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A propos de colletoi

Benoit, Homme, 61 ans
Laval, Laval, Québec, Canada
Etait en ligne il y a plus d'un mois

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Statut : Célibataire
Recherche : Une femme
Relation : Amoureuse
Orientation : Hétérosexuel(le)
Taille : 6'1'' - (1m85)
Poids : Proportionnel
Apparence physique : Très bien
Cheveux : Autre
Yeux : Verts
Enfant(s) : Aucun
Désire un/des enfant(s) : Non
Fume : Non
Scolarité : Collégial
Signe astrologique : Bélier

Description

Je suis célibataire, mais je n’ai pas le cœur endurci.

Je recherche une femme de mon groupe d’âge, cultivée, qui me ressemble et a des affinités semblables pour une relation sérieuse et durable. Non fumeuse, (en tout cas pas la cigarette) et qui demeure près de Laval. Une femme qui se considère une bonne personne et qui sait pourquoi, qui saura apprécier ce que je suis et ce que j’ai à offrir, plutôt que de tenter de faire de moi son idéal parfait. Je ne suis pas qu’imparfait. J’ai aussi beaucoup de qualités humaines qui sont trop rares à mon goût dans la société.

Je me vois et me sens différent de la moyenne des gens. Nous sommes tous uniques, mais il y a des personnes plus singulières que d’autres, et j’en suis. Alors on aime ou on n’aime pas. Généralement, ce sont les idiots qui ne m’aiment pas. (Définition d’idiots: gens de mauvaise foi). Je ne dis pas que qui ne m’aime pas est idiot ! Puisque qu’on ne peut plaire à tous, alors mieux vaut (et non pas vieux veau) que ce soit les idiots qui ne m’aiment pas ! D’ailleurs jadis, je n’aimais pas le monde qui avait plus d’allure que moi, quand c’était moi qui prenais le rôle de l’idiot... Être idiot est généralement un choix. C’est le choix de le demeurer, alors qu’on sait qu’on peut s’améliorer.

J’ai un gros ego dans certaines sphères, mais compensé par un plus petit dans d’autres. À chacun ses forces. Je fais parfois les choses différemment ou de façon originale et avant-gardiste. Je ne fais pas nécessairement les choses d’une telle façon parce que les autres les font comme ça. Si quelque chose que je cherche n’existe pas, je le fabrique ou modifie ce qui existe. Je suis intellectuellement curieux, créatif, observateur et j'ai beaucoup d'imagination. J'aime créer, inventer, modifier, réparer presque tout, et dans multiples domaines techniques. (Département des miracles) Je suis perfectionniste pour certaines choses, mais pas toutes heureusement. Par exemple, je prends tout le temps nécessaire pour composer ce texte, comme on peaufine une lettre qui accompagne un CV. J’écris ce profil pour me représenter, me vendre, séduire, ou faire fuir ! Au diable la pudeur, j’veux une blonde faite pour moi !

Je suis conscient que j’éloignerai certaines femmes qui liront ceci. Je tente dès le départ de dire une partie de ce que l’on dit lors d’une première rencontre. Je veux que s’excluent d’elles-mêmes les femmes qui trouvent ça déjà trop long après trois paragraphes de lecture. Elles perdraient pourtant bien plus de temps si je leur disais les mêmes choses à une première rencontre, en ne gardant ici que le superficiel. Aucune description écrite ne remplace une rencontre. Ce ne sont que des mots ici. Ils sont soigneusement choisis et les tournures de phrases sont faites et refaites avec tout le temps voulu. Il n’y a donc pas de spontanéité, pas le ton, le non verbal, la gestuelle, la face qui parle, l’interaction et les phéromones. On pourrait tomber amoureuse de moi juste à me lire, puis être désenchantés en personne par la suite, ou avoir le coup de foudre. Ce qui est désolant, au contraire, c’est qu’on peut se fait une idée négative et ne pas se rencontrer, alors que ça aurait peut-être marché. Rien n’est prévisible. On se fait une idée, puis on va vérifier ensuite en espérant que ça clique !

Un des vices courants de la communication, c’est le malentendu. On comprend autre chose que ce qui a été dit, ou pire, on interprète parfois complètement l’inverse, ou tout croche. Et ce n’est pas toujours la faute de quelqu’un, sauf quand on interprète alors que rien n’a encore été dit, ni vérifié. Ça prend du calme pour régler un malentendu, attendre d’entendre ce que l’autre a à dire avant de répondre, de répondre à ce qu’il(elle) vient de dire sans élever le ton, et non pas lui répéter une fois de plus ce qui vient d’être dit plusieurs fois. Ça semble banal et ça sonne la morale en masse je sais ! Mais pourtant, peu de gens ont ce réflexe, alors qu’ils ont bien celui de couper la parole en se justifiant de se défendre contre une menace la plupart du temps non vérifiée. Couper la parole, c’est pas la fin du monde. C’est parfois nécessaire et normal. Mais il n’y a pas de motifs valables pour le faire alors qu’on est supposés être en train de tenter de se comprendre, et qu’il peut y avoir tension ou frustration. Ça fait l’effet contraire, et c’est moi qui fuis. Pareil si j’ai l’impression de régulièrement devoir mettre des gants blancs pour éviter une réaction démesurée. Bon, quelques autres de perdues ! Vous avez souri ? Continuez à lire alors !

J’aime faire mon travail avec compétence et professionnalisme. Car des fois, quand c’est moi le client, j’aurais envie de tuer quand un travail est mal fait. Je suis parfois exigent et intransigeant, mais en retour, je livre la marchandise et ne tente pas de fourr… le monde. Je ne fais de promesses que lorsque je sais que je pourrai les tenir. Je ne m’engage que lorsque le doute est raisonnable, s’il y en a un. J’aime la science, parler de psychologie et apprendre comment la nature et les choses fonctionnent. Je jongle facilement avec l’abstrait, la physique, les idées, ou les arguments qui composent un jugement de valeur. J’ai un sens critique et un esprit rationnel qui me rendent souvent service. Je n’aime pas certains dogmes et idées préconçues « fits all ». J'ai une bonne conscience sociale, morale et citoyenne. J'ai généralement un bon jugement et je mûris longuement mes décisions importantes. Je consulte et m’informe sans hésiter quand j’ai un doute. Mon orgueil n’est pas tant l’idée de tout deviner et réussir tout seul, mais plutôt à utiliser les bons moyens et avoir au moins la conscience tranquille d’avoir fait mes devoirs si je rate mon coup. Je n’y arrive toujours et je ne réussis pas tout ! Humilité et autodérision : Ce n’est pas toujours le fun, mais j’essaie de prendre ma leçon quand la vie me l’impose. J’ai fait et ferai des erreurs. Je nez pas la réflexe premier de me déculpabiliser en me comparant à pire que moi, mais c’est vrai dans mon cas que quand je me compare, je me console. Un de mes plus gros défaut est d’être trop exigent avec moi-même. C’est un défaut car je le suis aussi envers les autres. Au moins je le sais et j’y travaille.

Sur le plan matériel, je suis établi et autonome. Je ne suis pas un fardeau, et je n’en recherche pas un non plus. Sur le plan affectif, on dit qu’il faut d’abord être capable de vivre seul. Je veux bien, je le fais, mais il est évident que j’ai besoin d’une amoureuse dans ma vie, et le mot besoin est le bon. J’ai beaucoup de disponibilités, et je m’attends à être avec elle régulièrement, presque tous les jours. Je me croyais dépendant affectif. J’ai consulté, puis hourra je ne le suis pas! J’aurais pu aussi écrire OUF. N’empêche que j’ai ce fort besoin de donner et recevoir de l’affection et de l’amour. Je recherche l’engagement à long terme, que ce soit sous le même toit, ou chacun chez soi. Je ne ronfle pas, et je suis vasectomisé. La cuisine : je préfère la faire à deux, ou pour deux. L’époussetage : Je déteste! La valeur ajoutée est éphémère, ça ne répare ou améliore rien. Ça fait juste remettre les choses comme avant, en sachant que ce sera à recommencer plus tard, comme se raser ! Mais bon, quand il le faut, le plus difficile est de démarrer. La vaisselle: Pas de problème !

Je suis très empathique et sensible. Je remarque les mots qu’on utilise. Ils parlent plus qu’on ne le croit les mots qu’on choisit. Ils caressent ou ils blessent, souvent sans le savoir. Là j’ai la chanson de Francine Raymond dans la tête pour des heures. J’écris un français correct, mais chu ben capab de parler joual pid sacrer quand ça soulage. Stu clair calvaire ! Je ne reste pas en tabarnak très longtemps d’ailleurs. Je suis humaniste, serviable, et généreux de ma personne par exemple en me décrivant longuement ici. J’ai le cœur à la bonne place, mais il faut le mériter ce cœur. Il faut me mériter, et ça marche dans les deux sens, sinon la relation est malsaine. L'humour est omniprésent en moi. J'ai le défaut (pour certains) de faire des jeux de mots. Je joue des tours parfois élaborés et subtiles, mais sans conséquences négatives ou irréversibles. Je joue des tours qui rendent heureux, et je fais des surprises extraordinaires lorsque « ça baigne ».

Oh non, j’ai pas fini !

Ah mon DIEU ! Je ne crois pas en un dieu père et créateur, mais plutôt à l’évolution. Je ne crois pas en de multiples vies, ni un jour être conscient d’être mort. Je ne crois pas à un destin selon lequel tout est déjà écrit ou décidé. Je crois par contre que ce qui arrive est le résultat de la combinaison de nos décisions et actions, de ceux des autres, et aussi du hasard. Par exemple, deux personnes qui se rencontrent sur ce site l’auront chacune choisi, auront décidé de s’y inscrire et de s’écrire. C’est plate j’avoue ! Pas de Dieu, pas de Destin, et pas de Cupidon ou de Madame la Vie qui ont fait nos chemins se croiser. Dommage, car je serais le premier à trouver ça cool qu’une entité toute puissante et bienveillante puisse nous unir. J’aimerais ça au point que j’ai même une petite réserve lorsque je tente de définir le mot hasard. Mais je suis réaliste et je préfère être moi-même responsable de mon bonheur et gérer mon avenir plutôt que de m’en remettre à l’idée que quelqu’un ou quelque chose déciderait de ma vie à ma place, et à sa discrétion. C’est pas un dieu ou une autre invention fruit du besoin de croire en plus grand que soi qui va me trouver une blonde que j’aime et qui m’aime, c’est moi, et c’est elle ! Mon dieu, c’est moi-même. Je ne crois pas en dieu, mais plutôt en moi. Ce n’est pas un dieu que j’admire d’être grand, mais moi. Je ne fais pas un trip narcissique. Au contraire, je suis tout petit dans ce monde et je continue de manger mes croûtes ! Ceci dit, je viens d’en perdre encore kek zunes. Je respecte les choix et croyances des autres, même si j’ai le jugement facile quand je pense aux guerres religieuses, ou encore au maire de Saguenay…

J’aime le sexe, beaucoup, et encore ! Je sais que ça… fesse dit comme ça sans avertissement. Je ne suis ni prédateur ni obsédé, mais passionné, et pour les bonnes raisons. J’ai beaucoup d’appétit. Il faut se ressembler beaucoup de ce côté et se choisir en conséquence, car cet équilibre c’est plus important qu’on ne le croit dans un couple. C’est pour moi un épanouissement et un échange affectif bénéfique sur le plan physique et mental. Instinct et hormones obligent, il y a le côté physique qui a soif, je n’y échappe pas. Mais aussi une autre facette, celle où l’amour et la complicité ajoutent une saveur de revenez-y ! Il y a l’humour aussi qui s’en mêle, les regards, les sourires, parfois les sons, mais toujours le respect. La confiance réciproque de sex poser corps et vulnérabilités ne s’achète pas, elle se construit. C’est valide autant pour les hommes que pour les femmes. Ceux qui ne sont pas d’accord sont goudronnés dans leur orgueil, ou dans le déni. Celle qui a une petite libido pourrait me trouver achalant. Celle qui en a beaucoup comprendra bien. Si ça clique, ça pourrait être équitable entre donner et recevoir. On n’appelle pas ça faire l’amour pour rien. C’est à mon avis, la plus belle chose au monde qui puisse se partager et se faire à deux. Je viens de perdre d’autres lectrices. Alors dix de perdues, mais une retrouvée, qui m’écrira j’espère.

J’aime le cinéma, mais au cinéma, assister à des conférences enrichissantes, voir des expositions qui sortent de l’ordinaire, marcher en montagnes, et aussi la vraie forêt hors des centres nature balisés, essayer des choses. Je ne fais pas tout ça tous les jours, mais à l’occasion. Je ne cherche pas à vivre à 200 à l’heure non plus, mais j’ai besoin d’être stimulé. Je suis pas mal actif, surtout en bricolant toujours quelque chose, mais ça fait tu du bien de s’évavcher sul divan des fois ! J’ai un petit côté simplicité volontaire et je n’achète pas n’importe quoi, ou impulsivement. J’aime l’alcool et son effet, mais je n’aime pas au point de perdre le contrôle de soi. Je ne suis pas amateur de bars, ou lieux d’abus et de beuveries. Ce texte peut sembler froid ou trop sage par bouts, mais il faut me connaître pour bien me comprendre. Je peux être pragmatique et d’un rationnel étonnant à en faire démissionner un vendeur d’autos, mais aussi grand rêveur romantique et imaginer des scénarios dignes de plus beaux romans, et en réaliser certains. Autant je peux me rouler dans la saleté à bricoler sous une voiture, autant je peux être propre et décent de ma personne. Qui prendra le temps de bien me connaître et apprivoisera ma carapace s’y sentira confortable et en confiance.

Il y a tendresse et chaleur dans mes bras, passion et amour dans mon cœur. Je suis ému par les belles histoires et la bonté des gens. J’aime la lune, regarder les étoiles, écouter un ruisseau, l’intelligence des gens qui se démarquent, la musique qui m’emporte à des endroits où j’ai l’impression d’avoir déjà été, les subtilités les plus discrètes, la complicité subite et inattendue de la part d’inconnus, braver les températures extrêmes et marcher dans la tempête juste pour le défi et fun, rester couchés à se coller, caresser un chat, les folies nocturnes dans la piscine chaude, être enivrés entre 4 yeux sans n’avoir rien bu, être émerveillé par de simples détails, frôler la folie en me demandant ce qu’est l’espace-temps et l’infiniment grand. J’aime être confondu par une coïncidence extraordinaire qui ébranle ma pensée sceptique. Et j’aimerais bien, si on s’aimait, être avec toi. Quand j’aime, j’aime fort et pour vrai. Pas pour faire un show autour de moi, mais juste parce que ça fait du bien. Je recherche ma semblable, une femme dont la grande folie est contenue par son intelligence, et qui le sait, qui est fière de ce qu’elle est et continue de grandir en dedans, avec laquelle je pourrai m’épanouir de tout mon être et de tout mon long,

Je ne commence pas à aimer du jour au lendemain, et je ne cesse pas d’aimer du jour au lendemain non plus. Je ne dis pas machinalement les mots je t’aime, ou pour faire plaisir, mais plutôt quand quelque chose de magnifique se passe, quand ça me prend, comme si je ne le voyais pas venir moi-même. C’est spontané, parfois inattendu, et j’en suis moi-même aussi surpris et ravi que celle à qui je le dis. Aimer pour moi n’est pas blanc ou noir ou toujours égal. Je peux parfois sembler indifférent, alors qu’un élan amoureux se prépare à mon insu. J’ai plus tendance à le démontrer (et à le faire!) qu’à le dire.

Je ne cherche pas une femme parfaite, car elle ne me supporterait pas, et je suis sérieux. Mais plutôt une qui me respectera, du moins, autant que je la respecterai moi-même. J’ai envie d’une relation où l’on ne profite pas des vulnérabilités de l’autre pour lui faire mal quand il y a conflit, mais où on démontre qu’on fait équipe vers le même but : le résoudre, où l’on fait tour à tour des compromis qui nous font être reconnaissants et aimer encore plus, où l’on ressent que l’autre fait quelque chose spécialement pour soi, avec plaisir et le désir de l’aider à s’épanouir. J’ai lu sur un babillard : « Quelqu’un qui ne souffre pas n’a pas de raisons de faire souffrir les autres. » Il faut le lire et relire. Ça dit tout.

Un autoportrait de soi sur ce genre de site risque fort de ne pas être bien représentatif, autant pour moi que pour les autres qui me lisent. On peut être plus ceci, ou moins cela que ce qui est écrit. On peut omettre des détails qui feront toute la différence entre être intéressé à écrire ou répondre à l’autre, ou pas, ou en ajouter un tout petit qui aura un gros effet, dans un sens ou l’autre. À moins d’être absolument convaincu de ne pas être intéressé à écrire à quelqu’un, je suis d’avis qu’il vaut prendre le risque que ça fonctionne, et d’écrire. Faut juste avoir la sagesse de ne pas le regretter et avoir eu l’impression d’avoir perdu de son temps si finalement ça ne fonctionne pas. Si on est du genre à dire « Je le savais que ça marcherait pas », mieux vaut s’abstenir car on agira inconsciemment en conséquence pour se donner raison. J’hésite à écrire à une femme qui n’écrit pas de profil. Je ne m’attends pas à un roman comme le mien, mais au moins qu’elle se décrive un peu, et plus long que trois lignes comme dans 90% des cas. Difficile de m’intéresser quelqu’une qui n’écrit seulement qu’elle aime les animaux et un bon repas avec une bonne bouteille ! En tout cas, j’ai fait mon bout de chemin. Ah oui, j’aime les animaux !

Me voici en gros, comment je pense, je fonde mes opinions, mes valeurs, mes attentes. Je pourrais ajouter écris-moi, je ne mords pas, mais je mentirais !