sans_real_ni_reel Tu veux le contacter ? Inscris toi

A propos de sans_real_ni_reel

pas plus drolet que l'hotr(aucune racine à voir) , Homme, 71 ans
Pointe-Claire, Montréal, Québec, Canada
Etait en ligne il y a plus d'un mois

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Description

https://www.forbes.com/sites/trevornace/2017/07/26/famous-easter-island-heads-have-hidden-bodies/?sh=7034a717f804

https://lesavoirperdudesanciens.com/2017/02/un-secret-enterre-sous-les-887-statues/

https://www.museum.toulouse.fr/-/ile-de-paques-nouvelles-fouilles-nouvelles-decouvertes-

rien, bien sûr, n'indique (pas même cet article qui clique de sensationalisme https://mysteriesrunsolved.com/fr/2021/05/atlantis-vs-lemuria-war.html ) en quelques pages ce que ce proverbe résume en trois lignes.

(When the water receded, it had completely destroyed most of the monument that now presented a Dantesque scene. The whole area was covered with boulders from the coast, stones from the ahu and remains of statues, mixed with human bones and skulls from the tombs that had been under the platform, remains of dead sheep and large amounts of dried seaweed and rotten marine animals.)
edit: and bird bones, all this closer than the others;
you see, at first they:
-cut down tree trunks to move the statues from quaries
-made small(big branches)fences for sheeps to be sent back to at night;
(see where I'm getting, reader?)
-Shot down birds that went for what little fibre&fruit,fishes they had;
https://www.bradshawfoundation.com/easter/birdman_motif_easter_island.php
-SpearFished all marine life until only seaweed was left and then...
-Guess what was left to eat?

https://imaginarapanui.com/en/easter-island-sightseeing/easter-island-archaeology/ahu-tongariki/
Ce n'est que lorsque le dernier arbre sera abattu, que le dernier fleuve sera pollué, que le dernier poisson sera péché, ce n'est qu'alors et alors seulement, que l'homme comprendra que l'argent n'est pas comestible.
Only when the last tree is cut; only when the last river ...

https://www.dicocitations.com/citation_auteur_ajout/107783.php

Ce processus ne fut pas instantané : il s’établit à travers plusieurs générations jusqu’à parvenir à une technique parfaitement maîtrisée, aujourd’hui connue sous le nom de mulch lithic. Il s’agit de l’utilisation de petits blocs de basalte noir, volontairement éparpillés de façon dense sur les champs cultivés, afin d’obtenir une série de bénéfices. Ces « cailloux » captent la rosée du matin et la redistribuent à la façon d’un goutte-à-goutte vers la racine des plantes, ralentissent l’érosion des terrains mis à nu et diminuent, par leur pouvoir calorique, les écarts de température entre le jour et la nuit. D’autres adaptations sont connues, ainsi la construction de manavai, cercles de pierre d’une hauteur de près d’un mètre, protégeant des vents dominants le pied des bananiers ou d’autres arbrisseaux, tout en assurant le maintien d’un bon taux d’humidité. Des tunnels de lave effondrés furent également mis à contribution, sorte de manavai naturels.

https://www.afis.org/Suicide-ecologique-a-l-Ile-de-Paques-ce-qu-en-dit-l-archeologie