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A propos de harpie

M., Femme, 112 ans
Québec, Capitale-Nationale, Québec, Canada
Etait en ligne il y a plus d'un mois

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Taille : 5'4'' - (1m63)
Cheveux : Bruns
Yeux : Bruns

Description

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- Si tu me mens, je le remarquerai.
- Je...
- Tais-toi, tu mens !

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- Dis-moi, t'es heureux ?
- Non.
- Que te manque-t-il pour l'être ?
- Je n'en sais rien. Et toi, es-tu heureuse ?
- Non.
- Que te manque-t-il ?
- Toi...

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- Moi, je suis hypocrite, comme vous.
- Moi, je suis manipulée, comme vous.
- Moi, je suis respectueuse, comme vous.
- Moi, je suis courtoise, comme vous.
- Moi, je suis gentille, comme vous.
- Moi, je suis souriante, comme vous.
- Moi, je suis à l'écoute, comme vous.
- Moi, je suis un mouton, comme vous.
- Moi, je suis méprisante, comme vous.
...


Ce que vous ignorez, c'est que :
- Je déteste les hypocrites (si vous suivez ma logique, je me déteste donc moi-même).
- Je ne suis pas consciente d'être manipulée, mais Dieu sait que j'adore vous manipuler.
- Nous savons tous que le respect commence par le respect de soi-même... Certains devraient y méditer.
- La courtoisie, c'est une formule qui englobe l'éducation, le respect et l'hypocrisie.
- Je ne suis gentille que parce que vous le voyez ainsi. Il ne faut jamais se fier aux apparences.
- Le sourire est aussi une question d'apparence.
- Si tout l'monde s'écoutait les uns les autres, il y aurait beaucoup moins de conflits entre les Hommes (l'humanité).
- Quand je parle de mouton, je ne fais pas référence à mes cheveux frisés. Je fais référence au fait que nous baissons la tête et que nous nous contentons de suivre le troupeau. C'est bêêêêêêête, non ?
- Le mépris, voilà quelque chose d'intéressant. Quoi de mieux que le mépris pour combattre le mépris ? Oui, vous avez bien compris, je vous méprise.

J'pourrais en dire plus long, mais je n'en vois pas l'intérêt.
Et inutile de me demander des informations supplémentaires, vous ne m'intéressez pas.

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Ce qui se dit à mon sujet :

- Je suis anorexique et toute menue mais je suis grosse.
- Je me drogue et me tiens 'vec des motards. (Ma préférée !)
- Je suis laide mais sexy et jolie. (Mignonne n'est-il pas un synonyme de "jolie" ?)
- Je suis adorable, mais une véritable petite chipie.
- Je suis une hypocrite (y'a pas d'mérite de me le faire savoir vu que c'est spécifié plus haut) et folle.
- Je suis brillante, intelligente, vive d'esprit et sensée. (Je rappelle que c'est ce qu'on dit de moi, et non ce que je pense de ma personne.)
- Je suis coincée et farouche.
- Je suis sauvage, j'ai du chien. (Merci Beauté. :x)
- Je suis chiante et j'ai une face de pâte à dents. (No comments.)
- Je suis homosexuelle. (Croyez ce que vous voulez, mais sachez que j'adore en rajouter.)
- Je suis narcissique et je me prends pour le centre de l'univers. (Merci.... Chose.)
- Je suis prétentieuse.
- ...

Je rajouterai au fur et à mesure.
Si vous avez quelque chose à rajouter, faites-le moi savoir, je l'y mettrai.

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- Celui qui n'est plus votre ami ne l'a jamais été. (Aristote.)
- On a peine à haïr ce qu'on a bien aimé. Et le feu mal éteint est bientôt rallumé. (Pierre Corneille)
- Ne laisse jamais personne etre une priorité dans ta vie si tu es une option dans la sienne ... (À définir.)

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Les apparences sont souvent trompeuses.
Qui ne l'a pas déjà lu/entendu quelque part ?

Vous pensez connaître une personne, puis au final, vous prenez conscience de la vraie nature de cette même personne. Et je parle ici en terme général, mais il est vrai que l'on parle beaucoup d'apparences lorsqu'il s'agit de relations amoureuses. En réalité, c'est après une rupture que vous découvrez que cette personne que vous "aimiez" n'était qu'en fait qu'une sale ordure.
(Les Ex', de toute manière, devraient être une espèce en voie d'extinction, je l'ai toujours dit.)
Que cela ne tienne, je n'écris pas dans le but de cracher sur les hommes qu'ont croisé mon chemin (quoique...), mais bien pour avertir certain(e)s gens de se méfier.

Je vais ici raconter quelques scénarios (véridiques ou inspirés de faits vécus) qui pourraient peut-être vous éclairer quant au type de personne que vous rencontrez dans l'avenir.

- Un homme vous courtise au travail. Évidemment, vous ne répondez pas tout d'suite à ses avances. Vous le laissez mariner, ce qui vous donne l'occasion d'enquêter sur son cas auprès de vos amies et collègues de travail. L'enquête s'avère positive, tous vous répondre que c'est un homme charmant, très attentionné, à l'écoute et pour dramatiser le tout, malchanceux en amour (ce qui vous fait un point commun avec Monsieur). (Notez qu'être malchanceux en amour n'est que facultatif.) Un matin, il vous apporte votre café (deux laits, un sucre) (oui, Monsieur est très attentif aux détails et vous a longuement observé avant de vous approcher). Là, vous craquez. Vous dîtes oui à son invitation (un souper), d'une part parce que votre stock d'excuses bidons est épuisé et d'une autre parce qu'au fond, vous êtes attirés par lui autant qu'il est attiré par vous. Les premiers rendez-vous sont parfaits, d'après vous. Vous ne vous lassez jamais de sa compagnie, de son rire, de ses blagues (parfois foireuses). Quelques semaines ont passé depuis votre premier rancart, vous vous entendez à merveille, vous avez les mêmes objectifs, les mêmes ambitions, les mêmes valeurs. C'est maintenant l'heure de le présenter à vos enfants, vous l'invitez donc à dîner chez vous un samedi soir. Il arrive un peu à l'avance, histoire de ne pas brusquer les choses avec vos enfants. Puis, Ô malheur, vous vous apercevez que vous n'avez plus de lait (ou du moins, pas assez pour la recette). Vous prenez donc l'initiative de le laisser seul avec vos enfants. Cinq minutes, ce n'est pas la mer à boire, l'épicerie est juste au coin. Vous ferez très vite. Aussitôt sortie, vous avez fait quelques pas et il commence à pleuvoir relativement fort. Vous décidez donc de revenir sur vos pas afin de prendre votre parapluie. Vous ouvrez la porte de votre appart' et vous découvrez votre Homme Parfait en train de se masturber devant la porte de la salle de bain pendant que votre plus vieux (six ans) est en train de se soulager.
...
Ça aurait pu être pire, il aurait pu y avoir attouchements sexuels.

- Toujours dans le cadre de votre travail, vous remarquez un homme. Un homme charmant qui dégage beaucoup de charisme et de confiance en lui. Évidemment, c'est votre type d'homme ! Vous l'observez agir, vous remarquez qu'il séduit toutes vos collègues avec ses manières digne d'un gentleman. Il sait qu'il est beau, quoi. Puis, vint votre tour. Il commence à tenter de vous séduire. Vous n'êtes pas dupes, vous l'envoyez promener sur les roses dès ses premières tentatives, mais sa persévérence a raison de vous. En réalité, vous êtes flattés qu'un homme de sa tranche, un homme qui peut avoir toutes les femmes qu'il désire en un claquement de doigts, puisse vous adresser la parole. Finalement, vous cédez à, ce que vous appelez, ses "fausses avances". Toutes vos collègues vous disent de faire attention à lui. Mais dernièrement, vous avez remarqué que le dit Monsieur ne drague plus vos collègues, du moins, pas quand vous êtes dans les parages. Vous pensez alors qu'il n'en a que pour vous. Vous commencez à vous fréquenter, à sortir ensemble. Tout nouveau tout beau. Les semaines passent et vous pensez aussitôt qu'il est l'homme de votre vie. Vous êtes sur un nuage. Puis, le nuage commence à s'éffilocher tranquillement et vous redescendez sur Terre. En réalité, rien de va plus. Le conte de fées auquel vous avez cru s'envole en fumée et vous cessez votre relation avec Monsieur. Évidemment, tout le monde, surtout vos collègues, vous disent qu'ils vous avaient prévenus, que ce n'est pas une grande perte... Or, même si vous avez rompus, cela n'empêche pas pour autant de revivre sans cesse (en souvenirs) vos premières semaines de relation et d'en rêver, encore et toujours. Vous espérez que votre relation ait un second souffle, qu'il revienne vers vous, mais rien.
Trois mois après votre rupture qui vous est douloureuse (mais que vous tentez de cacher), vous apprenez, au cours d'une soirée que la compagnie pour laquelle vous travaillez depuis maintenant trois ans a organisé que ce Monsieur, auquel vous rêvez encore chaque nuit, s'est envoyé en l'air avec deux collègues de travail (de l'étage en-dessous de vous) lors d'un soir où vous étiez étendus sur le sofa, bouillotte sur la tête, le thermomètre dans la bouche, à attendre que Monsieur daigne enfin rentrer de son rendez-vous chez le médecin (le prétexte qu'il vous avait donné, alors qu'il était en train de faire la fête dans un bar de la ville).
...
Vous saviez, inconsciemment peut-être, que ça allait arrivé un jour où l'autre.

- Un peu dans le même genre d'homme que dans l'histoire juste au-dessus, sauf que cette fois-ci, vous êtes totalement aveugle au charme que peut produire chez les autres femmes l'homme pour qui votre coeur bat depuis des mois. (Bah quoi ? L'amour rend c*n, non ?) Ce n'est que par pure coïncidence, lors d'une sortie entre amies, que vous apercevez votre homme au bras d'une femme... poussant un carrosse pour bébé. Vous priez pour qu'il n'y ait rien dans ce pousse-pousse et que cette femme qui tout sourire au bras de cet homme qui est vôtre (c'est du moins ce que vous croyiez) ne soit que sa soeur ou une simple amie. C'est là qu'une vague de courage vous envahit. Vous vous dirigez vers eux de sorte de les croiser et d'apostropher ce "couple" qui semble l'air heureux en vous mettant dans le personnage d'une connaissance de ce monsieur.
- Salut ! (et là, vous lui sortez votre sourire hypocrite)
Évidemment, il sera extrêmement mal à l'aise, ne sachant trop quoi dire. Vous jetez un oeil à la demoiselle qui l'accompagne, attendant qu'il vous présente l'une à l'autre. Trop surpris de vous voir, vous vous présentez vous-même, en gardant en tête que vous n'êtes qu'une connaissance de Monsieur. Et c'est là que le rideau tombe : ils sont fiancés et vont se marier d'ici quelques semaines. Vous faites mine d'être ravie pour eux, et c'est là que cette dame vous enfonce le clou davantage en vous présentant leur rejeton de quatre mois.
...
Oui, la demoiselle est bien plus jeune que vous, désolée pour ce coup de vieux.

- Vous avez une vie stable : un mari attentionné, des enfants, un bon salaire, une grande maison située dans une banlieue plutôt riche, un chien (ne l'oublions surtout pas celui-là). Bref, la vie que tout le monde souhaite.
Un jour, vous quittez la maison, votre Mari est en congé et reste donc chez vous à s'occuper des corvées ménagères pendant que vous allez magasiner (c'est lui qui en a eu l'idée). Et vous vous dîtes, sur le chemin des magasins, Ô combien vous êtes choyés d'avoir un mari aussi adorable et bienveillant que lui. Une heure plus tard, après avoir dévalisé le premier magasin que vous avez prévu sur votre longue liste de magasin à visiter cette journée là, vous vous rendez compte que vous avez oublié votre carte de crédit dans votre poche de jeans... à la maison. Vous dîtes à la caissière de garder le tout, que vous revenez dans 15 minutes à peine.
En ouvrant votre porte d'entrée, vous remarquez qu'il y règne un silence anormale (évidemment, l'aspirateur, la laveuse, la sécheuse, tous ces appareils émettent un bruit d'enfer lorsqu'ils sont en fonction). Vous entendez un léger bruit venant de l'étage. Vous décidez de surprendre votre mari, qui est sûrement en train de faire les comptes pour les impôts de cette année, en espérant que ce soit une surprise agréable pour lui. Vous ouvrez la porte de son bureau.... et Ô, vous avez le visage de votre meilleure amie, celle avec qui vous partagez tout, même les souvenirs de la prématernelle, au-dessus de votre Mari en petite tenue, arborant une expression de plaisir, celle que vous sembliez faire lors de vos ébats sexuels avec votre Homme.
...
Elle est connue, et pourtant si vécue par de nombreuses femmes. (Notez qu'il ne s'agit pas toujours de la meilleure amie. Il peut s'agir de la soeur, de la voisine ou même de la mère de la femme.)

J'ai pensé écrire également l'histoire du voisin psychopathe qui a enterré sa femme dans la cour arrière de leur demeure, mais vous pouvez également avoir tous les détails de cette histoire en regardant "Tueurs si proche" à Canal D.


Messieurs, ne vous sentez pas pointés du doigt. Vous n'avez qu'à inverser les rôles.

Enjoy.

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Quelques informations à savoir à mon sujet :
- J'aime écrire pour ne rien dire.
- Ma meilleure amie : ma chienne.
- J'ai un coeur, comme tout l'monde, mais il se cache bien.
- La solidarité féminine, ça me connaît. (Vous ne vous en doutiez pas, j'suis certaine.)
- Je ne m'attache pas aux gens aussi facilement qu'en criant "lapin".
- Je suis une petite nature.
- Je suis une fan finie de la saga Fast And Furious.
- Je suis pourrie en anglais.
- Il y a deux personnes à qui je raconte tout : mon journal et mon Nounours en peluche. Le premier est muet comme une taupe. Le second, je le soupçonne d'être dans la mafia chinoise (made in China).
- J'aime lire ... ou pas.
- J'aime sentir le soleil sur ma peau par un temps frisquet.
- J'ai une bonne crème anti-ride, qui fait en sorte que j'ai l'air d'avoir encore 25 ans. En réalité, j'en ai 35.
- J'aime l'odeur de l'herbe fraîchement coupée.
- Suis-moi, je te fuis. Fuis-moi, je te suis.
(...)

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Quand je serai grande, je serai heureuse.

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Vous avez lu jusqu'ici, sans sauter de section et en n'ayant guère lu en diagonal ? Bien, vous méritez donc que je réponde à votre buisson. (Faites-le moi savoir cela dit, et ce, en première ligne.)
Au contraire, vous aviez la flemme de tout lire, vous préférez que je vous en fasse un résumé ? À votre guise : bande de moules, aller embêter un autre pseudo rose que le mien. Pigé ?

Bisous,
H.

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*Petite pensée pour Capucine.*