'est-à-dire une réaction. • L'humour est une "arme" irrésistible. Elle dédramatise la situation et "désarme" nos attaquants. Elle nous aide à se défaire de l'emprise que les autres peuvent avoir sur nous. Conclusion Nous devons, comme parent, être vigilant face à la violence verbale. Nous devons pratiquer nos messages en "je" afin de donner l'exemple à nos enfants. La violence verbale n'est pas chose anodine. Le coeur a besoin de "soleil" pour s'épanouir. |
salv 59 Montréal |
Abus Citer Posté le mercredi 30 janvier 2008 à 03:55 |
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Envoyé par zezette43 le 27/01/2008 à 20:05 *Malgré le fait de dire ce que nous ressentons, il arrive que le problème demeure. Les enfants ont besoin de notre soutien afin de faire cesser cette violence verbale.* On parle de violence verbale entre enfants mais parfois cela débute par les parents...le soutien devient impossible quand déjà tes parents usent de la violences envers leurs propres enfants.. Voici un texte qui porte à réfléchir... Colère... Définition En psychologie, la colère est considérée comme une émotion secondaire à une blessure, un manque, une frustration. Et bien je suis en colère.Une colère rentrée. Etouffée par les convenances, la crainte de m'affirmer, de couper définitivement des ponts, des liens, le cordon? Et cette colère me fait mal. Elle m'étouffe. Elle me bloque. Elle me fait souffrir. J'ai mal. Tous les jours. Tout le temps. Donc là j'ai décidé d'évacuer. Mais ce n'est pas si facile qu'on pourrait le penser. Je m'étais dit. « bon ça y est c'est fini » ; Pas du tout. Ca ne fonctionne pas si facilement. Je rumine toujours. Alors j'écris ici. Pour exorciser cette douleur. Peut être qu'un jour j'aurais le courage de dire « Maman tu as fait une erreur » Une erreur et non pas une faute. Car tout le monde peut se tromper n'est ce pas ? Et je ne veux pas renvoyer ce sentiment de culpabilité qui m'a pourrit une partie de ma vie. De ruminer, de penser. Je me suis regardée en face. J'ai évoqué tout ce que j'ai pu faire en bien comme en mal. Je me suis trompée parfois, souvent ? J'ai fait souffrir des gens. J'ai renvoyé les coups reçus, frapper là où cela faisait mal car on m'avait blessée, parfois durement, si durement. Mais en fin de compte, je ne suis pas si mauvaise. ON me l'a dit souvent, et je finis par le croire, même si c'est immodeste. Je suis quelqu'un de bien, je crois. Non j'en suis sure même. Je suis plutôt gentille et compatissante et j'essaye de penser aux autres. J'ai des défauts, comme tout le monde, bien sur. Mais dans l'ensemble, l'image que me renvoie le miroir le matin me plait bien. Alors MERDE, MERDE, à mes parents, à ceux qui veulent me juger, à ceux qui veulent m'obliger à être ce que je ne suis pas. De toute façon si ça ne plait pas, ça sera exactement la même chose. Je décide de ce qui est bien pour moi et personne ne décidera plus jamais à ma place. |
salv 59 Montréal |
Abus Citer Posté le dimanche 3 février 2008 à 16:46 |
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un site trés interessants...avec son moteur de recherche on trouve de tout sur ce site |
apitchou 43 Hull |
Abus Citer Posté le mardi 5 février 2008 à 15:16 |
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Merci Salv. Tes interventions sont toujours de bon goût. Plus ça va, plus j'suis convaincu que j'vais être un bon papa. T'é cool mon chummé. Peace |
salv 59 Montréal |
Abus Citer Posté le mardi 5 février 2008 à 15:30 |
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je suis convaincu que tu seras un bon Pére...j ai aucun doute,..cet enfants va etre choyé..je te souhaite ce bonheur.. |
salv 59 Montréal |
Abus Citer Posté le mercredi 6 février 2008 à 04:28 |
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tu as raison quand tu dis qu il y a des parents qui realise pas que certains mots peuvent faire tres mal...surtout les mots **té bon a rien...té nul***...ca ca aide pas du tout..... .moi aussi j ai dit des mots qui blessent a mon enfants....mais je croyais pas que c etais si grave..quand je lis ces textes je realise que oui certains de mes comportement peuvent l avoir influencer...meme si moi je crois que j ai quand meme assez bien reussit a l eduquer du mieux que je pouvais.. aujourd hui j ai des petits enfants et quand mon gars leurs dit certains mots a ses enfants ...je lui fais la remarque....ces textes m aide beaucoup et je les mets encore en pratique... encore avec mon gars de 22ans ..pour que lui il realise combien certains mots peuvent blesser ses enfants.....si j aurais lu ses textes v la 22ans ca m aurais surement aidé a mieux a comprendre mon enfants alors j imagine quand je pense a nos ancetres..nos parents qui allais meme pas a l'ecole...ils avais pas trop de ressources pour comprendre mieux ce que certains mots peuvent faire une difference...je leurs en veut pas j ai bien compris ce que tu voulais dire quand ta donné l exemple de ton enfants et le passé.....ces pas si grave si t aurais pas repondu...j ai pas mit ces textes pour que le monde reponde mais bien pour que certains parents qui ont des jeunes enfants lise ces textes.....comme tu dit il faut pas demolir la personnalité de nos enfants..avec ces mots qui blessent |
salv 59 Montréal |
Abus Citer Posté le mercredi 6 février 2008 à 04:35 |
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http://teljeunes.com/accueil/fr/index.asp |
salv 59 Montréal |
Abus Citer Posté le samedi 9 février 2008 à 17:42 |
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L’estime de soi est la valeur que nous nous accordons. Elle est fondée sur la perception que nous avons de nous et sur la confiance en notre capacité à être aimé, en nos compétences et en notre individualité. Une bonne estime de soi signifie : • avoir une bonne opinion de soi; • avoir confiance en sa valeur personnelle; • avoir une attitude positive; • être satisfait de soi la plupart du temps; • se fixer des objectifs réalistes. Les enfants, tout comme les adultes, tirent profit de bonnes relations, des expériences vécues et de la pensée positive. Bon nombre des étapes nécessaires au développement de l’estime de soi de vos enfants seront également utiles au développement et au maintien de la vôtre. En tant que parent, vous avez la plus grande influence sur le développement de vos enfants et de leur sentiment de valeur personnelle. Vous êtes leur principal éducateur et le plus important. Leur estime de soi est influencée davantage par les relations qu’ils établissent avec les autres membres de la famille, leurs professeurs, leurs amis et d’autres adultes. L'amour et l'acceptation Montrer aux enfants qu’ils sont aimés et acceptés simplement parce qu’ils existent constitue la première et la plus importante étape du développement d’une saine estime de soi. Les enfants ont besoin de savoir qu’ils sont dignes de l’amour de leurs parents, les adultes les plus importants pour eux, et ce, même s’ils se conduisent mal par moment. N’oubliez pas: • de les aimer inconditionnellement; • de démontrer votre amour et votre acceptation par votre affection, votre attention et votre souci à leur égard; • de passer du temps avec eux : jouer, travailler et relaxer ensemble; • de leur montrer que vous les appréciez en les embrassant; • de les féliciter pour leurs bons coups et de leur dire que vous les aimez. Un sentiment d'appartenance Les enfants ont besoin de savoir qu’ils sont importants. Lorsqu’ils se sentent acceptés et aimés par les personnes importantes pour eux, ils se sentent également à l’aise et en sécurité et sont disposés à communiquer. Si les enfants se sentent respectés et en sécurité au sein d’une famille, il sera plus facile pour eux de se faire des amis. Afin d’aider vos enfants à développer un sentiment d’appartenance, vous pouvez : • les aider à établir de bonnes relations au sein de la famille et de la collectivité; • les encourager à être fiers de leur origine ethnique et de leur héritage culturel; • conserver à la maison des souvenirs d’activités familiales (albums de photos, vidéos, etc.). Sécurité et sûreté Pour que les enfants puissent se sentir à l’aise et en sécurité, il est nécessaire de combler leurs besoins de base. Le sentiment de sécurité et de sûreté leur permet de franchir l’étape suivante : essayer de nouvelles choses et apprendre à se connaître. Lorsque les enfants se sentent en sécurité, ils sont moins susceptibles d’avoir peur des échecs et sont plus enclins à essayer à nouveau s’ils échouent à la première tentative. Ainsi, ils pourront réussir. En tant que parent, vous devriez : • leur fournir un environnement physique sécuritaire; • établir des règles et des limites claires et vous assurer que celles-ci sont respectées; • avoir des attentes réalistes; • les encourager à se dégager des pressions négatives. La confiance Un environnement stable sur lequel il est possible de compter donne un sentiment de sécurité aux enfants. Il est important pour eux d’apprendre que leurs actions ont des conséquences. Le fait de savoir qu’ils peuvent se fier sur votre stabilité et sur votre aide au besoin leur permet de comprendre qu’ils peuvent vous faire confiance et que vous pouvez également avoir confiance en eux. Pour établir ce climat de confiance, vous devez : • être consistant afin qu’ils sachent à quoi s’attendre; • assurer la cohérence de ce que vous communiquez, verbalement et par vos actions; • être franc quant à vos sentiments envers vous et vos enfants; • traiter chaque enfant de façon juste. Le respect Les enfants développeront le respect de soi et des autres s’ils sentent que ce qu’ils pensent, ressentent et font est important. Si vous les découragez ou si vous vous moquez d’eux, ils se sentiront inutiles. Si les critiques ou les punitions sont trop sévères, elles nuiront au développement de leur estime de soi. En laissant vos enfants exprimer leurs sentiments, ceux-ci apprendront à respecter les sentiments des autres. Si vous leur montrez la bonne manière d’exprimer leurs sentiments, ils apprendront à développer des relations enrichissantes. Dans tous vos rapports avec vos enfants, n’oubliez pas : • d’accepter ce qu’ils ressentent et ce, même si leurs sentiments sont différents des vôtres; • de montrer que vous respecter leurs sentiments, leurs croyances, leurs actions et leur individualité en les écoutant en manifestant un intérêt sincère; • d’utiliser des mots comme « Je trouve que » ou « Je crois que » plutôt que « Tu es » lorsque vous devez expliquer à vos enfants que ce qu’ils font est mal. AVOIR LE SENTIMENT D’ÊTRE SPÉCIAL Nous avons tous des qualités qui nous différencient. Il est important d’aider vos enfants à découvrir leurs qualités et leurs talents. Une fois qu’ils ont découvert ce qui les particularise, ils doivent apprendre à reconnaître la valeur de leurs forces personnelles. N’oubliez pas d’enseigner à vos enfants que se sentir spécial ne veut pas dire se croire meilleur que les autres. Il s’agit plutôt de reconnaître leur propre individualité d’une manière positive. Vous devez encourager vos enfants à : • apprécier leur individualité; • être optimistes; • être d’humeur agréable (n’oubliez pas de donner l’exemple); • expérimenter à leur façon; • comprendre que faire de son mieux est plus important que de gagner. La confiance Il est extrêmement important de donner son appui et son approbation aux enfants. Les enfants qui ont confiance en eux et en leurs capacités sont plus aptes à mener une vie adulte heureuse et productive. Apprenez-leurs à mettre leurs erreurs à profit, à travailler pour atteindre un objectif et à être fiers de leurs réussites. Vous devez : • les encourager à affronter leurs difficultés et à prendre des risques; • leur montrer comment prendre des décisions et se fixer des objectifs; • leur manifester votre confiance en eux et en leurs capacités; • leur fournir des occasions de prendre la responsabilité de leurs actions; • les aider à reconnaître qu’il y a des choses qu’ils doivent accepter et d’autres qu’ils peuvent changer s’ils le souhaitent; • leur donner la chance de réussir. |
zezette43 62 Inexistante |
Abus Citer Posté le samedi 9 février 2008 à 18:45 |
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Merci de nous faire partagé tout ca..j'espère que ca va aidé... Je remet quelque chose ici..si tu permet... Une lettre pour les mamans.... ************************************************** Pour toi seul maman.... Ne me gâte pas.Je sais très bien que je ne peut obtenir tout ce que je veux.Je te test seulement. N'aie pas peur d'être ferme avec moi.J'aime ca,je me sent en sécurité. Ne me laisse pas formé de mauvaise habitudes.Je dois compter sur toi pour les détecté pendant que je suis jeune. Ne me fait sentir plus petit que je ne suis,Cela me fait agir stupidement pour montrer que je suis grand. Ne me corrige pas en public si tu le peut.Je comprend beaucoup mieux quand tu parles doucement et dans l'intimité. Ne me protège pas trop des conséquences.Je dois parfois apprendre de la facon la plus dure. Ne me dit pas que mes erreurs sont des pêchés,cela fausse mon sens des valeurs. Ne sois pas fâché quand je te dis:Je te hais.Ce n'est pas toi que je hais,mais ton pouvoir de me commandé. Ne me répète pas toujours les même chose.Si tu agis ainsi je devrai me protéger en faisant la sourde oreille. Ne fais pas de promesses que tu ne peut pas tenir,je suis très décu quand les promesses sont brisées. N'oublie pas que je ne peut pas m'exprimer aussi bien que je le voudrais,C'est pourquoi je ne suis pas toujours précis. Ne discutes pas trop de mon honnêteté.Si tu me fais peur,je raconterai des mensonges. Ne soit pas celles qui changent toujours d'idées,je devient confus et je perd confiance en tout. Ne me repousse pas quand je te questionne,si tu fais ca,je trouverai les réponses ailleurs. Ne me dit pas que mes craintes sont stupides,elles sont horriblement réelles. Ne me dit pas que tu es parfaite où infaillible,cela me donne un grand choc quand je découvre le contraire. Ne crois pas qu'ils est indigne de me demander pardon,des excuses honnêtes me rapproche de toi. N'oublie pas que j'aime faire des expériences,je ne peut pas vivre sans elles,alors soit patiente. Ne te préoccupe pas trop de mes malaises,il m'apporte souvent l'attention dont j,ai de besoin. N'oublie pas que je grandis rapidement,c'est difficile de me suivre,mais essaie au moins. Je suis différent,je suis pas comme toi maman,dit tu me comprend? De ton futur adolescent...... |
salv 59 Montréal |
Abus Citer Posté le samedi 9 février 2008 à 18:58 |
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pour ton texte..ton message explique bien l attention qu il faut porter aux enfants... ils sont unique et non comparable... |
salv 59 Montréal |
Abus Citer Posté le dimanche 17 février 2008 à 15:27 |
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il faudra leur dire http://fr.youtube.com/watch?v=sUsG1ycsh4E |