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winnyy 60 St-lin |
Abus Citer Posté le mercredi 30 décembre 2009 à 18:53 |
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De nombreux enfants pauvres de Montréal le considèrent comme leur propre père. Gilles Julien, inventeur de la pédiatrie sociale dans le quartier Hochelaga-Maisonneuve, jouit d’une formidable crédibilité auprès des familles auxquelles il vient en aide. Pédiatre depuis près de 40 ans, sa voix douce et posée cache une détermination toujours vive. Peu après la sortie de l’ouvrage Tous responsables de nos enfants, qu’il a cosigné avec sa femme, Me Hélène (Sioui) Trudel, ce défenseur de la cause des enfants a expliqué à L’Itinéraire qu’il voulait désormais implanter son modèle d’intervention à l’échelle du Québec.
Aujourd’hui, les enfants sont laissés aux mains d’institutions déshumanisées et mal outillées pour répondre aux besoins de ceux qui sont en détresse. Nous avons fait ce choix ensemble, comme société. Et ça, le docteur Julien ne l’accepte pas : «Quand on décide en tant que société que la santé, l’éducation et la protection des enfants doivent être assumées par un établissement et qu’on s’en lave les mains, j’suis pas capable. Je ne comprends pas», s’insurge-t-il. «Les enfants constituent notre valeur la plus puissante, poursuit-il. Et on évacue leur suivi, leur développement et leur sécurité dans la cour du voisin. [...] Que des enfants traînent dans des centres d’accueil jusqu’à 18 ans, qu’on les oublie en faisant comme s’ils n’existaient pas, j’suis pas capable… Même si la Direction de la protection de la jeunesse fait de plus en plus de bons coups, ce n’est pas à eux de faire ça, c’est à la communauté. Mais le pire, c’est que la communauté elle-même dit “ ![]() Suite ici http://www.itineraire.ca/magazine/archives/2009/aout09_1/une.php un homme que j'admire beaucoup. Winnyy |
winnyy 60 St-lin |
Abus Citer Posté le vendredi 1 janvier 2010 à 10:10 |
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bonne année dp
Tout a fait, au niveau personnel, un regard nouveau sur les probleme humains. En partageant notre vision. Nos propres squelettes meme, car on en a tous. Partager nos cheminements. Beaucoup de personnes font beaucoup pour les autres, dans l'ombre, sans que ce soit écrit dans les journaux. Je pense a un homme comme Hercules que j'ai cotoyé à quelques reprise dans mon village. 40 ans a travailler dans le centre ville, dans les rues, aves les prostituées, les itinérants. Winnyy |