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qwertyu 58 Amour |
Abus Citer Posté le samedi 22 novembre 2008 à 22:07 |
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L'endos, la quatrième de couverture, est la dernière page extérieure d'un livre.
On y retrouve un résumé, un extrait représentatif ou une brève présentation de l'auteur. C'est souvent l'éditeur qui rédige cette partie comme incitatif promotionnel à acheter et lire l'ouvrage. Si le Québec était un livre, qu'est-ce que vous mettriez à l'endos ? Et si le livre racontait des dizaines d'histoires représentant le passé, le présent ou l'avenir du Québec et des Québécois, ce seraient quoi les principaux éléments historiques ou du quotidiens que ce livre devrait couvrir pour faire le tour de la culture Québécoise ? Juste des questions comme cela... |
kiss.alive.ll 68 Dans l bois |
Abus Citer Posté le dimanche 23 novembre 2008 à 01:50 |
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Comme toi ![]() |
qwertyu 58 Amour |
Abus Citer Posté le dimanche 23 novembre 2008 à 09:20 |
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Citation de "kiss.alive.ll"
Comme toi ![]() Un trou de cul sert à chier et non à s'exprimer... Tu vois la différence ? Tu vois ton problème ? Le truc sous le nez est supposé te servir à parler et non pour chier... Le truc derrière est supposé te servir pour chier et non pour parler... Tu vois la différence ? Même avec une bouche en cul de poule, les deux ne sont pas interchangeable.... Tu comprends pourquoi tu es vraiment incapable d'exprimer quoi que ce soit ? Tu comprends pourquoi tu as l'air si constipé ? Je t'aime bien toi... ![]() Tu abandonnes jamais et en redemande encore et encore ! |
qwertyu 58 Amour |
Abus Citer Posté le dimanche 23 novembre 2008 à 09:28 |
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Citation de "madame007"Citation de "kiss.alive.ll"Un gros trou de Q Comme toi ![]() Il y a de belles citations ici.... ... qui va m'empêcher de dormir. Relaxes ! Il se force tellement pour chier dur qu'il va finir par s'éclater l'anus et porter un sac. Si ce n'est pas déjà fait ! Mais parlant de dormir, je ne trouvais pas le sommeil cette nuit. Alors j'en ai profité pour écrire une dizaine de synopsis de livres... tant qu'à perdre mon temps ! ![]() |
qwertyu 58 Amour |
Abus Citer Posté le dimanche 23 novembre 2008 à 09:29 |
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Raconte l'histoire de colons Français en route vers la nouvelle France. La périlleuse traversé ne servant que de prétexte pour raconter les histoire individuelles motivant ceux ci à émigrer volontairement, de force ou par la force des choses, vers ce nouveau monde encore à construire. Alors que certains rèvent d'un bel avenir, d'autres n'espèrent que mettre fin à leurs misères ou réussir à fuir un pays dans lequel ils n'ont plus de place et qui ne veut plus d'eux. La colonie ou la mort ? Mais la mort rode aussi sur le navire et ces colons savent que la faux s'abatra sur 40% d'entre eux avant la fin du périple. Ceux qui survivent pour voir la terre apparaître à l'horizon savent que les épreuves ne sont pas terminées, mais n'ont-ils pas démontrer qu'ils avaient la force de caractères nécessaires pour y survivre ? Alors c'est le coeur remplis d'espoir qu'ils crient nouveau monde à l'horizon. |
qwertyu 58 Amour |
Abus Citer Posté le dimanche 23 novembre 2008 à 09:30 |
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Les colons Français débarquent du navire. Ils doivent maintenant se choisir une nouvelle vie. C'est un choix facile mais cruel. Facile, car les choix disponibles sont très limités. Cruel, car un mauvais choix signifie une mort presque assurée. Quel est le bon choix ? Quel est le meilleur choix ? Pas celui des autres mais pour moi ? Dans ce monde hostile et encore sauvage selon les normes des vieux pays, la pire erreur à faire pour un colon est de surestimer ses forces et ses qualités ou ne pas tenir compte de ses faiblesses et de ses défauts. Quand savoir se juger à sa juste valeur devient la principale valeur de survie, seul ceux qui feront le bon choix s'assureront de vivre assez longtemps pour espérer avoir une descendance. Soldat ? Pêcheur ? Fermier ? Bucheron ? Trappeur ? Faut-il rester dans la sécurité du village portuaire ou s'enfoncer dans les terres ? Et les sauvages ? Tellement de questions sans réponses évidentes. Après le choix, nos amis se séparent et partent vers des périples individuels. Pour certains, c'était la toute première fois de leurs vie qu'ils avaient un véritable choix et étaient enfin maître de leurs destinés. Vers le meilleur ou le pire...
Pas comme Tank qui ne connait que le pire. |
qwertyu 58 Amour |
Abus Citer Posté le dimanche 23 novembre 2008 à 09:32 |
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Pierre ne voyait pas de meilleur choix pour lui. Ce monde était encore beaucoup trop sauvage à ses yeux pour espérer y survivre, et encore moins y réussir, sans la protection d'un groupe. Ce n'était pas qu'il était lâche, bien au contraire, car il se sentait prêt à mourir au combat si nécessaire. Mais ce bel uniforme, ces armes, cette vie ordonnée et rangée sous la direction d'un supérieur, lui semblait bien préférable aux autres choix ni plus ni moins risqués. Faire règner la loi et l'ordre, pouvoir protéger les autres colons contre les menaces extérieurs ou intérieurs, lui permettait de ressentir la satisfaction du devoir accompli tout en restant dans le cadre de valeurs déjà clairement définies. Dans ce monde de sauvages, la fibre patriotique s'éveillait en lui : Vive le Roi! Vive la France! Vive la Nouvelle France! Même si ce sentiment n'était pas partager par l'ensemble des colons... Un peu comme ce que Tank prétend vouloir faire, la rétention anale en moins. |
qwertyu 58 Amour |
Abus Citer Posté le dimanche 23 novembre 2008 à 09:37 |
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Jean se sentait capable d'affronter la mer. Il n'avait jamais été malade durant la traversée et avait même aider les marins à plusieurs reprises, juste pour passer le temps. Ils aimaient bien ces vieux loups de mers qui l'avait récompensé en lui racontant des histoires de tempêtes, de pirates et d'aventures. Mais devait-il quitter ce port pour les terres ou rester et tenter l'aventure ? Pour l'instant, il n'y avait qu'un capitaine qui lui offrait une place à bord de son bateau de pêche. On ne peut pas vraiment parler de gloire, d'aventures et encore moins de promesses de richesses! Et il ne sait même pas nager ! Mais la mer... à la fois si attirante et si effrayante. Jean ne peut s'expliquer l'étrange sensation de manque qu'il ressent de ne plus avoir un pont ondulant sous ses pieds. Cette sécurité de la terre ferme, qu'il désirait tant il y a à peine deux semaines, lui semble à présent sans attraits. Pêcheur ! On risque sa vie tous les jours à se battre contre les éléments mais n'est-ce pas encore au port qu'on retrouve aussi le plus de femmes ? Après tout, c'est par bateau qu'elles arrivent... Il croit être capable d'affronter la mer, mais il découvre rapidement qu'il s'attaque à plus fort que lui. Il meurt noyer à la fin. C'est triste, mais il y a tellement de cons qui font des mauvais choix dans la vie que je ne peux pas les exclure de la Saga... Tank ? Non, pas vraiment rapport... |
qwertyu 58 Amour |
Abus Citer Posté le dimanche 23 novembre 2008 à 09:39 |
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En regardant l'arbre s'abattre, Jacque se demandait s'il avait fait le bon choix.. On lui avait donné le lopin le plus éloigné de la seigneurie. Encore 25 arbres à couper juste pour défricher le minimum nécessaire pour construire une cabane et survivre au premier hiver. Une ferme ? À peine un jardin! Il lui faudra travailler sans relâche durant 2 ans avant de pouvoir parler d'une terre digne de ce nom. Et c'est sans compter le temps perdus aux servitudes, car il y a ce chemin du Roy à construire et on parle aussi de faire un pont sur la rivière l'assomption. Peut-être 3 ans. Peut-être même 5 ans si la chasse n'est pas suffisante pour survenir à ses besoins et que la faim le pousse à monter aux camps des bucherons. Mais il n'est pas question de baisser les bras ! Patience et travail apporteront leurs récompenses ! Après la chute du dixièmes arbres, Jacque se pissa sur ses mains sèches et rugeuses afin de soulager un peu ses souffrances et éviter l'apparition d'ampoules crevées, toujours un risque d'infections mortelles en ces lieux. Il faut vraiment avoir de la patience, de l'endurance, de la détermination, presque de la résignation, pour trouver la force et le courage de travailler aussi fort dans ces conditions. Jacque sait qu'il possède toutes ses qualités. Alors il se résigne et redouble d'efforts car il sait que les colons fermiers sont toujours le premier choix des filles du Roy. Elles aiment qu'un homme démontre qu'il peut travailler aussi fort qu'il le faut pour assurer la survie et protection de sa famille, mais sans pour autant risquer sa vie tous les jours. Car ce n'est vraiment pas un monde pour la veuve et l'orphelin... C'est pas comme Tank qui n'a aucune chance. |
qwertyu 58 Amour |
Abus Citer Posté le dimanche 23 novembre 2008 à 09:43 |
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Joseph regarda l'arbre s'abattre à l'endroit prévu. Ce n'était pas toujours le cas. On ne comptait plus les bûcherons tués ou mutilés par la chute d'un arbre ou par un coup de hâche mal placé. Et les chutes, car il fallait bien grimper et élaguer ses arbres majestueux avant de les couper. Beaucoup plus facile de le faire au sol mais plus risqué d'endommager le bois et le tronc. Même transporter ces énormes billots à la rivière tuait son lot d'hommes et de chevaux. Mais plus d'hommes que de chevaux, car ces derniers sont beaucoup trop rares et précieux pour les risquer inutilement. Mais les plus fous de tous, c'étaient ceux qui risquaient leurs vies à faire descendre le bois sur la rivière. Il n'y rien de plus dangereux au monde que de sauter d'une pitoune à une autre pour dégager un embacle de bois à l'entrée de rapides, et c'est toujours là que ces satanés embacles se forment, là ou l'eau est peu profonde. Sauf peut-être baiser les catins qui montent au camp! Celles que baiseraient les ancêtres de Tank s'ils n'avaient pas déjà une mère ou une soeur à se mettre sous la main. |
qwertyu 58 Amour |
Abus Citer Posté le dimanche 23 novembre 2008 à 09:44 |
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Michel savait que devenir trappeur exigerait de lui des qualités exceptionnelles. S'il est relativement simple et facile de se battre contre un nouveau monde pour tenter de le rendre à son image, ou celles des valeurs de vieux pays, Dieu bénisse la France, c'est une toute autre histoire de vouloir essayer de le comprendre et de l'assimiler au point de presque devenir un sauvage. Ces sauvages qui ne sont pas toujours si sauvages, pas autant que les villageois le prétendent en tout cas. Michel se souvenait de sa première véritable rencontre avec un de ses sauvages qu'il tentait d'éviter. Les deux hommes se fixant droit dans les yeux et prêts à s'entre-tuer à la moindre provocations ou signe d'hostilités. Mais aucuns des deux ne semblait vouloir attaquer l'autre le premier, poser le premier geste d'agression. La peur se calma peu à peu et une curiosité mutuelle la remplaça lentement. Michel retira la main de son couteau presque aussi vite que le sauvage de son tomahak mais ressentît un peu de honte de ne pas avoir été le premier assez brave pour le faire. Alors il lui tendit un morceau de lapin et ce sauvage, pourtant sans valeurs morales chrétiennes, lui rendit son sourire. Michel se trouva chanceux. Car il connaissait les histoires des missionaires cruellement torturés et tués par ses sauvages. Il tenta encore sa chance en décidant de suivre son nouvel ami, qui l'invitait par geste à le suivre à son village. Il fallait vraiment être brave ou fou pour le suivre ainsi vers l'inconnu, car même le sauvage ne pouvait pas garantir les réactions de sa tribus. Mais qui ne risque rien n'a rien ! Avec beaucoup de bravoure, mais encore plus de résignation, il accepta de faire confiance à l'avenir et à son ami. Il apprécia beaucoup le confort et la chaleur du teepee dans lequel on l'invita à passer la nuit. Mais beaucoup plus encore la douceur des caresses de la squaw qui vint le rejoindre durant la nuit. Après toutes ces semaines solitaires et la peur de mourir sous la torture, imaginez-vous l'intensité de l'orgasme ? Sa morale chrétienne le poussa à considérer cette femme comme son épouse. Du moins le temps nécessaire pour qu'elle et son frère lui enseignent la langue, leur mode de vie et tout ce qu'il avait besoin de savoir sur les amérindiens et la terre pour pouvoir y survivre comme un natif. Et surtout, que c'était le respect qu'ils avaient senti chez lui qui les avaient décidés de l'acceuillir plutôt que de le tuer facilement. Une erreur que beaucoups de missionnaires bien intentionnés n'avaient pas été capable d'éviter... On regrette juste que l'ancêtre de Tank n'ait pas été un de ses missionnaires. |
qwertyu 58 Amour |
Abus Citer Posté le dimanche 23 novembre 2008 à 09:46 |
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Marie examina une dernière fois les hommes disponibles et se décida enfin : je veux prendre Jacques comme époux pour le meilleur et pour le pire. C'était son meilleur choix. Et c'était surement aussi le premier choix de ses rivales, mais elle était la plus jeune, plus en santé et plus belle de toutes celles qui venaient de débarquer du navire. C'était aussi son premier choix à lui. Les autres n'aurraient pas toutes autant de chances. Car si les hommes étaient nombreux, 20 fois plus nombreux, très peu pouvaient se vanter de pouvoir convenablement subvenir à leurs propres besoins, et encore moins ceux d'une petite famille. Les plus chanceuses vivront une courte vie remplies de joies simples mais aussi et surtout de peines et de misères. C'est la vie quand on nait pour un petit pain et il en sera surement ainsi pour des générations et des générations à venir. Se marier avec le meilleur prétendant prêt à prendre femme ou devenir la catin du port ou d'un camp de bûcherons. Et un n'excluant pas totalement l'autre si on a le malheur de devenir une veuve avec orphelins de pères après l'âge de 30 ans. Bon, on fera de notre mieux avec ce qu'on a. On fera surtout des enfants comme le demande monsieur le curée car il y a pas vraiment autre chose à faire dans ce nouveau monde. C'est une question de survies au présent mais aussi de pouvoir assurer nos vieux jours. Jacques pour époux et Michel comme amant, voilà qui me semble un choix intéressant finalement.
Cela fera une belle histoire à raconter un jour! En autant que je n'en sois pas réduite à choisir Tank5... N'importe qui sauf lui se dit-elle. |
qwertyu 58 Amour |
Abus Citer Posté le dimanche 23 novembre 2008 à 09:48 |
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Les colons les plus aptes à survivre survécurent. Comme toujours, ceux qui avaient toutes les qualités, ou les défauts, nécessaires pour survivre et vivre assez longtemps pour atteindre l'âge de se reproduire, réussirent leurs vies, si on peut dire, et eurent beaucoup plus de descendants que les autres. Ce qui est normal chez tous les peuples. Mais ce qui l'est un peu moins, c'est le phénoménal taux de reproduction associés à ces colons de valeurs catholiques et à l'influence omniprésente du puissant clergé...
Les familles de 15 enfants et plus étaient beaucoup plus la norme que l'exception. Ce qui est déjà en soit un phénomère rare dans l'Histoire de l'humanité. Ce qui l'est plus encore, c'est que ces familles nombreuses pouvaient exploiter toutes les richesses d'un nouveau monde pour réussir à subvenir aux besoins de ces enfants, même si cela voulait dire de vivre dans une pauvreté et à la limite de la misère noire. Le taux de survie est plus phénoménale que le taux de reproduction si on considère un moment que la majorité de ces enfants, en excluant les fausses couches et morts de nourrissons qui sont vites remplacés, atteignent eux-même l'âge de reproduction. Actuellement, il n'est pas rare en Afrique de réussir à trouver une mère qui a accoucher de 8 enfants. Mais avec 6 survivants ? C'est peut-être unique dans toute l'histoire de l'humanité qu'un groupe de 10,000 colons d'origines ayant survécus à l'impitoyable sélection naturelle d'une périlleux voyage, et de conditions de survies vraiment misérables, finissent par se reproduirent à un taux de 6 pour 1 et un taux de survie de 10 pour 15. C'est vraiment un phénomène exceptionnel et tous les historiens le confirment sans hésitation. Les généticiens peuvent dire que la conséquence direct est une multiplication rapide des gènes et traits de caractères des colons d'origines au lieu d'une lente évolution. Un peu comme si on avait élever des poules ou des lapins pour fixer rapidement le génome de départ. Et mieux encore, dans un monde très isolé ou les nouveaux arrivant subséquents passaient par les mêmes épreuves de survies. Il y eu les anglais, les irlandais, les américains qui apportèrent une certaine diversité par la suite. De nouveaux défauts mais de nouvelles qualités. Mais les descendants des colons Français refusèrent obstinément l'assimilation et devinrent peu à peu un peuple de francophones autonomes couper de la mère France, et dont la culture évoluait de façon presque indépendante. Ce n'est plus une colonie Française même si la France a encore un minimum d'influence. L'évolution est parrallèle Ce ne sont plus des colons Français mais ce ne sont pas de loyaux sujets Britanique non plus. Et comme ils sont nombreux pour être exterminer et trop entêter pour être assimiler, on peut juste faire en sorte de les maintenir dans la misère, se disent les anglais. Avec le temps.... Mais le temps passe et les Québécois restent majoritaires au bas Canada, devenu Québec. Puis c'est l'ère industrielle, la première guerre mondiale, la seconde et les Québécois abandonnent peu à peu les champs pour venir travailler en ville, pour les anglais. What did you say ? Speak white ! Les nègres blancs d'amérique avaient beau être un peuple pacifique et patient, il y a toujours bien des maudites limites à se laisser manger la laine sur le dos ! Il y avait tous ces soldats Québécois enrôlés de force qui avaient non seulement réussis à survivre à la plus impitoyable des guerres, mais survivre aussi à l'exploit d'être en toute première ligne lors du plus grand fait d'armes de l'histoire : Le jour J du débarquement de Normandie qui permit de libérer la France, puis le reste de l'Europe, des Allemands. Un exploit considérant que la grande majorité de ses Québécois en avait rien à foutre des maudits Français de France, comme on le disait à l'époque. Ces survivants revinrent aux pays et eurent... beaucoup mais beaucoup d'enfants. Après l'évolution tranquille, les conditions étaient enfins réunies pour la révolution tranquille. C'est alors que le peuple Québécois se leva debout et rèva de devenir une nation souveraine. De rèver à un pays qui ne serait pas créer dans la violence, mais dans la reprise en mains des leviers économiques et du pouvoir. L'affirmation nationaliste ! La montée du souverainisme ! Renée Levesque ! Et tous ces autres grands hommes qui servaient de modèles à l'époque et qui ont pousser un peuple de soumis à s'affirmer au point de se prendre en main et presque réussir à créer un pays. Cela en moins de 30 ans et presque sans violence : Si on exclut l'explosion de quelques poubelles et l'assassinat d'un ministre par le FLQ et la loi des mesures de guerre avec laquelle répliqua Trudeau. Même Ghandi aurait eu recours à la violence dans de telles conditions... On a presque réussit diront certains. On a réussit diront d'autres. En 2007, le gouvernement Harper reconnaissait l'existence des Québécois en tant que peuple fondateur et distinct du Canada. Ce n'est peut-être pas comme d'avoir notre propre pays, mais est-ce que cela a tellement d'importance si les Québécois restent ce qu'ils sont redevenus ? Des pionniers en route vers l'avenir... même s'ils ne s'en rendent pas tous compte eux-mêmes. Vous en connaissez beaucoup des villes comme Montréal avec 27% d'immigrants, provenant de tous les pays et cultures, mais avec à peine plus d'une centaine de meurtres par année ? Crime, même nos criminels s'arrêtent quand ils se font poursuivre par la police qui tirent le plus souvent moins de 50 balles par années. Cela aussi c'est exceptionnel. Patience, tolérance, respect de la vie et des différences, et l'amour des enfants. Voilà l'héritage des Québécois pure laine. Un Québec ou même les nationalistes les plus purs et durs se résignent assez facilement à voir leurs propres enfants s'unir à des gens de toutes origines et ethnies, car les rèves, les espoir, les choix, les valeurs, les besoins et l'avenir des ses enfants aurront toujours priorité sur les notres. Peut-être qu'il serait temps de remplacer la devise du Québec. Je me souviens mais je me souviens de quoi au juste ? Et de quoi doivent se souvenir les immigrants récents ? J'espère juste que ce ne sera pas de Tank5... |
qwertyu 58 Amour |
Abus Citer Posté le dimanche 23 novembre 2008 à 09:51 |
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L'avenir de nos enfants avant tout ! Voilà une devise qui aurait un véritable pouvoir rassembleur au contraire du je me souviens qui ne veut plus vraiment dire grand chose pour personne... Sauf que cela ne toucherait pas les sans avenir et tank5 se sentirait encore exclus. Mais on ne peut plaire à tout le monde... Qu'en pensez-vous ? |
qwertyu 58 Amour |
Abus Citer Posté le lundi 24 novembre 2008 à 21:07 |
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Citation de "warrior66"
mechant couple de colons....on prend chacun notre pc, pis on remplis des forums avec du nimporte koi Voir tous ses messages sous ta photo ? Juste 3 mongoleries, j'appelle pas cela remplir des forums. Citation de "warrior66" on commence a etre ecoeurer de vous lire! 2 mongol criss!!!!!!!! On ? Ah ! Toi et l'autre ! Vous deux et qui sait combien d'autres... On ? Est bonne ! Incapable d'assumer un je ? |