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A propos de gorkenn

Joe Quelqu'un, Homme, 49 ans
Saint-anselme / halifax, Chaudière-Appalaches, Québec, Canada
Etait en ligne il y a plus d'un mois

En savoir plus

Statut : En couple
Recherche : Un homme ou une femme
Relation : Amicale
Orientation : Hétérosexuel(le)
Taille : 5'8'' - (1m73)
Poids : Proportionnel
Apparence physique : Pas mal
Cheveux : Bruns
Yeux : Pers
Enfant(s) : 2
Désire un/des enfant(s) : Non
Fume : Non
Scolarité : Professionelle
Signe astrologique : Verseau

Description

Futur militaire: désire connaître des gens amicaux dans le coin de Saint-Jean-sur-Richelieu(début juin)

J'aime la musique alternative/métal aux grands classique de Mozard(sauf le CON'try d'ici... dépressif au bout), les tattouages, mon travail, ma famille, les sports(piscine, basketball, football et le hockey...je ne suis pas un partisans du CH!)Je suis un éternel adolescent, que dire de plus et un vrai gars! =) Pour en savoir plus ou simplement clavarder! Faite moi signe! =) A+

Il y a une p'tit chanson que j'aime bien écouté ces temps-ci de Groovy Aardvark qui ont repris le succès de notre regrèter Félix Leclerc;

Le p'tit bonheur

C'était un p'tit bonheur
Que j'avais ramassé
Il était tout en pleurs
Sur le bord d'un fossé
Quand il ma vu passer
Il s'est mis à crier
Monsieur ramassez-moi
Chez vous amenez-moi

Mes frères m'ont oublié
Je suis tombé je suis malade
Si vous n'me cueillez point
Je vais mourir quelle balade
Je me ferai petit, tendre et soumis
Je vous le jure
Monsieur je vous en prie
Délivrez-moi de ma torture

J'ai pris le p'tit bonheur
J'l'ai mis sous mes haillons
J'ai dit faut pas qu'il meurt
Viens t'en dans ma maison
Alors le p'tit bonheur
A fait sa guérison
Sur le bord de mon coeur, y'avait une chanson

Mes jours, mes nuits, mon mal,
Mon deuil, ma peine
Tout fut oublié
Ma vie de désoeuvré
J'avais l'dégoût d'la r'commencer
Quand il pleuvait dehors
Ou qu'mes amis m'faisaient d'la peine
J'prenais mon p'tit bonheur
Et j'lui disais, c'est toi ma reine

Mon bonheur a fleuri, il a fait des bourgeons
C'était le paradis, ça s'voyait sur mon front
Par un matin joli, que j'sifflais ce refrain
Mon bonheur est parti, sans me donner la main

J'ai eu beau le supplier, le cajoler
Lui faire une scène
Lui montrer le grand trou
Qu'il me faisait au fond du coeur
Il s'en allait toujours la tête haute
Sans joie, sans peine
Comme s'il ne pouvait plus voir
Le soleil dans ma demeure

J'ai bien pensé mourir, de chagrin et d'ennui
J'avais cessé de vivre, c'était toujours la nuit
Il me reste l'ennui, il me reste le mépris
Enfin que j'me suis dit, il me reste la vie

J'ai reprit mon bâton, mon mal, ma peine et mes guenilles
Et je bats la semelle dans les pays de malheureux
Aujourd'hui quand je vois une fontaine ou une fille
Je fais un grand détour ou bien je me ferme les yeux