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terrydonald 26 Aboncourt |
Abus Citer Posté le lundi 20 octobre 2025 à 07:06 |
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La philosophie invite à réfléchir sur le sens de la vie, la liberté, la morale et nos choix. Même pour ceux qui n’aiment pas la philo, elle aide à mieux comprendre le monde et soi-même. Discuter, douter, penser : c’est déjà philosopher, sans forcément le savoir. https://amoxicilline-france.com/bactrim |
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coffee_man3 115 Montréal |
Abus Citer Posté le lundi 20 octobre 2025 à 14:13 |
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A / S de monsieur Gilles Vos belles paroles ....fonctionne plus comme une incantation visant à convaincre d'une certaine vision du monde par la force de ses mots et de disqualifier des points de vue opposés, que comme une argumentation visant à définir clairement "ce qui est et de ce qu'il doit être" comme vous l'exigez. Voici pourquoi : Citation : Conscience-présence = awareness Incongruité : Le texte commence par une tautologie (A=A) qui ne fournit aucune information fondamentale, tout en prétendant poser un socle.Leproblème ici est que c'est une simple équivalence, non une définition. Elle repose sur la supposition que le lecteur sait déjà ce qu'est l'un ou l'autre, ou que la simple traduction est suffisante. citation : "moment où tout repose sur le dénominateur commun de la vérité permanente consciente de l'impermanence, tout modèle, hypothèse, ou représentation de la réalité devient mensongère de par sa futilité." Condescendance : C'est une posture anti-intellectuelle. Elle érige un absolu (non défini) pour décréter l'ensemble de la pensée rationnelle comme "mensongère" et "futile". C'est un jugement de valeur qui ferme la discussion.Affirmer l'existence d'une "vérité permanente" (qui est une affirmation non prouvable) est utilisé pour disqualifier a priori et en bloc toute démarche scientifique ou philosophique (modèles, hypothèses). La croyance et l'opinion sont mises sur le même plan et sont implicitement opposées à la vérité. Cependant, la "vérité" ?? (la Conscience) est elle-même présentée comme une croyance pour quiconque ne l'expérimente pas ou la remet en question.Utiliser le terme "vérité" pour désigner ce qu'il s'impose a son propre système de croyance, discréditant au passage les systèmes d'autrui. citation :"Les sables mouvants matérialistes ou la Conscience, contenant créateur de son contenu, le connaisant créateur de sa connaissance." Que de mots épars qui ne veulent rien dire d'autre pour dénigrer autrui.Je m'explique: Le Manichéisme Simpliste : Votre texte force un choix binaire entre un terme péjoratif ("sables mouvants matérialistes") et un terme idéalisé ("la Conscience"). Le "matérialisme" n'est pas nécessairement "sables mouvants". Cette métaphore dévalorise l'ensemble des philosophies et des sciences basées sur la matière et l'observation. C'est une technique rhétorique pour exalter l'une des options en dénigrant l'autre. Vous dites que La Conscience comprends tout, n'exclut rien C'est une affirmation absolue qui ne peut être vérifiée ni réfutée. Elle est présentée comme une évidence, mais elle est en réalité une pétition de principe.Elle est de Sens.En ne définissant rien de précis, elle ne fait qu'exprimer un idéal vague d'inclusion. Que signifie concrètement "comprendre tout" dans ce contexte ? Rien n'est précisé. Pour l'intellect,le mental limité c'est à n'y rien comprendre Ou peut l'ouvrir à l'infini auquel il se destine inévitablement.Une attaque ad hominem (à l'intellect) : "la "limitation" intrinsèque de l'outil de compréhension (l'intellect)".Ce passage est profondément condescendant. Il utilise la stratégie de dévalorisation de l'outil critique (la raison) pour immuniser le message contre toute critique. C'est l'équivalent de dire : "Si vous ne comprenez pas, c'est que vous êtes trop bête ou limité intellectuellement... Enfin, vous dites que :"Tout repose / Rien n'indispose / L'inexhaustible pause. Une conclusion qui semble poétique mais ces lignes n'ont pas vocation à fournir un sens ou une argumentation, mais à créer une sensation d'apaisement. Un vide argumentaire,votre texte se termine en évitant toute conclusion logique ou définitionnelle. C'est une fuite vers l'esthétique ("sonne bien") au détriment du sens argumenté. Bref beaucoup de mots pour satisfaire une condescendance intellectuelle en méprisant l'intellect du lecteur.Vous semblez vous complaire dans une intellectualisation afin de valoriser votre savoir sous l'égide de la poésie intellectuelle.Une flatterie de votre ego qui apporte une satisfaction au narcissisme en voulant épater la galerie par votre savoir.Prenez un miroir et regardez-vous avant d'affirmer votre condescendance. Passez une bonne journée............ |
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capitaine-america 115 Montréal |
Abus Citer Posté le lundi 20 octobre 2025 à 17:41 |
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Citation de "coffee_man3"A / S de monsieur Gilles Vos belles paroles ....fonctionne plus comme une incantation visant à convaincre d'une certaine vision du monde par la force de ses mots et de disqualifier des points de vue opposés, que comme une argumentation visant à définir clairement "ce qui est et de ce qu'il doit être" comme vous l'exigez. Voici pourquoi : Citation : Conscience-présence = awareness Incongruité : Le texte commence par une tautologie (A=A) qui ne fournit aucune information fondamentale, tout en prétendant poser un socle.Leproblème ici est que c'est une simple équivalence, non une définition. Elle repose sur la supposition que le lecteur sait déjà ce qu'est l'un ou l'autre, ou que la simple traduction est suffisante. citation : "moment où tout repose sur le dénominateur commun de la vérité permanente consciente de l'impermanence, tout modèle, hypothèse, ou représentation de la réalité devient mensongère de par sa futilité." Condescendance : C'est une posture anti-intellectuelle. Elle érige un absolu (non défini) pour décréter l'ensemble de la pensée rationnelle comme "mensongère" et "futile". C'est un jugement de valeur qui ferme la discussion.Affirmer l'existence d'une "vérité permanente" (qui est une affirmation non prouvable) est utilisé pour disqualifier a priori et en bloc toute démarche scientifique ou philosophique (modèles, hypothèses). La croyance et l'opinion sont mises sur le même plan et sont implicitement opposées à la vérité. Cependant, la "vérité" ?? (la Conscience) est elle-même présentée comme une croyance pour quiconque ne l'expérimente pas ou la remet en question.Utiliser le terme "vérité" pour désigner ce qu'il s'impose a son propre système de croyance, discréditant au passage les systèmes d'autrui. citation :"Les sables mouvants matérialistes ou la Conscience, contenant créateur de son contenu, le connaisant créateur de sa connaissance." Que de mots épars qui ne veulent rien dire d'autre pour dénigrer autrui.Je m'explique: Le Manichéisme Simpliste : Votre texte force un choix binaire entre un terme péjoratif ("sables mouvants matérialistes") et un terme idéalisé ("la Conscience"). Le "matérialisme" n'est pas nécessairement "sables mouvants". Cette métaphore dévalorise l'ensemble des philosophies et des sciences basées sur la matière et l'observation. C'est une technique rhétorique pour exalter l'une des options en dénigrant l'autre. Vous dites que La Conscience comprends tout, n'exclut rien C'est une affirmation absolue qui ne peut être vérifiée ni réfutée. Elle est présentée comme une évidence, mais elle est en réalité une pétition de principe.Elle est de Sens.En ne définissant rien de précis, elle ne fait qu'exprimer un idéal vague d'inclusion. Que signifie concrètement "comprendre tout" dans ce contexte ? Rien n'est précisé. Pour l'intellect,le mental limité c'est à n'y rien comprendre Ou peut l'ouvrir à l'infini auquel il se destine inévitablement.Une attaque ad hominem (à l'intellect) : "la "limitation" intrinsèque de l'outil de compréhension (l'intellect)".Ce passage est profondément condescendant. Il utilise la stratégie de dévalorisation de l'outil critique (la raison) pour immuniser le message contre toute critique. C'est l'équivalent de dire : "Si vous ne comprenez pas, c'est que vous êtes trop bête ou limité intellectuellement... Enfin, vous dites que :"Tout repose / Rien n'indispose / L'inexhaustible pause. Une conclusion qui semble poétique mais ces lignes n'ont pas vocation à fournir un sens ou une argumentation, mais à créer une sensation d'apaisement. Un vide argumentaire,votre texte se termine en évitant toute conclusion logique ou définitionnelle. C'est une fuite vers l'esthétique ("sonne bien") au détriment du sens argumenté. Bref beaucoup de mots pour satisfaire une condescendance intellectuelle en méprisant l'intellect du lecteur.Vous semblez vous complaire dans une intellectualisation afin de valoriser votre savoir sous l'égide de la poésie intellectuelle.Une flatterie de votre ego qui apporte une satisfaction au narcissisme en voulant épater la galerie par votre savoir.Prenez un miroir et regardez-vous avant d'affirmer votre condescendance. Passez une bonne journée............ idem ????? |
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gil1es 102 Nasinu |
Abus Citer Posté le lundi 20 octobre 2025 à 18:42 |
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capitaine Modifié le lundi 20 octobre 2025 à 19:12 |
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gil1es 102 Nasinu |
Abus Citer Posté le lundi 20 octobre 2025 à 19:10 |
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Merci coffee_man3 pour votre opinion. Votre commentaire montre une habile utilisation de l'intellect et du mental et vos projections vous décrivent bien. La condescendance est perçue et pensée par une montée de la faible estime reposant sur une identité sablonneuse donc instable mais parfaite pour la culture de l'introspection menant inévitablement (comme la méditation) à la réalisation de la nature de la conscience comme certitude non-dualiste expérimentée indépendamment de la pensée. Ou pas! Modifié le lundi 20 octobre 2025 à 23:30 |
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equino_xe 100 Iqaluit |
Abus Citer Posté le lundi 20 octobre 2025 à 19:27 |
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Citation de "gil1es"Merci coffee_man3 pour votre opinion.
Votre commentaire montre une habile utilisation de l'intellect et du mental et vos projections vous décrivent bien. La condescendance est perçue et pensée par une montée de la faible estime reposant sur une identité sablonneuse donc instable mais parfaite pour la culture de l'introspection menant inévitablement (comme la méditation) à la réalisation de la nature de la conscience comme certitude non-dualiste expérimentée idépendamment de la pensée. Ou pas! Une identité.. sablonneuse? Les propos de Coffee-man sont le fait d’un sociopathe basé ici (… ) et qui prend sa place en recopiant les commentaires d’un robot conversationnel interrogé par l’IA. Si on s’attarde à vos propres répliques, inspirées et même recopiées depuis des sites de philo-pop et de psycho-pop, vous n’êtes pas du genre à rehausser le niveau des échanges ici. |
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coffee_man3 115 Montréal |
Abus Citer Posté le lundi 20 octobre 2025 à 20:21 |
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Des personnes qui comme vous ne font qu'émettre des commentaires inutiles et qui n apporte rien au sujet.Vous avez beau de me traiter de sociopathe, de "Recopieur" d une Ia ,qu'importe.Je vois que mes interventions vous perturbes dans votre confort .Bien sur ,j'oubliais que ce forum n'était que le lieu de médisances et d'insultes.Continuez votre beau travail. Si la critique respectueuse vous fait défaut : fermez-la et ignorez-moi. Quand j'utilise une IA,je le mentionne. De plus mon dernier message s adressait personnellement a gilles et non a cap.machin truc et la folle d'Equinoxe qui sieds son céans sur ce site pour se valoriser en croyant qu elle est l'Immaculée ... ET si Gilles est pas content de mon analyse c est son problème. J’ai pris parole car trop imposer sa condescendance par de belles paroles vide de sens ne contribue pas a l'évolution d'un discours bilatéral. Mais vous ,vous savez,j'en suis fort surpris de votre si mesquine bassesse... |
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capitaine-america 115 Montréal |
Abus Citer Posté le lundi 20 octobre 2025 à 20:49 |
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Citation de "coffee_man3"Des personnes qui comme vous ne font qu'émettre des commentaires inutiles et qui n apporte rien au sujet.Vous avez beau de me traiter de sociopathe, de "Recopieur" d une Ia ,qu'importe.Je vois que mes interventions vous perturbes dans votre confort .Bien sur ,j'oubliais que ce forum n'était que le lieu de médisances et d'insultes.Continuez votre beau travail. Si la critique respectueuse vous fait défaut : fermez-la et ignorez-moi. Quand j'utilise une IA,je le mentionne. De plus mon dernier message s adressait personnellement a gilles et non a cap.machin truc et la folle d'Equinoxe qui sieds son céans sur ce site pour se valoriser en croyant qu elle est l'Immaculée ... ET si Gilles est pas content de mon analyse c est son problème. J’ai pris parole car trop imposer sa condescendance par de belles paroles vide de sens ne contribue pas a l'évolution d'un discours bilatéral. Mais vous ,vous savez,j'en suis fort surpris de votre si mesquine bassesse... Je trouve ca quand meme bizarre quand vous utilisez l'IA, pas la moindre faute, ni meme en structure, souvent du coq a l'ane bien deguise. Mais lorsqu'on sent des propos plutot personnels, on voit les fautes, la structure de vos phrases n'est pas pareille. Puis la derniere phrase; Mais vous ,vous savez,j'en suis fort surpris de votre si mesquine bassesse... Me semble qu'il y aurait des mots en trop ou qu'il manquerait des mots. Modifié le lundi 20 octobre 2025 à 23:37 |
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gil1es 102 Nasinu |
Abus Citer Posté le lundi 20 octobre 2025 à 23:29 |
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Citation de "equino_xe"Citation de "gil1es"Merci coffee_man3 pour votre opinion. Votre commentaire montre une habile utilisation de l'intellect et du mental et vos projections vous décrivent bien. La condescendance est perçue et pensée par une montée de la faible estime reposant sur une identité sablonneuse donc instable mais parfaite pour la culture de l'introspection menant inévitablement (comme la méditation) à la réalisation de la nature de la conscience comme certitude non-dualiste expérimentée indépendamment de la pensée. Ou pas! Si on s’attarde Merci de vous attardez Vous le faite si bien Modifié le lundi 20 octobre 2025 à 23:31 |
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mr_me 60 Lachine |
Abus Citer Posté le mardi 21 octobre 2025 à 12:53 |
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Quand j'ai vu le jour, c'était la nuit. Ma mère m'a pris dans ses doigts de féminine Et elle m'a versé dans mon verseau. Quand on est bébé on ne sait rien. On ne sait pas à quel sein se dévouer Pour moi, c'était la mère à boire ! Alors ma mère soccupassionait de moi toute la journée Et même la nuit C'était une mère veilleuse. Sol merci pour ce joli personnage |
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gil1es 102 Nasinu |
Abus Citer Posté le vendredi 24 octobre 2025 à 12:41 |
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"Toutes les voies spirituelles et religieuses visent, d'une façon ou d'une autre, à délivrer le mental ou à l'élargir au-delà de ses limitations. Or, lorsque le mental est libéré de ses limitations, il cesse d'être le mental en tant que tel et se révèle être la conscience éternelle et infinie, sa réalité essentielle et irréductible. Cette connaissance de votre propre être tel qu'il est vraiment --la conscience se connaissant en nous -- est l'expérience de la paix, du bonheur ou de l'amour" Rupert Spira --------------------- Tous les désirs visent cette libération et cette libération est à la source de tous les désirs. Cette compréhension est la définitive et inexorable satisfaction absolue |
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coffee_man3 115 Montréal |
Abus Citer Posté le mardi 28 octobre 2025 à 05:36 |
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Citation de "gi1les"Citation de "felicita"Avez-vous des certitudes inébranlables. Oui , nous venons au monde pour mourir . L'adage dit, la mort et l'impôt. Dans la même lucidité ceci d'Épicure: "Ainsi celui de tous les maux qui nous donne le plus d’horreur, la mort, n’est rien pour nous, puisque, tant que nous existons nous-mêmes, la mort n’est pas, et que, quand la mort existe, nous ne sommes plus. Donc la mort n’existe ni pour les vivants ni pour les morts, puisqu’elle n’a rien à faire avec les premiers, et que les seconds ne sont plus". Une logique assez radicale. L'Hypocrisie de l'Existence : Révisiter la Mort Face au Déni Conscient La maxime d'Épicure, qui cherche à éradiquer la peur de la mort en la reléguant hors du temps de l'expérience sensible, repose sur une omission fondamentale. Affirmer que la mort n'existe ni pour les vivants ni pour les morts est un sophisme (un raisonnement qui, malgré une apparence de logique, est en réalité fallacieux et non valide). Je soutiens que la mort n'est pas une absence future, mais une présence constitutive masquée. La Mort : Une Latence Dès la Conception Mon point de rupture avec l'épicurisme est simple : la mort est inscrite dans l'être dès le commencement. Elle n'est pas un événement qui survient, mais une finitude qui persiste. La mort est notre horizon constitutif, non pas "rien pour nous", mais la garantie fondamentale de notre structure. Le Rôle Crucial du Déni Inconscient Si la finalité est ainsi latente, pourquoi la vie ne se révèle-t-elle pas immédiatement comme une marche vers la fin ? C'est là qu'intervient le rôle critique de la conscience et du subconscient. La conscience met en place un puissant mécanisme de déni inconscient pour se prémunir de la vérité dérangeante. Ce n'est pas un simple oubli, mais une stratégie de survie psychique. Ce déni permet de contrer un mal de vivre permanent. Admettre à chaque souffle l'imminence de notre dissolution serait un fardeau psychologique trop lourd à porter au quotidien. Plus encore, l'acceptation constante de cette finalité nous empêcherait d'atteindre le bonheur tant recherché. Nous avons besoin de cette illusion pour justifier notre parcours, pour nous engager pleinement dans le véhicule de l'amour, de l'amitié, ou de la création. L'être humain, par nature social, requiert le support et l'approbation d'autrui pour donner sens à un passage qui, sans cela, serait perçu comme absurde. La Mort : Une Réalité de l'Esprit, Fardeau de la Connaissance Le fameux "cycle de la vie" que nous nous efforçons de perpétuer n'est donc qu'une hypocrisie existentielle ; la vie elle-même devient une illusion fonctionnelle, un masque indispensable jeté sur la vérité. Ceci nous amène à la véritable nature de la peur : Épicure se concentre sur l'absence de sensation après la mort, or la souffrance n'est pas dans l'absence post-mortem, mais dans la perspective de cette absence. La mort n'est pas un phénomène purement physique, mais une réalité psychologique, un véritable fardeau de la connaissance. Seuls les êtres dotés d'une conscience perçoivent et craignent la mort, car ils sont les seuls à anticiper la cessation de leur propre esprit. Le corps subit une fin, mais l'esprit sait qu'il va cesser. Le mal n'est pas la destruction physique à venir, mais l'angoisse de la destruction spirituelle présente. Conclusion : La Tragédie du Temps Individuel La mort n'est jamais absente. Elle est une charge psychique présente que notre subconscient s'efforce d'occulter. Telle est la véritable tragédie de l'existence : devoir vivre l'illusion de l'éternité dans la certitude de la fin. Cette finitude est d'autant plus vertigineuse que notre laps de temps à vivre contraste brutalement avec le temps cosmique. Notre existence se déroule à l'échelle d'une infime fraction de seconde face à l'étendue de l'univers, qui s'étire sur des milliards de milliards d'années. Cet écart de temporalité rappelle que la dissolution de notre corps et de notre conscience n'est qu'une étape dans le cycle de la transformation de la matière. Mais pour l'individu conscient, c'est l'anéantissement de l'unique point de vue qu'il a jamais eu sur cette réalité. Face à cette lucidité implacable, et en tirant les conséquences de cette tragédie existentielle, l'unique injonction qui s'impose est celle-ci : essayez d'être heureux malgré tout. Souriez à la vie, car une fois mort, la vie vous sourira de cet au revoir. |
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capitaine-america 115 Montréal |
Abus Citer Posté le samedi 1 novembre 2025 à 16:24 |
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Citation de "coffee_man3"Citation de "gi1les"Citation de "felicita"Avez-vous des certitudes inébranlables. Oui , nous venons au monde pour mourir . L'adage dit, la mort et l'impôt. Dans la même lucidité ceci d'Épicure: "Ainsi celui de tous les maux qui nous donne le plus d’horreur, la mort, n’est rien pour nous, puisque, tant que nous existons nous-mêmes, la mort n’est pas, et que, quand la mort existe, nous ne sommes plus. Donc la mort n’existe ni pour les vivants ni pour les morts, puisqu’elle n’a rien à faire avec les premiers, et que les seconds ne sont plus". Une logique assez radicale. L'Hypocrisie de l'Existence : Révisiter la Mort Face au Déni Conscient La maxime d'Épicure, qui cherche à éradiquer la peur de la mort en la reléguant hors du temps de l'expérience sensible, repose sur une omission fondamentale. Affirmer que la mort n'existe ni pour les vivants ni pour les morts est un sophisme (un raisonnement qui, malgré une apparence de logique, est en réalité fallacieux et non valide). Je soutiens que la mort n'est pas une absence future, mais une présence constitutive masquée. Vous en avez fume de l'excellent, bien meilleur que celui de la SQDC, a 5hres30 le matin, il faisait encore effet ??? Pourrais-je avoir les coordonnees de celui qui vous l'a vendu ?? |
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gil1es 102 Nasinu |
Abus Citer Posté le lundi 10 novembre 2025 à 23:07 |
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Citation de "coffee_man3"Citation de "gi1les"Citation de "felicita"Avez-vous des certitudes inébranlables. Oui , nous venons au monde pour mourir . L'adage dit, la mort et l'impôt. Dans la même lucidité ceci d'Épicure: "Ainsi celui de tous les maux qui nous donne le plus d’horreur, la mort, n’est rien pour nous, puisque, tant que nous existons nous-mêmes, la mort n’est pas, et que, quand la mort existe, nous ne sommes plus. Donc la mort n’existe ni pour les vivants ni pour les morts, puisqu’elle n’a rien à faire avec les premiers, et que les seconds ne sont plus". Une logique assez radicale. L'Hypocrisie de l'Existence : Révisiter la Mort Face au Déni Conscient La maxime d'Épicure, qui cherche à éradiquer la peur de la mort en la reléguant hors du temps de l'expérience sensible, repose sur une omission fondamentale. Affirmer que la mort n'existe ni pour les vivants ni pour les morts est un sophisme (un raisonnement qui, malgré une apparence de logique, est en réalité fallacieux et non valide). Je soutiens que la mort n'est pas une absence future, mais une présence constitutive masquée. La Mort : Une Latence Dès la Conception Mon point de rupture avec l'épicurisme est simple : la mort est inscrite dans l'être dès le commencement. Elle n'est pas un événement qui survient, mais une finitude qui persiste. La mort est notre horizon constitutif, non pas "rien pour nous", mais la garantie fondamentale de notre structure. Le Rôle Crucial du Déni Inconscient Si la finalité est ainsi latente, pourquoi la vie ne se révèle-t-elle pas immédiatement comme une marche vers la fin ? C'est là qu'intervient le rôle critique de la conscience et du subconscient. La conscience met en place un puissant mécanisme de déni inconscient pour se prémunir de la vérité dérangeante. Ce n'est pas un simple oubli, mais une stratégie de survie psychique. Ce déni permet de contrer un mal de vivre permanent. Admettre à chaque souffle l'imminence de notre dissolution serait un fardeau psychologique trop lourd à porter au quotidien. Plus encore, l'acceptation constante de cette finalité nous empêcherait d'atteindre le bonheur tant recherché. Nous avons besoin de cette illusion pour justifier notre parcours, pour nous engager pleinement dans le véhicule de l'amour, de l'amitié, ou de la création. L'être humain, par nature social, requiert le support et l'approbation d'autrui pour donner sens à un passage qui, sans cela, serait perçu comme absurde. La Mort : Une Réalité de l'Esprit, Fardeau de la Connaissance Le fameux "cycle de la vie" que nous nous efforçons de perpétuer n'est donc qu'une hypocrisie existentielle ; la vie elle-même devient une illusion fonctionnelle, un masque indispensable jeté sur la vérité. Ceci nous amène à la véritable nature de la peur : Épicure se concentre sur l'absence de sensation après la mort, or la souffrance n'est pas dans l'absence post-mortem, mais dans la perspective de cette absence. La mort n'est pas un phénomène purement physique, mais une réalité psychologique, un véritable fardeau de la connaissance. Seuls les êtres dotés d'une conscience perçoivent et craignent la mort, car ils sont les seuls à anticiper la cessation de leur propre esprit. Le corps subit une fin, mais l'esprit sait qu'il va cesser. Le mal n'est pas la destruction physique à venir, mais l'angoisse de la destruction spirituelle présente. Conclusion : La Tragédie du Temps Individuel La mort n'est jamais absente. Elle est une charge psychique présente que notre subconscient s'efforce d'occulter. Telle est la véritable tragédie de l'existence : devoir vivre l'illusion de l'éternité dans la certitude de la fin. Cette finitude est d'autant plus vertigineuse que notre laps de temps à vivre contraste brutalement avec le temps cosmique. Notre existence se déroule à l'échelle d'une infime fraction de seconde face à l'étendue de l'univers, qui s'étire sur des milliards de milliards d'années. Cet écart de temporalité rappelle que la dissolution de notre corps et de notre conscience n'est qu'une étape dans le cycle de la transformation de la matière. Mais pour l'individu conscient, c'est l'anéantissement de l'unique point de vue qu'il a jamais eu sur cette réalité. Face à cette lucidité implacable, et en tirant les conséquences de cette tragédie existentielle, l'unique injonction qui s'impose est celle-ci : essayez d'être heureux malgré tout. Souriez à la vie, car une fois mort, la vie vous sourira de cet au revoir. J'aime votre façon de soutenir l'illusion L'illusion soutenant l'illusion Vos sophismes sont meilleurs que les miens Et d'Épicure L'expérience dépasse toute logique Le sens de la logique est de perpétuer le faux par l'argumentaire et raisonnement jusqu'à son dépassement dans une lucidité de l'instant éternel, hors représentation La logique est le tremplin La vérité est dans le saut La vie est un miroir souriant sans fin De nous voir croire À la mort Modifié le lundi 10 novembre 2025 à 23:10 |
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coffee_man3 115 Montréal |
Abus Citer Posté le mardi 11 novembre 2025 à 00:04 |
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Plaidoyer pour le Déni Subconscient Le débat sur la finitude humaine se heurte souvent à une impasse : la conscience est une prison logique dont la structure même empêche de saisir la vérité hors représentation. J'ai qualifié la maxime d'Épicure de sophisme car elle utilise un raisonnement pour nier la présence constitutive de la mort. Mais en déconstruisant ce mur, mon propre article, aussi juste soit-il, devient un autre mur, plus complexe, construit avec les mêmes barreaux de la raison. Le rôle de ce sophisme – l'analyse logique de l'existence – n'est pas de donner la vérité, mais d'être l'étincelle. Il vise à briser l'illusion confortable pour forcer l'individu à voir clair. Ce n'est qu'après avoir pris conscience de la tragédie que l'injonction d'être heureux devient un choix délibéré et lucide, et non plus un aveuglement. La Nécessité du Gardien Subconscient Ce travail d'éveil ne peut se faire sans la contribution essentielle du subconscient. La mort est une charge psychique présente que l'individu ne peut soutenir au quotidien sans s'effondrer. C'est là qu'intervient le déni subconscient, qui agit comme le gardien indispensable de notre équilibre psychologique. Ce gardien permet à la conscience de canaliser son énergie non pas dans l'angoisse de la dissolution, mais dans la recherche illusoire du bonheur à acquérir (l'amour, l'amitié, la création, le salut). Le fait de vivre est, en soi, une preuve que ce déni est une stratégie de survie psychique réussie. Sans le déni subconscient, l'épanouissement humain serait impossible, car la lucidité constante de la finitude serait un fardeau psychologique trop lourd. L'Erreur du « Saut » Philosophique Certains courants philosophiques ont cherché à s'affranchir de la logique par le « saut » dans l'expérience vécue ou la foi, mais ont échoué à saisir l'importance fondamentale de ce gardien subconscient. L'Intuition Manquée de Bergson : Henri Bergson privilégiait l'intuition pour saisir le réel (la durée) en dépassant l'intelligence figée. Il supposait que l'humain pouvait aisément se défaire de la logique pour faire le saut (le passage vers une perception plus pure et non analytique du temps). Or, Bergson sous-estime la force du déni. Le subconscient, en tant que sentinelle de l'équilibre, verrouille la porte de l'intuition pure si elle mène à la vérité insoutenable de la finitude. Le déni est nécessaire à la vie, et il empêche l'accès facile à cette « durée » pure. Le Salut Dénié de Kierkegaard : Søren Kierkegaard proposait le saut de la foi (l'acte radical et subjectif d'adhérer à l'Absolu, au-delà de la raison) pour dépasser l'angoisse existentielle. Mais ce saut (cet engagement total et irrationnel dans une nouvelle croyance) n'est, en réalité, qu'un transfert du déni. Le salut et le bonheur que l'individu cherche dans la foi ne sont qu'un ultime substitut d'illusion. L'énergie du déni est simplement re-canalysée par le subconscient vers une quête spirituelle pour éviter le mal de vivre lié à l'anéantissement certain. En conclusion, la vérité n'est pas dans le saut (l'échappatoire irrationnelle), car ce saut est une autre forme de l'hypocrisie. La vie est dans le tremplin – le mouvement constant et lucide entre la conscience de la fin (l'analyse) et l'engagement choisi dans l'illusion (l'action). Notre existence est une hypocrisie choisie : la nécessité de soutenir l'illusion avec les yeux ouverts grâce à la protection silencieuse du subconscient.Le malheur de croire d'être heureux apporte le bonheur dans le sanctuaire de l'âme : c'est l'arme qu'a choisi le subconscient pour maintenir l'équilibre inconscient de la conscience, condition vitale (de / à) sa tragédie nécessaire. Complémentaire a la réflexion: Clément Rosset : https://www.actu-philosophia.com/entretien-avec-clement-rosset-autour-de-l-ecole/ Arthur Schopenhauer :https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Monde_comme_volont%C3%A9_et_comme_repr%C3%A9sentation Friedrich Nietzsche : https://fr.wikisource.org/wiki/La_Volont%C3%A9_de_puissance N.B: Note : L'argumentaire philosophique de ce texte est de moi,seul. Un modèle d'intelligence artificielle a été consulté et utilisé pour l'assistance à la révision orthographique, grammaticale. |