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capitaine-america 115 Montréal |
Abus Citer Posté le jeudi 6 novembre 2025 à 19:13 |
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Pensez-vous etre solidaire avec les employes de la STM pour leurs revendications salariales, regimes de soins, plan de retraite ??? Avant de repondre; employes d'entretient, chauffeur d'autobus gagnent autour de $100000. Le syndicat voudrait augmenter leur niveau salariale. Pendant le debrayage, on prive de transport ceux qui gagnent moins que $50000 par annee, ceux qui n'ont pas vraiment les moyens de prendre un UBER ou un taxi. Quelqu'un qui travaille chez MacDo ou Tim a-t-il les moyens de se payer un taxi de $20-30-40 par jour pour aller travailler. Au bout du mois, la somme correspond presqu'a un mois de loyer !!! Solidarite ?? |
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top52 54 Mirabel |
Abus Citer Posté le vendredi 7 novembre 2025 à 09:19 |
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Très dur a juger sans avoir trop de détail, mais je pense que les employés de l'état on le gros bout du bâton, comparativement a une compagnie comme Amazon qui elle peut mettre la clé dans la porte sans trop de conséquence. Donc le gouvernement est pris entre deux chaises... |
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capitaine-america 115 Montréal |
Abus Citer Posté le vendredi 7 novembre 2025 à 14:58 |
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Citation de "top52"
Très dur a juger sans avoir trop de détail, mais je pense que les employés de l'état on le gros bout du bâton, comparativement a une compagnie comme Amazon qui elle peut mettre la clé dans la porte sans trop de conséquence. Donc le gouvernement est pris entre deux chaises... Meme les partis sont divises, dommage qu'on soit pas en campagne electorale La CAQ est au neutre, Legault evite d'en parler. Les liberaux sont pour une loi Le PQ et Quebec solidaire sont contre. Mais c'est toujours les usagers qui en paient le prix. Je suis un Montrealais qui connait sa ville si au moins on aurait garde le metro ouvert, au lieu de debarquer a la station A, on pourrait debarquer a la station B peut-etre meme sur une autre ligne. Les factures de taxi auraient pu baisser. Les gens seraient moins en maudit. En plus, il y aurait moins de traffic au centre-ville. |
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fireball2 59 Blainville |
Abus Citer Posté le vendredi 7 novembre 2025 à 16:29 |
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D'un ce ne sont pas des employés de l'état et du jour au lendemain La STM pourrait se privatiser, de deux, ils demandent 5 % par années pour un contrat de travail de 5 ans soit 25 %, travaillant en santé mentale, j'ai 17,4 % sur 5 ans et pour ma part, je suis en employé de l'état, à la radio du 98.5 fm ce matin, j'entendais la présidente de la STM dire qu'ils font des économies d'un côté pour hausser le salaire des employés ce qui ne fait pas de sens, je suis un travailleur qui est considéré comme un travailleur de service essentiel et la STM devrait être considérée comme tel, le seul moyen de pression que j'ai pu faire durant les négos fût de sortir à 3 heures 15 du matin, car le travailles de nuit et d'aller faire le mariole avec une pancarte sur le boulevard Gouin, imaginez-vous à trois heures du matin sur un boulevard avec une pancarte, et les employés de la STM fustige la justice qui a ordonné de ne pas user d'autocollants durant les journées de grèves, sincèrement, je ne peux être solidaire envers eux qui en demandent trop. Citation de "top52" Très dur a juger sans avoir trop de détail, mais je pense que les employés de l'état on le gros bout du bâton, comparativement a une compagnie comme Amazon qui elle peut mettre la clé dans la porte sans trop de conséquence. Donc le gouvernement est pris entre deux chaises... |
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marcl57 68 Repentigny |
Abus Citer Posté le vendredi 7 novembre 2025 à 18:11 |
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J'ai un bon ...Slogan...!!! Pour les employés en grève de la STM ... `` Prendre aux travailleurs qui en ont moins !!! Pour en avoir Plus !!!`` Parce qu'eux... ils se foutent de savoir dans les ...Poches...de qui !!! Sera pris l'argent qu'ils demandent pour avoir leurs augmentations de salaires et tout leurs avantages sociaux !!! ...les usagers ( travailleurs, retraités, étudiants et autres ) qui n'ont pas les moyen de se payer nécessairement un véhicule et prennent les transport en commun pour arriver à joindre les deux bouts .... La STM emploi environ 11 000 personnes en 2025 en moyenne 1,1 millions de déplacements par jours en Métro et autobus. La ville de Montreal qui ne roule pas sur l'or et qui passe son temps à ....quêter.....de l'argent à Québec. Donc à l'ensemble des contribuables du Québec pour arriver a fournir des services à ces citoyens. Les employés de la STM ont déjà de bon salaire et autres avantages, leur syndicat devrait se garder une petite....GÊNE....dans leurs demandent !!! ils sont....Prévilégiés.....comparer à beaucoup d'autres et ils n'ont pas de l'air de s'en rendent compte..... |
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coffee_man3 115 Montréal |
Abus Citer Posté le vendredi 7 novembre 2025 à 20:24 |
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Le prix de la paix sociale et l'épuisement du contribuable Le Québec traverse une période de forte agitation sociale, où les conflits de travail dans les services essentiels se succèdent à un rythme alarmant. Après les tensions vécues chez Postes Canada (avec le recours aux grèves tournantes) et l'impact controversé des ententes avec les médecins (encadrées notamment par la Loi 2), le récent bras de fer avec la Société de transport de Montréal (STM) confirme une tendance lourde : les syndicats utilisent leur pouvoir de nuisance sur le public pour imposer des gains salariaux importants, souvent dans une logique de rattrapage et de standardisation avec d'autres groupes. La demande des employés d'entretien de la STM, avoisinant les 25 % sur cinq ans, illustre parfaitement cette quête. Elle est perçue par de nombreux travailleurs, notamment ceux du secteur public qui ont obtenu des hausses plus modestes, comme une iniquité flagrante. Le nœud du problème est clair : le succès de ces revendications dans un secteur comme le transport en commun crée un précédent dévastateur qui incite les autres corps de métier — cols bleus municipaux, employés d'Hydro-Québec, et même le personnel de la santé et de l'éducation lors des prochaines rondes de négociation — à exiger le même niveau d'augmentation. Ce phénomène d'effet d'entraînement place les gouvernements et les municipalités devant un dilemme insoutenable : soit ils cèdent, provoquant un emballement des dépenses et une pression à la hausse sur les impôts et les tarifs pour l'ensemble des contribuables, soit ils résistent, au risque de paralyser à nouveau des services essentiels. L'Impact des grèves : Un coût économique amplifié par la menace Trump Le moment de cette vague de standardisation salariale rend la situation d'autant plus critique. Les coûts directs et indirects de ces conflits (perte de productivité, chute des ventes au détail, fardeau fiscal accru) ne sont plus seulement des problèmes internes. L'économie québécoise et canadienne doit constamment gérer la menace du protectionnisme américain, incarnée par la possible réintroduction de droits de douane punitifs par l'administration Trump (tarifs de 10 % ou plus sur les importations). Cette épée de Damoclès sur nos exportations (bois d'œuvre, automobile, aluminium) génère une incertitude économique qui ralentit l'investissement et menace l'emploi. Dans ce contexte, toute dépense non essentielle ou imprévisible est un fardeau. Les hausses salariales coûteuses dans le secteur public réduisent la marge de manœuvre fiscale des gouvernements. Au lieu de conserver des réserves pour soutenir les industries québécoises qui seraient touchées par une guerre tarifaire, l'État est contraint de les dépenser pour résorber des conflits internes. En d'autres termes, les négociations agressives et les grèves qui cherchent à standardiser le chèque de paie des employés publics et parapublics affaiblissent la collectivité au pire moment. Elles augmentent les coûts pour les citoyens déjà éprouvés par l'inflation et, simultanément, diminuent la capacité de l'État à protéger l'économie provinciale contre les chocs externes majeurs. La véritable responsabilité des parties en négociation n'est plus seulement de s'entendre, mais d'ancrer leurs demandes et leurs offres dans la capacité de payer réelle du contribuable, tout en tenant compte de la fragilité de notre position économique internationale. La puissance syndicale : un frein à l'épanouissement collectif La capacité de paralyser les services essentiels confère aux syndicats du secteur public une puissance de négociation démesurée qui est devenue un frein à l'épanouissement économique de la population médiane. Cette dynamique est pernicieuse, car elle force la classe moyenne à absorber indirectement des hausses salariales qui excèdent la capacité de payer collective. C'est l'équivalent de demander à chaque contribuable de payer une surcharge invisible pour la paix sociale. Exemple percutant sur la taxe cachée : Les 300 millions de dollars supplémentaires réclamés par le syndicat de la STM sur cinq ans, c'est l'équivalent de doubler l'investissement annuel de la Ville de Montréal dans le logement social ou de financer l'entièreté d'une nouvelle clinique de santé mentale de grande envergure. Cet argent est détourné d'investissements qui pourraient réellement améliorer la vie des plus démunis. Ceci crée une profonde iniquité. Les hausses salariales dans un secteur sont financées par le salaire, les impôts et les taxes d'autres citoyens qui n'ont pas le même levier de négociation. Exemple de rupture d'équité : Si un travailleur de l'entretien des transports obtient 25 % d'augmentation sur 5 ans grâce à la grève, alors qu'une infirmière ou un préposé aux bénéficiaires n'obtient que 17,4 %, le message est clair : la capacité de nuire paie mieux que le service à la personne. C'est une prime à la perturbation. Cette dynamique met directement en péril l'équilibre budgétaire nécessaire au maintien de nos programmes sociaux. Chaque dollar supplémentaire alloué à la masse salariale du secteur public (la « gourmandise obsessive du salaire ») est un dollar qui n'est pas disponible pour les pensions, les subventions au logement, ou l'aide de dernier recours. Dans une société moderne et démocratique, le pouvoir du peuple s'estompe lorsque l'État plie devant le syndicat plutôt que devant l'intérêt général. La faiblesse de l'État face à la pression syndicale est ce qui affaiblit le citoyen, faisant du contribuable le bailleur de fonds silencieux et lésé de cette course à la standardisation salariale. Réflexion finale À terme, cette course engendre non seulement l'appauvrissement de la classe moyenne, mais elle rend l'économie plus vulnérable. Le financement de la paix sociale interne rend le Québec plus fragile face aux chocs économiques externes. Le véritable enjeu n'est plus le droit de grève, mais qui a le droit de déterminer la capacité de payer collective : les 11 000 employés d'un syndicat ou les millions de contribuables qu'ils servent. Bonne chance à la nouvelle génération. L'image d'un Québec qui s'épuise dans des conflits internes, qui s'appauvrit par des dépenses insoutenables, et qui néglige ses infrastructures essentielles n'est pas sans rappeler une lente descente vers la désorganisation. L'image d'un Québec à la « Mad Max » – où la quête individuelle se fait au détriment de la cohésion et de l'entretien collectif – ne serait-elle pas, hélas, notre futur? N.B.: Je tiens à souligner que la rédaction finale et la correction de ce texte ont bénéficié de l'assistance et des suggestions d'un outil d'intelligence artificielle. Cette collaboration a permis d'assurer la clarté du propos. Modifié le vendredi 7 novembre 2025 à 20:26 |
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capitaine-america 115 Montréal |
Abus Citer Posté le vendredi 7 novembre 2025 à 21:37 |
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Citation de "marcl57"J'ai un bon ...Slogan...!!! Pour les employés en grève de la STM ... `` Prendre aux travailleurs qui en ont moins !!! Pour en avoir Plus !!!`` Parce qu'eux... ils se foutent de savoir dans les ...Poches...de qui !!! Sera pris l'argent qu'ils demandent pour avoir leurs augmentations de salaires et tout leurs avantages sociaux !!! ...les usagers ( travailleurs, retraités, étudiants et autres ) qui n'ont pas les moyen de se payer nécessairement un véhicule et prennent les transport en commun pour arriver à joindre les deux bouts .... La STM emploi environ 11 000 personnes en 2025 en moyenne 1,1 millions de déplacements par jours en Métro et autobus. La ville de Montreal qui ne roule pas sur l'or et qui passe son temps à ....quêter.....de l'argent à Québec. Donc à l'ensemble des contribuables du Québec pour arriver a fournir des services à ces citoyens. Les employés de la STM ont déjà de bon salaire et autres avantages, leur syndicat devrait se garder une petite....GÊNE....dans leurs demandent !!! ils sont....Prévilégiés.....comparer à beaucoup d'autres et ils n'ont pas de l'air de s'en rendent compte..... J'espere que vous avez ecoute l'entrevue a Radio-Canada, il y avait la presidente de la STM et le representatnt du syndicat des employes d'entretien. J'espere que la mairesse va brasser la cabane. J'ai trouve la presidente qui ne cessait de faire reference a "mon cadre financier" probablement a cause de ses bonis. Quand on lui a demande si les gens qui avaient achete des titres de transport, elle a repondu un truc du genre; Si les gens veulent avoir des remboursements ils n'ont qu'a faire leurs demarches... oui mais ou, aux petites creances ??? Le gars du syndicat ne faisait que reference qu'a ses demandes syndicales, aux negociations, aux sous-traitants, aucune consideration pour l'achalandage et les gens. Personne n'a parle du Gouvernement du Quebec, pas la moindre reference. Ca prendrait par-dessus ca une bonne tempete de neige. Pis je pense le 22 Novembre prochain, la parade du Pere Noel, pas de transport en commun, imaginez expliquer ca aux enfants. Modifié le vendredi 7 novembre 2025 à 21:44 |