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A propos de damecabale

Solaya, Femme, 57 ans
Repentigny, Lanaudière, Québec, Canada
Etait en ligne il y a plus d'un mois

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Statut : Divorcé(e)
Recherche : Un homme ou une femme
Relation : Amicale
Orientation : Hétérosexuel(le)
Taille : 5'4'' - (1m63)
Poids : Proportionnel
Apparence physique : Je suis gentil(le)!
Cheveux : Autre
Yeux : Bruns
Enfant(s) : 2
Désire un/des enfant(s) : Non
Fume : Oui
Scolarité : Collégial
Signe astrologique : Scorpion

Description

Je suis la vie et la mort. l'amour et la haine, l'abbondance et le vide, le vrai et le faux, la douceur et la dureté, le mal et le bien, la beauté et la laideur, sorciere le jour, vampire la nuit......... je suis tout et rien <°_~>

Je me souviens d'un rêve, si cela en est un. Celui d'un lever de soleil sur le bord d'une mer,
remplit d'une douce sensualité, et je cherche dans mes plus profonds souvenirs.
Combien de temps cela fait-il? Depuis cette nuit fatidique passé a tes cotés, toi mon beau gitan.
Comment le destin peut-il avoir été si cruel, d'avoir fait de toi un homme trop aimé,
d'une mère plus que sorcière, et d'un père fou à lier.
Doux gitan, combien de soleil c'est couché, depuis celui que je t'ai aimé?
A quel point la douceur de tes lèvres puisent-elles toujours me manquer?
Si beau gitan, bien des siècles sont passé, depuis cette nuit ou ton torse j'ai caressé,
de ta saveur d'épice j'ai goutté, de tes fesses j'ai touché, de ton ventre sur le mien.
Combien de siècles se sont écoulés, depuis que ton père nous a trouvés,
tous deux amoureux enlacé entrain de s'aimer, cette nuit,
ou l'un de l'autre nous fument séparé, cette nuit qui fut notre dernière.

Bien des siècles se sont succédé, depuis que ta sorcière de mère m'a maudit!
A quoi bon essayer de tenir compte du temps, moi qui suis maintenant condamnée,
dans la nuit à errer pour l'éternité, avec cette soif d'aimer à satisfaire.
De mes crocs combien ai-je percé de chemise? Gaver de sang de vieux aristocrates,
de jeunes prostitués, de pères et de vieux garçons esseulés.
Je souhaitais d'avoir tué cette faim de sang, faim d'amour, faim de toi.
Ce soir je me suis encore réveillée seule avec ce cri, cette faim!
Je laisse à d'autre le choix d'être maudit, par des pères trop sévères et des mères trop sorcière.
Le subtil plaisir que je tire à me nourrir, est de voir dans les yeux de mes victimes,
l'horreur de s'être laisser séduire, par une inconnue qui erre dans la nuit.
L'horreur de voir ma nature maudite, que faute d'amour rien ne vaut une lapée de sang!

J'ai réellement fait ce rêve d'un lever de soleil, sur le bord d'une mer.
Comme les perles de sueur de deux amoureux qui glissent sur les seins d'une femme,
qui en cavalière sur son homme atteint l'orgasme.
Vous! Vous hommes remplis de fausses pudeurs, vous qui êtes pères, maris ou prostitués a vos heures!
Je vous aime, de vous je me nourris, pour vous je vous séduis.
Je crois en la mort, je crois en la maladie. Je crois en l'injustice,
en l'inhumanité, à la torture, la colère, à la haine. Je crois au meurtre,
je crois au mal, je crois à la cruauté, à l'infidélité.
Je crois en l'infamie et à la puanteur de tout ce qui issue de toute
les pourritures de ses saloperies invisibles qui existe et à la corruption.
Je crois en vous, celui qui bois les paroles, de ceux qui n'écoute pas.
Je vous aime riche ou pauvre, doux ou méchant.
Vous qui dans vos veines coules ce sang chaud et salé.
Ce sang qui ne cesse de me rappeler ce lever de soleil,
sur le bord de la mer, comme ces perles de sueur qui glissaient sur le torse,
d'un homme sous sa cavalière, ces perles de mon gitan si beau, toi mon doux gitan.