Les forums Jasez
Discussions générales

Vous avez commencé à croire en Dieu?

Tu es ici : Les forums Jasez » Discussions générales » Vous avez commencé à croire en Dieu?
Répondre au sujet
Page(s) 1
Auteur Message
Répondre au sujet
Page(s) 1
marceau24
44 Montréal
Abus Citer Posté le mercredi 29 octobre 2025 à 09:34
Grande question, j'ai vue le temple dans le ciel.

Vous l'avez vue?
mr_me
60 Lachine
Abus Citer Posté le mercredi 29 octobre 2025 à 10:20
Non, je crois en moi parce que je suis réel.
mr_me
60 Lachine
Abus Citer Posté le mercredi 29 octobre 2025 à 10:25
Citation de "marceau24"Grande question, j'ai vue le temple dans le ciel.

Vous l'avez vue?


Wow ! les pilules sont fortes
coffee_man3
115 Montréal
Abus Citer Posté le mercredi 29 octobre 2025 à 10:46
L'Épopée du Néant et l'Illusion Divine ou L'Artifice de la Conscience

L'Homme est cerné par un double fardeau existentiel : la Finitude (la certitude de la fin) et l'Absurdité (l'absence de cause ou de sens transcendant). Pour naviguer dans cette tragédie, la conscience a érigé un système de défense si sophistiqué qu'il est devenu l'essence même de l'existence fonctionnelle.

Les philosophies de l'apaisement, telles que la maxime d'Épicure – qui affirme que la mort "n'est rien pour nous" – ne sont que le premier niveau de cet artifice. Ce postulat repose sur un sophisme qui ignore la réalité psychologique de l'être.

I. L'Artifice du Déni : La Mort, Présence Latente
La mort est une présence constitutive inscrite dans l'être dès la conception. Elle est une finitude qui persiste. Face à cette vérité, le subconscient met en place le déni inconscient qui crée l'Hypocrisie Existentielle du "cycle de la vie". La vie devient une illusion fonctionnelle indispensable, car admettre à chaque souffle l'imminence de la dissolution empêcherait le bonheur. Le mal n'est pas la destruction physique à venir, mais l'angoisse de la destruction spirituelle présente.

II. La Primauté de la Matière : Le Néant Acréateur
Pour réfuter l'idée de Créateur, il faut d'abord affirmer l'antériorité de la Matière.

L'univers n'a jamais été le jardin d'un Créateur, mais la Matrice du Néant. La vie n'est pas un miracle intentionnel, mais la conséquence froide de la primauté de la particule. Le support de l'univers, la structure même où la vie siège, est une suite logique d'émergences physiques successives. L'organisation s'est faite d'elle-même, atome par atome, dans la dignité froide de la Matière.

Si le Divin devait exister, il aurait fallu qu'il annule le paradoxe de sa propre nécessité, ce qui est une aporie que seule la foi consent à ignorer. Le silence de l'univers est absolu.

III. L'Artifice de la Fiction et l'Incohérence du Divin
C'est face à ce silence absolu que l'esprit humain, par sa transcendance inhérente (sa capacité à projeter le sens), a enfanté la plus somptueuse des fictions : Dieu.

Le Divin est le miroir où l'Homme a projeté sa quête de sens, offrant une réponse a priori au vide. La foi propose la béquille morale du dogme, devenant un consentement à l'aveuglement.

Cette illusion s'effondre face à l'observation du réel :

Le Paradoxe Éthique : Si Dieu est Amour et Paix, comment expliquer que la création, en son fondement, soit une agression cataclysmique ? L'émergence de la vie s'est faite par l'annihilation. Un Dieu de divine bonté ne peut logiquement pas permettre l'Enfer.

L'Absurdité Cosmologique : L'illusion biblique du "peuple élu" et d'une création de sept jours est contredite par la science et l'immensité du cosmos.

En définitive, l'illusion du Dieu aimant et tout-puissant est une double imposture : contredite par la science (la primauté de la Matière) et par la morale (l'existence du Mal). Dieu est la réponse facile pour soulager la conscience de l'homme et le glaive pour le maintenir dans l'ignorance de la science.

IV. Conclusion : L'Éloge de l'Architecte Humain
L'Homme est cerné par la fin et le vide, mais il est l'unique architecte de son sens. La tragédie n'est pas qu'il soit mortel, mais qu'il ait masqué si longtemps sa liberté derrière des fictions.

Le plus grand des mystères n'est pas le Divin, mais la merveilleuse et terrifiante capacité de l'Homme à se passer de Lui. Le silence de l'univers n'est pas une énigme à combler par une voix céleste, mais la toile immense sur laquelle la raison et l'empathie doivent peindre le seul sens véritable : celui que nous bâtissons, libres, responsables, et démunis de l'illusion du Père éternel.

Face à cette lucidité implacable, et en tirant les conséquences de cette tragédie existentielle.

Le Positionnement Facile Face au Mystère
Si la croyance en Dieu vous apporte la paix intérieure, croyez-y.

Cependant, ne vous méprenez pas : l'être humain a toujours cherché des réponses concernant son existence. Croire en Dieu vous soulage de la quête existentielle du pourquoi de la vie.

Rejeter l'évolution, bannir la progression à partir de la primauté de la particule jusqu'à l'émergence de notre univers et de tout ce qui s'y trouve en perpétuelle transformation, c'est parfaire le déni et se satisfaire d'une notion simple.

Accepter l'idée « Ainsi soit-il » parce que « Dieu est la réponse à tout » est le positionnement facile face au mystère même de l'existence.

Nota Bene : La Foi, un Chef-d'Oeuvre d'Asservissement

Il est vrai que la Bible se dresse comme l'un des plus grands ouvrages de tous les temps, un pilier de l'héritage culturel et littéraire.

Toutefois, un rappel lucide s'impose : cet ouvrage est l'oeuvre composite de multiples auteurs rédigée au fil du temps. Son rôle essentiel est de fournir des réponses a priori qui soulagent la conscience de l'interrogation existentielle.

Au-delà des passages à portée historique, l'ensemble du récit biblique constitue un essai persuasif visant à asseoir l'idée que toute l'existence est l'œuvre d'un messager Divin.

Ce récit dépeint un Dieu Père qui ne se manifeste pas directement à l'Homme, préférant résider dans son royaume et déléguer son message à son Fils. Par cette absence, il s'abstient de fournir une preuve tangible de son existence, manquant de l'humilité nécessaire pour guider l'humanité de sa propre venue.

De ce fait, il se contente de s'autosatisfaire de vos prières pour cajoler sa propre existence. Sans foi et sans prière, ce Dieu n'a plus de raison d'être, car l'Homme rejette sa présence. Il manipule même son propre Fils pour designer sa présence et se sert de tous pour valoriser son ego, si tant est qu'une telle entité existe.

La croyance sans réflexion n'est donc pas une vertu ; c'est un choix qui sacrifie l'autonomie de l'esprit sur l'autel d'un soulagement facile.

Modifié le mercredi 29 octobre 2025 à 11:09

coffee_man3
115 Montréal
Abus Citer Posté le vendredi 31 octobre 2025 à 07:57
Approfondissement et défense de mon argumentaire initial

L'Épopée du Néant et l'Illusion Divine : L'Artifice de la Conscience

L'Homme est cerné par un double fardeau existentiel : la Finitude (la certitude de la fin) et l'Absurdité (l'absence de cause ou de sens transcendant). Ces réalités ne sont pas de simples observations ; elles sont la source d'une liberté radicale humaine. Si l'existence n'a pas d'essence prédéfinie par une cause transcendantale, l'être humain se retrouve intégralement et terriblement responsable de la création de ses propres valeurs. Ce double fardeau est le prix de la conscience, le moment où la machine biologique, douée de perception, se réalise comme un phénomène non-nécessaire et non-perpétuel.

Pour naviguer dans cette tragédie du non-sens et se soulager de la responsabilité écrasante de l'auto-définition, la conscience a érigé un système de défense si sophistiqué qu'il est devenu l'essence même de l'existence fonctionnelle. Les philosophies de l'apaisement, comme la maxime d'Épicure affirmant que la mort "n'est rien pour nous", ne sont que le premier niveau de cet artifice, reposant sur un sophisme qui ignore la réalité psychologique de l'être.

I. L'Artifice du Déni : La Mort, Présence Latente

La mort est une présence constitutive inscrite dans l'être dès la conception, une finitude qui persiste et conditionne chaque instant de la vie. Face à cette vérité angoissante, le subconscient met en place un déni inconscient qui crée l'Hypocrisie Existentielle du "cycle de la vie". Le subconscient est le gardien de notre conscience : il veille à ce que l'esprit puisse se prémunir de l'angoisse du questionnement face à ce que nous ignorons, il préserve par le déni le sens de vivre en harmonie avec soi-même. L'érection de l'Artifice de la Conscience est une tentative de naturaliser cette liberté terrifiante en la subordonnant à un ordre cosmique inventé.

Pour appuyer ce mécanisme, la Théorie de la Gestion de la Terreur (TMT) (Jeff Greenberg, Sheldon Solomon et Tom Pyszczynski) propose que l'anxiété causée par la conscience de notre propre mortalité est si profonde qu'elle motive l'essentiel du comportement humain. La culture et les systèmes de croyance (dont la religion) agissent comme des mécanismes de défense, offrant une immortalité symbolique ou littérale et une estime de soi qui nous ancrent dans une réalité significative. La vie devient ainsi une illusion fonctionnelle indispensable, car admettre à chaque souffle l'imminence de la dissolution empêcherait le bonheur. Le mal n'est pas la destruction physique à venir, mais l'angoisse de la destruction spirituelle présente – la peur de l'anéantissement total du soi qui ne trouve plus de refuge dans l'Artifice culturel.

II. La Primauté de la Matière : Le Néant Acréateur

Pour réfuter l'idée d'un Créateur, il faut d'abord affirmer l'antériorité de la Matière. L'univers n'a jamais été le jardin d'un Créateur, mais la Matrice du Néant. La vie n'est pas un miracle intentionnel, mais la conséquence froide de la primauté de la particule.

Ce concept s'appuie sur l'auto-organisation et l'émergence non-téléologique. L'univers, régi par les lois de la thermodynamique, n'a pas besoin d'une intention pour engendrer la complexité. Des structures dissipatives (systèmes ouverts qui maintiennent un état stable malgré l'échange constant d'énergie et de matière avec leur environnement) génèrent spontanément de l'ordre, et la vie n'est qu'une conséquence locale de cet impératif global. Le fait que l'organisation s'opère "atome par atome" dans la dignité froide de la Matière est la preuve d'un système sans but final. Le « miracle » est une simple ignorance de la puissance inhérente à la Matière elle-même.

De même, l'argument de la "fine-tuning" (l'ajustement fin des constantes physiques [telles que la vitesse de la lumière ou la constante de gravitation]) comme preuve d'un Créateur (la Fausse Nécessité) est réfuté. Ce n'est pas parce que les constantes sont parfaites pour nous que cela prouve une intention ; nous en sommes la conséquence, non le but.

Si le Divin devait exister, il aurait fallu qu'il annule le paradoxe de sa propre nécessité, ce qui est une aporie (contradiction logique ou impasse) que seule la foi consent à ignorer. Le silence de l'univers est absolu.

III. L'Artifice de la Fiction et l'Incohérence du Divin

C'est face à ce silence absolu que l'esprit humain, par sa transcendance inhérente (sa capacité à projeter le sens), a enfanté la plus somptueuse des fictions : Dieu. Le Divin est le miroir où l'Homme a projeté sa quête de sens, offrant une réponse a priori au vide. La foi propose la béquille morale du dogme, devenant un consentement à l'aveuglement.

Cette illusion s'effondre face à l'observation du réel en formalisant le Trilemme de l'Incohérence du Divin :

Dieu est Omnipotent (Il peut tout faire).

Dieu est Souverainement Bon (Il veut tout le bien).

Le Mal existe (Souffrance cataclysmique, annihilation, guerre biologique).

Si Dieu est omnipotent et Souverainement Bon, Il devrait et pourrait éliminer le Mal. Puisque le Mal existe manifestement, l'idée d'un Dieu "aimant" est une impossibilité logique face à l'observation froide de la réalité darwinienne et cosmologique. Le Divin, s'il existe et permet l'annihilation comme fondement de la création, est soit incapable, soit indifférent au Mal. La foi est contrainte de substituer la logique par une affirmation émotionnelle ("Dieu a ses raisons") qui est, logiquement, une abdication de la raison. La foi résout le problème en imposant l'absence de questionnement, établissant ainsi l'asservissement à la soumission de croire : en l'absence de doute, acceptez le message sans contradiction.

De plus, l'Absurdité Cosmologique, où l'immensité de l'univers contredit l'illusion biblique d'un "peuple élu" et d'une création de sept jours, réduit le récit divin à une anthropomorphisation locale et insignifiante.

En définitive, l'illusion du Dieu aimant et tout-puissant est une double imposture : contredite par la science (la primauté de la Matière) et par la morale (l'existence du Mal). Dieu est la réponse facile pour soulager la conscience de l'homme et le glaive pour le maintenir dans l'ignorance de la science.

IV. Conclusion : L'Éloge de l'Architecte Humain

L'Homme est cerné par la fin et le vide, mais il est l'unique architecte de son sens. La tragédie n'est pas qu'il soit mortel, mais qu'il ait masqué si longtemps sa liberté derrière des fictions.

Cette lucidité implique que l'Architecture Humaine du sens n'est pas un luxe, mais un impératif éthique. La liberté face au Néant exige de l'Homme qu'il agisse de manière à ce que ses choix, fondés sur l'empathie, la raison et le contrat social, puissent servir de modèle pour tous, sans récompense céleste. La "merveilleuse et terrifiante capacité de l'Homme à se passer de Lui" est l'accession à une moralité autonome.

Le Positionnement Facile et le Danger de l'Immaturité Éthique

Si la croyance en Dieu vous apporte la paix intérieure, croyez-y. Cependant, l'être humain a toujours cherché des réponses concernant son existence, et croire en Dieu vous soulage de cette quête existentielle. Rejeter l'évolution, bannir la progression à partir de la primauté de la particule jusqu'à l'émergence de notre univers, c'est parfaire le déni et se satisfaire d'une notion simple. Accepter l'idée « Ainsi soit-il » est le positionnement facile face au mystère même de l'existence.

Le rejet de l'évolution et l'acceptation de cette béquille ont une conséquence grave : l'immaturité éthique. L'éthique du commandement divin est fondamentalement infantile, car elle subordonne le bien et le mal à une autorité externe. L'Homme, au lieu de juger un acte moralement juste par la délibération et l'évaluation des conséquences (la raison), se contente de l'exécuter par obéissance et peur.

Nota Bene : La Foi, un Chef-d'Œuvre d'Asservissement Intellectuel

La Bible se dresse comme l'un des plus grands ouvrages, mais c'est l'œuvre composite de multiples auteurs. Son rôle essentiel est de fournir des réponses a priori qui soulagent la conscience de l'interrogation existentielle.

Ce récit dépeint un Dieu Père qui ne se manifeste pas directement, manquant de l'humilité nécessaire pour guider l'humanité de sa propre venue. Par cette absence, il s'abstient de fournir une preuve tangible de son existence. Sans foi et sans prière, ce Dieu n'a plus de raison d'être. L'absence de preuve est précisément l'astuce ultime de l'asservissement : exiger la soumission totale de l'intellect sans contrepartie factuelle.

La croyance sans réflexion n'est donc pas une vertu ; c'est un choix qui sacrifie l'autonomie de l'esprit sur l'autel d'un soulagement facile. Le plus grand des mystères n'est pas le Divin, mais la merveilleuse et terrifiante capacité de l'Homme à se passer de Lui, à peindre le seul sens véritable : celui que celui que nous bâtissons, libres, responsables, et démunis de l'illusion du Père éternel.

(En collaboration avec une IA pour l'édition)
frisounet1
60 Péribonka
Abus Citer Posté le vendredi 31 octobre 2025 à 12:35
Pour répondre à la question ; NON !
coffee_man3
115 Montréal
Abus Citer Posté le vendredi 31 octobre 2025 à 13:33
Si vous le dites...mais aucune réponse de votre part sur le sujet;juste encore une occasion pour vous de salir la discussion pour l apporter a votre intention: Un salut c'est encore moi qui n est rien a dire sur le sujet.je vous invite a lire le sujet que j'ai émis sur vous et vos acolytes...écho stérile....Ceci sans l'aide d'une IA (Y a pas grand chose a vous dire )
coffee_man3
115 Montréal
Abus Citer Posté le samedi 1 novembre 2025 à 03:36

Mise au Point : L'Exigence du Débat et l'Usage des Outils Modernes

Votre dernière intervention, qui s'acharne sur l'outil de rédaction, m'oblige à une mise au point finale et définitive, car elle dénature l'objectif de ce forum.

La Paternité de l'Idée : Je le réaffirme avec force : l'idée, l'opinion, l'analyse et les arguments proviennent exclusivement de ma réflexion. L'intelligence artificielle n'est pas ma source, mais mon assistant technique.

Le Rôle Précis de l'IA : Cet outil sert à parfaire ce que je souhaite débattre. Il est utilisé pour la mise en forme, la syntaxe grammaticale, la correction des coquilles et la structuration pour une lisibilité maximale. Il ne génère pas le fond. Affirmer sans fondement que j'utilise ChatGPT est une fausse accusation qui trahit une méconnaissance de la diversité des outils d'IA disponibles. Peu importe le nom de l'outil, son rôle est strictement facilitateur.

Les outils sont là, je m'en sers. C'est mon choix et ma démarche pour assurer la qualité du message.

Le véritable enjeu est la substance du débat, et non ma méthode de travail.

Si votre objectif est de contribuer, vous êtes bienvenu, à condition d'apporter un point de vue valable et soutenu au sujet lancé. Sinon, si votre unique contribution est de faire des critiques méprisantes, sans fondement et hors sujet, sachez que vous participez à une discussion stérile.

Vous avez le droit de ne pas être d'accord avec mes idées ou mon choix d'utiliser l'IA. Mais si vous n'avez aucun argument pertinent à avancer sur le sujet de fond, utilisez votre droit de passer simplement à un autre débat.

L'espace de discussion n'est pas une scène pour faire étalage de vos dénonciations personnelles ou pour chercher une attention en attaquant la forme. L'important est l'idée dans le texte et le message à débattre, et non votre opinion disgracieuse sur la manière dont il a été couché sur papier numérique.

Le débat sur la forme est clos de mon côté. Veuillez vous concentrer sur le fond, ou vous abstenir d'intervenir.

« Ce texte est écrit en collaboration avec une IA pour votre information. Mais ce n'est pas elle qui vous répond, c'est moi. Fin de la correction, merci. »
w-i-n-e-m-a
62 Saguenay/Lac-Saint-Jean
Abus Citer Posté le samedi 1 novembre 2025 à 09:35
Citation de "coffee_man3"
Mise au Point : L'Exigence du Débat et l'Usage des Outils Modernes

Votre dernière intervention, qui s'acharne sur l'outil de rédaction, m'oblige à une mise au point finale et définitive, car elle dénature l'objectif de ce forum.

La Paternité de l'Idée : Je le réaffirme avec force : l'idée, l'opinion, l'analyse et les arguments proviennent exclusivement de ma réflexion. L'intelligence artificielle n'est pas ma source, mais mon assistant technique.

Le Rôle Précis de l'IA : Cet outil sert à parfaire ce que je souhaite débattre. Il est utilisé pour la mise en forme, la syntaxe grammaticale, la correction des coquilles et la structuration pour une lisibilité maximale. Il ne génère pas le fond. Affirmer sans fondement que j'utilise ChatGPT est une fausse accusation qui trahit une méconnaissance de la diversité des outils d'IA disponibles. Peu importe le nom de l'outil, son rôle est strictement facilitateur.

Les outils sont là, je m'en sers. C'est mon choix et ma démarche pour assurer la qualité du message.

Le véritable enjeu est la substance du débat, et non ma méthode de travail.

Si votre objectif est de contribuer, vous êtes bienvenu, à condition d'apporter un point de vue valable et soutenu au sujet lancé. Sinon, si votre unique contribution est de faire des critiques méprisantes, sans fondement et hors sujet, sachez que vous participez à une discussion stérile.

Vous avez le droit de ne pas être d'accord avec mes idées ou mon choix d'utiliser l'IA. Mais si vous n'avez aucun argument pertinent à avancer sur le sujet de fond, utilisez votre droit de passer simplement à un autre débat.

L'espace de discussion n'est pas une scène pour faire étalage de vos dénonciations personnelles ou pour chercher une attention en attaquant la forme. L'important est l'idée dans le texte et le message à débattre, et non votre opinion disgracieuse sur la manière dont il a été couché sur papier numérique.

Le débat sur la forme est clos de mon côté. Veuillez vous concentrer sur le fond, ou vous abstenir d'intervenir.

« Ce texte est écrit en collaboration avec une IA pour votre information. Mais ce n'est pas elle qui vous répond, c'est moi. Fin de la correction, merci. »


N'en demeure pas moins, que tout ce que tu écris ici, n'a finalement aucune valeur, puisque assisté par l'I.A..

On ne peut démêler ton opinion de celle générée par l'I.A..

Tu veux avoir l'air plus intelligent, malheureusement, c'est une fraude intellectuelle que sont tous tes commentaires.

Si nous voulons avoir l'avis de l'I.A., nous sommes capables d'aller la chercher nous mêmes. Alors fais preuve d'honnêteté, et cesse de l'employer.



w-i-n-e-m-a
62 Saguenay/Lac-Saint-Jean
Abus Citer Posté le samedi 1 novembre 2025 à 11:57
Citation de "temps.perdu"

Fais quelque chose de simple... écris un texte sans l’aide de l'IA... juste avec tes propres mots. Montre-nous tes vraies opinions... les tiennes, pas celles qu’une machine aurait révisées.

C’est là qu’on verra la véritable force de ta pensée, la puissance de ta réflexion authentique... bref l'originalité de tes idées

Qu'est ce que tu en dis ?


OMG ! Si j'me fis à ses invectives dans l'autre sujet, oui oui, pas celle d'une I.A. mdrrrr ! Ses propos ne volent pas très...haut ? :-p

"Une chose que vous oubliez: vivre et laisser vivre ! tenez - vous en a des ti jeux niaiseux ,des ti byebye,des ti bonhommes....emergez votre haine par toutes sortes de moyen,qu'importe ...votre opinion c est la meilleure"

https://www.jasez.ca/forums/topic,88418-les_terres_publiques_de_la_couronne___ti.html?display=latest#latest