alcoolisme

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winnyy 60 St-lin	Abus Citer Posté le vendredi 1 janvier 2010 à 10:58
Envoyer un message Chatter Ajouter à mes contacts	témoignage tiré de cette adresse pour y lire la suite si ca vous intéresse. http://www.atoi2voir.com/atoi/visu_article.php?view=16/126/ Bonjour. Je m'appelle C. et je suis une femme. Eh oui ! L'alcool touche aussi les femmes, bien que nous soyons moins nombreuses que les hommes. Mon histoire a commencé alors que j'étais médecin anesthésiste, mariée. Nous avions une petite fille. A la suite de graves problèmes de santé de mon mari et de mon père et à cause de ma vie professionnelle stressante, j'étais déprimée. On m'a prescrit des antidépresseurs. Un soir, en rentrant, j'ai voulu prendre un petit remontant et j'ai pris un porto. Mon mari ne boit pas ; ce n'est donc pas lui que j'ai copié. Mais voilà, de soir en soir, subrepticement, « l'aide » ponctuelle est devenue habitude. Je suis passée à une consommation régulière d'alcool, oh, non pas que j'y prenais du plaisir (certains oui, mais pas moi), mais parce que je devenais dépendante. J'ai augmenté les quantités, petit à petit. J'étais toujours sous antidépresseurs et en tant que médecin, j'étais très au courant et très consciente du risque que je prenais en buvant de l'alcool. Mais face à quelque chose de plus fort que soi, aucune raison ne tient. Je me suis mise à boire même à midi et même des alccols forts (whisky...). Avec le recul, je me rends compte de l'importance d'avoir une vie équilibrée. Veillez à votre hygiène de vie : loisir, détente, amitiés, sport, rires entre amis, sommeil... au lieu de vous "défoncer" le samedi soir pour évacuer le stress ! On a l'impression à tort qu'il faut de l'alcool pour faire la fête. L'alcool nous désinhibe ; on a l'impression qu'on a plus de confiance en soi, qu'on est plus fort, plus léger. En réalité, on veut toujours être mieux ; on ne s'accepte pas ; on n'accepte pas nos limites. ______________ Winnyy
zezette43 62 Inexistante	Abus Citer Posté le vendredi 1 janvier 2010 à 11:59
Envoyer un message Chatter Ajouter à mes contacts	Merci de nous avoir fait partager cette histoire... On connais bien des gens dans cette situation et plusieurs ne réalisent même pas leur problème de dépendance. Un consommateur excessif peut évoluer en trois étapes vers la dépendance alcoolique. * Phase 1 : aucun dommage majeur n'apparaît. Les activités professionnelles, sociales et familiales sont globalement conservées. La santé mentale et physique n'est pas altérée de manière significative. * Phase 2 : des difficultés d'ordre relationnel, social, professionnel, judiciaire apparaissent. La santé physique et mentale amène parfois la personne à réduire ou à arrêter momentanément sa consommation (abstinence). * Phase 3 : la personne est devenue incapable de réduire ou d'arrêter sa consommation, malgré la persistance des dommages. De nombreux symptômes apparaissent : tremblements, crampes, anorexie, troubles du comportement. Le consommateur est alors alcoolo-dépendant. La suite : http://www.doctissimo.fr/html/dossiers/drogues/mildt/drogues-alcool-dependance-2.htm