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A propos de inanna

Tami, alias la tamiseuse, Femme, 46 ans
Montérégie, Québec, Canada
Etait en ligne hier

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Description

"Aimer, ce n'est pas renoncer à sa liberté, mais c'est lui donner un sens"
(Marc Levy)

"L'amour ce n'est pas se regarder l'un et l'autre, c'est regarder ensemble dans la même direction." (St-Exupery)

"Aucune grâce extérieure n'est complète si la beauté intérieure ne la vivifie. La beauté de l'âme se répand comme une lumière mystérieuse sur la beauté du corps" (Victor Hugo)
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Bonjour!
Bon...
C'est quoi la tamiseuse ?
Une métaphore sur une méthode de triage
Pour laisser passer la finesse d'esprit et pouvoir bloquer les plus grossiers, à la manière d'un tamis.


Donc! Si je vous souhaite bonne journée ou agréable soirée alors c'est que vous avez été tamisé. Aussi simple que ça lol
Ne le prenez pas personnel ...vos petits messages désagréables d'égo froissé, non merci! On passe à la suivante svp avec le sourire :)


Ici pour jaser
Laissons la spontanéité faire son oeuvre et le sujet viendra naturellement
Bienvenue aux esprits vifs teintés d'humour et aux consciences éclairées

Je cherche quoi?
Rien....car c'est quand on ne cherche pas qu'on trouve !

Mais... qui dirait non aux papillons , cette petite étincelle qui émane d'une chimie entre deux âmes
Savoir qu'on est accueilli et accepté tel qu'on est , simplement se sentir bien près de l'autre, en toute complicité
Celui que j'imagine ...cet être qui éclipse tous les autres il me cherche sûrement lui aussi !

Je crois vraiment que l'homme et la femme sont complémentaires, ensemble on est plus forts
Disons que j'apprécie la force tranquille du masculin, car c'est grâce à elle que je peux célébrer ma féminité

La nature, les cerveaux câblés différemment des neutotypiques ça me plaît et...
Un bon café mmmm
Au plaisir :)
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Citation qui me parle énormément et qui représente bien mon constat actuel face aux relations homme/femme.

....Et puis, un jour, elle fit ce qu’elle aurait dû faire, depuis toujours, depuis le premier jour.

Elle commença à choisir ce qui était bon pour elle, au lieu de se précipiter sur tout ce qui n’était absolument pas pour elle.

Elle écouta sa logique et sa cohérente raison au lieu de discuter des heures avec sa seule intuition. Ou son aveugle passion.

Elle fit l’effort de se reculer pour mieux voir et observer la personne désirée.

Elle mesura les sentiments de l’autre au lieu d’être obsédée par les siens et de les chérir, en son sein.

Elle osa donner moins, voire plus rien. Elle osa même retirer sa main.

Elle se tut devant les silences, elle disparut face aux absences.

Elle ne fit plus l’immense effort de parler pour que ses mots réparent la réalité malmenée.

Elle accepta les vides et les pots cassés.

Elle cessa de se battre pour l’amour, sans insister pour comprendre les silences ou les étranges mots du jour.

Elle cessa de courir après ceux et celles qui ne se manifestaient pas, ne répondaient pas, n’appelaient pas, ne donnaient pas, ne croyaient pas, ne venaient pas, ne voyaient pas, ne voulaient pas, ne faisaient pas confiance, de ceux qui n’étaient pas présents au présent.

Elle cessa de se détruire pour prendre la lune avec ses dents ou décocher le soleil pour ceux qui ne traversaient ni la rue ni la porte.

Et que le vent les emporte !

Elle ne s’intéressa plus au vide des cœurs, ni aux désirs sans consistance des gens qui n’entrent jamais dans la danse.

Elle commença à se trouver belle d’être elle, à être fière de ses cicatrices ou de sa crinière.

Elle commença à s’aimer.

Elle commença à aimer ceux qui savaient aussi l’aimer.

Et ça, ça, c’était nouveau.

Nouveau et beau.

(Martine SDY BENZAQUEN)