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gagarine 70 Trois-Rivières |
Abus Citer Posté le samedi 24 avril 2021 à 17:25 |
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du type maîtrise de 60 crédits en enseignement primaire et pré colaire mais que propose t-elle pour contrer le manque d'enseignants au Québec? Naturellement comme c'est une centrale syndicale, d'améliorer les conditions de travail des enseignants, évidemment ! |
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deeane49 74 Gatineau |
Abus Citer Posté le samedi 24 avril 2021 à 17:54 |
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Citation de "gagarine"du type maîtrise de 60 crédits en enseignement primaire et précolaire mais que propose t-elle pour contrer le manque d'enseignants au Québec? Naturellement comme c'est une centrale syndicale, d'améliorer les conditions de travail des enseignants, évidemment ! C’est pas bête , car de meilleures conditions de travail attirent de potentiels enseignant.es. Prenez l’exemple des infirmières, qui traversent du côté d’Ottawa car les conditions de travail sont meilleures et le salaire aussi. Plusieurs feraient la même chose,n’est-ce pas ? Les conditions de travail touchent aussi le nombre d’enfants dans chaque classe. Il semble qu’au Québec, depuis des décennies , l’éducation ne soit pas très importante pour nos gouvernements. Modifié le samedi 24 avril 2021 à 17:58 |
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marinaterre 85 Montréal |
Abus Citer Posté le samedi 24 avril 2021 à 19:44 |
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Citation de "deeane49"Citation de "gagarine"du type maîtrise de 60 crédits en enseignement primaire et précolaire mais que propose t-elle pour contrer le manque d'enseignants au Québec? Naturellement comme c'est une centrale syndicale, d'améliorer les conditions de travail des enseignants, évidemment ! C’est pas bête , car de meilleures conditions de travail attirent de potentiels enseignant.es. Prenez l’exemple des infirmières, qui traversent du côté d’Ottawa car les conditions de travail sont meilleures et le salaire aussi. Plusieurs feraient la même chose,n’est-ce pas ? Les conditions de travail touchent aussi le nombre d’enfants dans chaque classe. Il semble qu’au Québec, depuis des décennies, l’éducation ne soit pas très importante pour nos gouvernements. La religion s'occupait de la formation. Les enfants des gens importants, notaires, avocats, médecins, écrivains, enfin la plupart des universitaires envoyaient leurs enfants au collège. Des prêtres ou des soeurs très éduquées enseignaient à ces jeunes garçons et filles. Les enfants de la classe ordinaire allaient à l'école publique et l'accès à l'université leur était alors très difficile. Après la révolution tranquille, un vent de changement naissait. Le Québec Inc. se mit alors à chanceler. Modifié le samedi 24 avril 2021 à 19:46 |
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desirez 84 Farnham |
Abus Citer Posté le samedi 24 avril 2021 à 21:43 |
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Parce que le travail est trop épuisant, les enseignants quittent la profession. Alors en améliorant les conditions de travail, il devrait avoir plus de jeunes qui choisiront la métier. Choisir d'alléger la formation, pas trop une bonne idée. Souvent les fonctionnaires suggèrent des solutions qui n'en sont pas. Un cataplasme sur une jambe de bois, pas très efficace. |
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balade_nocturne 57 Longueuil |
Abus Citer Posté le dimanche 25 avril 2021 à 08:11 |
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Un moyen serait de proposer un cursus pour les enseignants de maternelles (4 ans et 5 ans), un pour les primaires (6 à 11 ans) et un pour les secondaires (12 à 17 ans). On s'entend que les compétences en algèbre, trigonométrie ou histoire-géo ne sont pas vraiment un pré-requis pour enseigner en maternelle ? Les notions scolaires abordées sont différentes, les différences cognitives et comportementales entre maternelle, primaire et secondaire sont importantes. Si les enseignants avaient le choix de cursus (maternelle, primaire, secondaire, complet), on aurait plus de facilité à recruter du personnel compétent. Car oui, les conditions de travail sont très difficiles (surtout en milieu défavorisé), mais l'incompétence de certains enseignants du fait de leur expérience dans un niveau trop différent, complique aussi grandement la situation. Je parle pour les enseignants de mon école : ce n'est pas l'augmentation de salaire qui est le point le plus important, mais bien le manque de soutien face au nombre grandissant d'élèves en difficultés (comportementales ou d'apprentissage). Donc : oui pour un cursus plus court mais uniquement pour les maternelles et surtout oui pour des améliorations des conditions de travail. Modifié le dimanche 25 avril 2021 à 08:21 |
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desirez 84 Farnham |
Abus Citer Posté le dimanche 25 avril 2021 à 08:47 |
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Citation de "balade_nocturne"Un moyen serait de proposer un cursus pour les enseignants de maternelles (4 ans et 5 ans), un pour les primaires (6 à 11 ans) et un pour les secondaires (12 à 17 ans).
On s'entend que les compétences en algèbre, trigonométrie ou histoire-géo ne sont pas vraiment un pré-requis pour enseigner en maternelle ? Les notions scolaires abordées sont différentes, les différences cognitives et comportementales entre maternelle, primaire et secondaire sont importantes. Si les enseignants avaient le choix de cursus (maternelle, primaire, secondaire, complet), on aurait plus de facilité à recruter du personnel compétent. Car oui, les conditions de travail sont très difficiles (surtout en milieu défavorisé), mais l'incompétence de certains enseignants du fait de leur expérience dans un niveau trop différent, complique aussi grandement la situation. Je parle pour les enseignants de mon école : ce n'est pas l'augmentation de salaire qui est le point le plus important, mais bien le manque de soutien face au nombre grandissant d'élèves en difficultés (comportementales ou d'apprentissage). Donc : oui pour un cursus plus court mais uniquement pour les maternelles et surtout oui pour des améliorations des conditions de travail. Plein de bon sens. |